Nous montons tous les trois en voiture, Lisa sur la banquette arrière, chantonnant joyeusement après le festin que nous venons de partager. En conduisant, je jette un coup d'œil vers Jill, qui regarde la route en silence, un léger sourire aux lèvres.
Après quelques minutes, je décide de faire un petit détour vers le laboratoire pour y déposer Lisa. En arrivant, elle saute hors de la voiture avec enthousiasme. "Papa ! Tatie Jill ! Je vais aller jouer avec Oscar ! À tout à l'heure !"
Je souris en me penchant vers elle. "Amuse toi bien, ma princesse. Papa reviendra te chercher tout à l'heure."
Elle me fait un petit signe de la main avant de s'élancer vers l'entrée du laboratoire. "Au revoir, papa ! Au revoir, tatie Jill !" crie t-elle en disparaissant à l'intérieur.
Je referme doucement la porte de la voiture et me tourne vers Jill avec un sourire carnassier. "Et maintenant, ma chère assistante, prête à être dévorée ?" dis-je d'une voix plus profonde, laissant planer l'ambiguïté de mes paroles.
Je la vois rougir instantanément, son visage prenant une teinte écarlate alors qu'elle détourne les yeux. "Tu... tu pourrais pas choisir d'autres mots ?" réplique t-elle, visiblement déstabilisée, mais un sourire en coin trahit son amusement.
Je ris doucement tout en montant dans la voiture. "Je crois que je les ai bien choisis."
Alors que je démarre, Jill reste silencieuse pendant un moment, son regard perdu dans le paysage qui défile. Puis, d'une voix plus timide qu'à l'accoutumée, elle finit par murmurer : "Tu sais très bien que je ne suis jamais vraiment prête pour tes surprises..."
Je lui lance un regard taquin avant de me concentrer à nouveau sur la route. "C'est ce qui rend les choses intéressantes."
Elle me jette un coup d'œil en coin, puis détourne à nouveau le regard, un sourire timide aux lèvres. "On verra bien si tu arrives à me surprendre cette fois," murmure-t-elle, la voix légèrement tremblante d'anticipation.
Nous arrivons finalement à l'appartement, et je peux voir que Jill est encore un peu nerveuse, mais un frisson d'excitation semble la parcourir.
L'appartement de Jill était plongé dans une lumière tamisée, subtilement réchauffée par les derniers rayons du soleil qui traversaient les rideaux mi-clos. L'air était chargé d'une douce tension, celle qui précède les moments importants, les instants où chaque geste et chaque regard prennent une nouvelle signification.
Jill, debout devant le miroir de sa chambre, arrangeait ses cheveux, les laissant tomber en cascade sur ses épaules. Elle avait opté pour une tenue simple, mais élégante, un choix qui reflétait son mélange unique de force et de douceur. Ses mains tremblaient légèrement, mais son visage affichait un sourire calme, quoiqu'un peu nerveux. Elle se pencha pour retirer discrètement les derniers objets éparpillés sur la commode, comme pour organiser les pensées qui tournaient en elle.
Pendant ce temps, Gérald était dans la salle de bain. Il venait de prendre une douche rapide, laissant l'eau chaude apaiser ses muscles encore fatigués de l'entraînement intensif au laboratoire. Il se regarda un instant dans le miroir, inspirant profondément avant de se sécher. L'atmosphère était différente ce soir, chargée de promesses silencieuses. Une légère nervosité l'habitait également, bien qu'il la dissimule derrière son habituelle confiance.
Dans la pièce adjacente, Jill inspectait machinalement les draps du lit qu'elle venait de retendre, vérifiant que tout soit parfait. Ses mouvements étaient plus lents que d'habitude, comme si elle voulait savourer chaque seconde avant ce moment. Elle prit une longue inspiration, puis s'assit au bord du lit, son regard se posant sur la porte qui menait à la salle de bain. Ses pensées s'embrouillaient entre impatience et hésitation, mais elle savait qu'elle était prête.
Gérald sortit finalement, vêtu simplement, ses cheveux encore légèrement humides, et s'arrêta un instant en voyant Jill assise sur le lit. Leur regard se croisa, et un sourire complice s'échangea entre eux, dissipant une partie de la nervosité dans l'air.
Il s'approcha doucement, ses pas silencieux sur le sol. Jill se tourna vers lui, son cœur battant plus vite à mesure qu'il réduisait la distance entre eux. Quand il atteignit le bord du lit, il la rejoignit, prenant place à ses côtés dans le silence feutré de la pièce.
"Début citron"
Je caresse doucement sa peau, provoquant des frissons de plaisirs. Je pris le temps d'explorer sa peau avec ma langue mordillant ses lobes d'oreilles avant de commencer à l'embrasser dans la nuque avant de descendre plus bas parcourant son ventre plat avec mes lèvres.
