ne devait entrer sans autorisation, mais la demande semblait venir d'une source légitime, ou du moins d'une situation inédite.Après lui avoir refusé l'accès au archive pour le chercher seul Il m'a demandé s' il pouvait me faire montrais une photo sur son téléphone de la veste en question afin que je le trouve seul il met l'accent que le fait que son collègue n'arrêtez de l'harceleur a propos de sa veste comprenant sa situation je me diriger un peu fatigué vers la porte pour la photo en ouvrant la porte je ne voyais pas tellement son visage avec sa casquer j'ai décidé de regarder son téléphone pour passer a autre chose.Lorsque le technicien a confirmé que j'étais seul il dit "Parfait", un frisson avait parcouru le long de ma colonne vertébrale. C'était comme un signal d'alarme silencieux, un pressentiment que quelque chose de grave allait se produire. Avant que je puisse poser plus de questions, une douleur fulgurante avait explosé dans ma tête. J'avais à peine eu le temps de réagir avant que tout ne devienne noir.La douleur était une déferlante, un torrent d'énergie brutale qui avait anéanti toute conscience. Le sol dur avait accueilli ma chute sans ménagement.—-----------L'obscurité s'éclaircit lentement. Une douleur sourde battait contre le crâne de l'archiviste, chaque pulsation réveillant un peu plus ses sens engourdis. Il sentait quelque chose d'étrange dans sa bouche, une sensation désagréable, métallique. Une odeur de poussière froide imprégnait l'air, lourd et familier. Le local des archives. Mais quelque chose n'allait pas.Lentement, il ouvre les yeux. Sa vision était floue, et son esprit, encore embrume, essayait de comprendre ce qui venait de se passer. Sa tête tournait légèrement, accentuant la douleur sur le côté, là où il sentait un choc. Un mince filet de sang glissait sur sa tempe.Ses poignets étaient douloureusement tirés vers l'arrière, menottés à une chaise. Ses jambes, également immobilisées, ne peuvent pas bouger. Un frisson de panique le traverse alors qu'il comprend la gravité de la situation. Il tente de bouger, mais en vain. Chaque mouvement renforçait la pression des menottes contre sa peau.Un gémissement étouffé s'échappa de sa bouche. L'objet qui l'empêchait de parler l'irritait de plus en plus, l'angoisse montant en lui comme une vague incontrôlable. Il tourne la tête à gauche et à droite, cherchant désespérément une sortie. C'est alors qu'il le vit.Un homme était assis devant l'ordinateur de son bureau. C'était le même "technicien" qu'il avait laissé entrer plus tôt. Mais il n'était pas un simple employé d'entretien, loin de là. L'homme semblait concentré, fouillant dans les fichiers, cherchant quelque chose avec une aisance presque dérangeante.Kaï.Comme si sentant son réveil, l'intrus tourne lentement la tête vers lui, ses yeux bleus rencontrant les siens avec un calme glacial.— "La belle au bois dormant se réveille enfin."L'archiviste se figea. Un frisson d'effroi parcourut son échine. Il tenta de crier, de se débattre, mais les menottes étaient trop serrées, et le bâillon étouffait ses hurlements. Des larmes commencèrent à couler sur ses joues tandis qu'il s'agitait frénétiquement sur la chaise, incapable de faire quoi que ce soit pour échapper à cette situation cauchemardesque.Kai se leva de sa chaise, son visage toujours impassible. Il s'approche lentement, ses pas résonnant doucement dans la pièce silencieuse. Chaque pas que l'homme faisait vers lui amplifiait l'angoisse de l'archiviste, son cœur battant à tout rompre dans sa poitrine.— "Ça ne sert à rien de crier", dit Kai avec une froide désarmante. "Personne ne viendra t'aider."Les paroles de Kai semblent couper le dernier fil d'espoir auquel l'archiviste s'accrochait. Il pleurait maintenant, ses sanglots étouffés par le bâillon. Il savait que cet homme ne plaisantait pas, que personne ne voulait le sauver. Il était seul, piégé avec un inconnu qui contrôlait tout.Voyant la détresse de l'archiviste, Kai soupira légèrement et se pencha pour retirer l'objet qui obstruait sa bouche. La pression relâchée, l'archiviste prend une profonde inspiration, toussant légèrement avant de laisser échapper un sanglot incontrôlable.— "Ils... ils vont te trouver... Tu ne pourras pas sortir d'ici..." bégaya-t-il entre deux respirations haletantes. "Le commissariat est plein de monde... Tu es encerclé... Ils te découvriront..."Kai haoussa un sourcil, apparemment peu impressionné par la tentative désespérée de l'archiviste de faire appel à la logique.— "Et comment ils le sauront ?" répondez-il d'une voix calme, presque amusée.Le silence s'installe. L'archiviste ouvre la bouche pour répondre, mais aucun mot ne vint. Il n'y avait pas de réponse. Personne ne se trouvait régulièrement dans le local des archives, et personne ne savait qu'il se trouvait là, menotté à cette chaise. Une peur viscérale s'empara de lui alors qu'il comprenait l'ampleur de son isolement.Kai, voyant son silence, hocha la tête comme pour confirmer ses soupçons.— "C'est ce que je pensais."Il recula légèrement, reprenant son calme.— "Écoute", dit Kai en se penchant légèrement vers lui. "Je ne suis pas là pour te faire du mal... enfin, pas plus que nécessaire."L'archiviste ne savait pas s'il devait se sentir soulagé ou encore plus effrayé.— "Je cherche juste quelques documents", continue Kai avec un détachement effrayant. "Et si tu m'aides, je te promets que tu pourras retourner à ta vie insignifiante."Les mots résonnèrent comme un coup de poing. L'archiviste sent la panique s'intensifier. Que pouvait-il faire ? Si cet homme avait réussi à l'immobiliser aussi facilement, il devait savoir exactement ce qu'il cherchait.Des larmes coulaient encore sur son visage alors qu'il se balançait légèrement d'avant en arrière sur la chaise, désespérée.— "Je... je ne peux rien faire", murmura-t-il d'une voix brisée.Kai, impassible, s'approche à nouveau. "Ce n'est pas à toi de décider. Dis-moi simplement où je peux trouver ce que je cherche, et tout sera fini."Il savait que sa seule option était de coopérer.