"Gerald, mmmmh" gémis t'elle en poussant ma tête plus bas.
Ses mains m'incitèrent à m'approcher de ses cuisses alors que mes doigts parcourait doucement sa fente qui commença à laisser perler son nectar.
"S'il te plait, viens" dit elle en agrippant mes cheveux
Je souris devant ses réactions alors que je la laisser guider ma tête entre ses jambes, j'ai commencer à utiliser ma langue pour taquiner sa féminité mais elle a l'enrouler ses jambes autour de ma tête voulant plus.
"Gerald, j'en veux plus" déclara t'elle alors que sa respiration s'alourdissez.
3repondant à ses désirs, je commença a lui donner ce qu'elle voulez, ma langue commença à explorer sa fente qui produisez de plus en plus de nectar jusqu'à ce que je presse une zone sensible avec ma lange.
"hhhhhhaaaaaaaaaaaaa" Jill gémis bruyamment en se cambrant alors qu'un jet massif de fluide sortait de son corps m'éclaboussant le visage.
Jill retomba sur le lit alors que ses jambes trembler sauvagement et la vue de petite giclé sortant de sa fente provoqua le soldat King a se mettre au garde à vous. Jill haleta en voyant mon bâton dans toute sa splendeur.
"Tu veux gouter" dis je en plaisantant mais Jill commença à ramper sur le lit pour s'approcher.
Je la regarde avec insistance mais au moment ou j'allais profiter du confort de ses lèvres, le mur qui donnait sur mon appartement s'est briser.
Fin du citron ^^
Je bondi hors du lit comme un ressort, attrapant son boxer d'une main experte et l'enfilant en moins de deux secondes, à peine éveillé. Le sol tremblait sous ses pieds, et une silhouette massive perça le mur comme du papier mâché. Némésis, immense et intimidant, fit son entrée, son visage déformé émergeant des gravats. Il n'avait qu'un seul mot à la bouche, comme une vieille rengaine qu'il ne pouvait s'empêcher de répéter :
"STARS..."
Le regard de Gérald passa de l'intrus colossal à Jill, qui avait déjà attrapé ses vêtements et s'habillait avec une rapidité déconcertante, un air désespéré sur le visage. Des larmes invisibles semblaient couler de ses yeux, comme si le moment tant attendu venait d'être réduit en poussière.
"STARS mes couilles !" s'exclama Gérald, furieux. "Putain, maintenant je vais avoir les boules bleues !"
Sans réfléchir, il fonça droit sur Némésis, le poing en avant. Le monstre, surpris par la rapidité de l'attaque, vola en arrière, traversant non seulement le mur qu'il venait de défoncer mais aussi celui d'à côté, laissant une traînée de débris derrière lui.
Jill, à moitié rhabillée, se tenait là, bras croisés, observant la scène avec un mélange d'incrédulité et d'amusement.
"Et moi qui pensais qu'on passerait enfin une soirée tranquille," murmura-t-elle en ajustant son pantalon tout en observant son amant qui, manifestement, était en train de se défouler sur l'énorme brute.
Némésis se releva, plus déterminé que jamais, mais avant même qu'il puisse prononcer son fameux "STARS", Gérald lui asséna une pluie de coups de poing. Chaque frappe résonnait dans l'appartement comme un tambour, et Némésis semblait complètement dépassé, secoué comme une poupée de chiffon par un Gérald en colère.
Jill, qui regardait la scène, éclata de rire malgré elle. "Eh bien... au moins il ne te manquait pas de force," dit-elle d'un ton taquin, tout en ramassant son haut.
"Je vais t'achever, enfoiré !" s'écria Gérald, donnant un dernier coup à Némésis qui s'effondra contre le mur.
Jill, toujours hilare, s'approcha en secouant la tête. "Tu sais, avec cette énergie, on aurait pu..."
"Ne me tente pas !" répondit Gérald, reprenant son souffle tout en jetant un dernier regard sur Némésis, qui gisait inerte au sol.
Le sifflement strident déchira l'air, et je tournai la tête juste à temps pour voir un missile foncer droit sur nous. "Merde..." Je réagis instinctivement, attrapant Némésis par une jambe et le balançant en direction du projectile. Mais le monstre tomba avec fracas dans la rue, manquant de peu le missile.
"Jill !" criai-je, le cœur battant à tout rompre. Je la saisis d'un geste protecteur, la plaquant au sol juste avant l'impact, couvrant son corps avec le mien, mes muscles tendus, prêt à encaisser l'explosion à venir.
L'explosion déchira le ciel avec une violence inouïe. Le souffle de l'explosion nous enveloppa dans un chaos brûlant, les vitres de l'appartement éclatant en mille morceaux, projetant des débris et des flammes autour de nous. Je sentis l'onde de choc me frapper de plein fouet. Mon dos se tendit sous l'impact, chaque muscle hurlant sous la pression, ma peau brûlant là où la chaleur mordait.
La douleur était intense, comme si chaque fibre de mon être se déchirait à chaque seconde. Ma régénération travaillait à toute vitesse pour maintenir mon corps, mais le choc me fit grincer des dents, mon visage se tordant de douleur.
Sous moi, Jill, à l'abri, ouvrit des yeux paniqués. "Gérald ! Ça va ? Gérald, tu es blessé ?"
Je grognai, serrant les dents pour contenir la souffrance qui irradiait dans tout mon corps. "Je vais bien," mentis-je, ma voix rauque. "Reste là... je te couvre."
Jill tenta de se tourner, de me regarder, mais je l'immobilisai doucement. "Ne bouge pas... laisse-moi gérer."
Les flammes crépitaient autour de nous, les murs de l'appartement craquaient sous la chaleur de l'explosion. Je sentais chaque brûlure, chaque coup de l'explosion contre mon dos, mais je ne bougeais pas. Ma régénération agissait, mais la douleur était plus vive que je ne l'aurais cru.
"J'ai l'impression que tu portes le monde sur ton dos..." murmura Jill, inquiète mais tentant une pointe d'humour, cherchant à me rassurer.
Je soufflai, esquissant un faible sourire malgré la douleur qui me déchirait. "Juste un peu plus que d'habitude, c'est tout."
Alors que le souffle de l'explosion se dissipait, je me redressai lentement, mes muscles encore crispés, mon dos meurtri mais en train de guérir. Je relâchai Jill doucement, mes mains tremblant légèrement à cause de la douleur résiduelle.
"Tu es fou..." dit-elle, les yeux remplis d'émotion en me voyant me redresser. "Je croyais que tu allais... Gérald, merci."
Je lui fis un clin d'œil, même si je cachais mal l'épuisement dans mon regard. "Rien ne pourra te faire du mal tant que je suis là."
Je me précipite à la fenêtre, mon cœur battant à tout rompre. En bas, un camion arborant fièrement le logo d'Umbrella est en train d'embarquer Némésis, à moitié inconscient. Mais ce qui attire vraiment mon attention, c'est le chaos qui semble s'être emparé de la ville. Les rues sont plongées dans un désordre terrifiant. Des voitures renversées, des flammes s'élevant des bâtiments, et des cris lointains perçant la nuit.
"Attends... ça devrait pas arriver maintenant. L'attaque de Jill était censée se passer le 28 septembre... Qu'est-ce qui se passe ici ?"
DING
Le son résonne dans ma tête, une fois de plus. Mais cette fois, le message qui s'affiche devant mes yeux me glace le sang.
En raison de la force croissante de l'hôte, la chronologie ne sera plus respectée. D'autres événements auront lieu pour éviter que le monde didacticiel ne soit inutile à la croissance de l'hôte.
Je serre les poings, mes ongles s'enfonçant dans mes paumes. "Putain ! L'administrateur avait dit qu'il n'interviendrait plus !"
Une nouvelle notification s'affiche, implacable.
L'administrateur a été chargé de modifier ses actes car quelqu'un a découvert votre potentiel. Par conséquent, les règles ont changé. En contrepartie de vous soumettre à plus de défis, l'administrateur a cependant bloqué les événements tragiques pour que vous soyez présent lorsque vos proches subissent des catastrophes.
La colère me monte à la gorge, brûlant tout sur son passage. "Putain... ça veut dire quoi, ça ? Que ma famille, mes amis, tout le monde est en danger dès que je m'éloigne ? Que je suis obligé de rester près d'eux tout en évitant les catastrophes ?"
Je serre les dents, mes pensées tourbillonnant dans un mélange de rage et de dépit. "C'est ça, alors ? Je suis une putain de marionnette à qui on donne juste assez de fil pour ne pas étouffer, mais à qui on tire dessus dès que je m'éloigne un peu trop ?"
Je m'arrête une seconde, la respiration haletante. Mes poings tremblent encore sous l'effet de la colère. Mais je me reprends.
"Non... Non, je ne vais pas laisser ça m'empêcher de vivre. Que ces connards jouent avec leurs règles tordues. Je protégerai les miens, et je vais continuer à vivre. Ils veulent un défi ? Qu'ils viennent. Je vais leur montrer ce que je vaux."
(NDA : voici une petite mise a jour, il s'agit du dernier chapitre avant de commencer les évènements de RE2 et RE3, je vais mélanger quelques éléments des originaux et des remakes donc ne vous sentez pas confus ^^)