Le soleil commençait à décliner sur l'arène, projetant de longues ombres sur le sol tandis que Kurayami sortait lentement de l'arène, son katana encore couvert des traces de son combat contre Hikari.
En passant près des tribunes, il remarqua les regards fixés sur lui, mais ces regards n'étaient pas tous les mêmes.
Du côté de l'académie de Valoria, là d'où venait Hikari, une vague de terreur envahissait les élèves.
Leur camarade, couverte de sang, venait d'être emmenée en urgence à l'infirmerie, inconsciente, le corps brisé.
Chaque élève observait Kurayami avec des yeux écarquillés, incapables de dissimuler leur crainte.
Mais de l'autre côté, dans une partie plus isolée des tribunes, Liora observait Kurayami avec un sourire grandissant.
Ses yeux brillaient d'une lueur d'excitation, comme si elle venait de découvrir un adversaire digne d'elle.
Elle savait que ce combat contre Kurayami serait inévitable, et rien que l'idée de cet affrontement lui donnait des frissons de plaisir.
— C'est ça… montre-moi ta vraie puissance… pensa Liora, un sourire carnassier sur les lèvres.
Le calme relatif de l'arène fut brusquement interrompu par l'arbitre, qui annonça le combat suivant.
— Que les prochains combattants s'avancent dans l'arène ! Ren Sasaki et Keiko Ise !
Un murmure parcourut les gradins alors que les deux prochains combattants se dirigeaient vers le centre de l'arène.
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Ren Sasaki, élève de l'académie de Lysium, descendit tranquillement, son katana accroché à sa ceinture.
Derrière lui, Keiko Ise, aux longs cheveux fous et au regard perçant, marchait avec une énergie frénétique.
Sa démarche semblait désordonnée, presque irrationnelle, et pourtant, une puissance menaçante émanait d'elle.
Pendant que les deux combattants se positionnaient, le corps ensanglanté et inconscient d'Hikari fut emmené précipitamment vers l'infirmerie, ses camarades regardant avec horreur ce qu'il en était advenu.
Keiko, debout en face de Ren, afficha un sourire dérangé, son regard s'attardant sur Kurayami qui sortait de l'arène.
— Alors, c'est toi que je dois battre pour me rapprocher de Kurayami… murmura-t-elle, d'un ton suffisant, ses yeux brillants d'une obsession malsaine. Je dois le rencontrer… Je dois l'affronter…
De l'autre côté, Ren restait impassible.
Sa respiration calme et régulière trahissait son sang-froid, mais ses yeux fixaient Keiko avec prudence.
— Cette fille est dangereuse… pensa-t-il. Je dois rester sur mes gardes.
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Dans le bloc des professeurs, Mme. Kuroda croisa les bras, observant Keiko avec une lueur de méfiance.
— Cette fille… Elle a quelque chose de perturbant, dit-elle à Mr. Ken.
— Oui, répondit Mr. Ken, fixant Keiko. Elle a une aura instable… Sa folie pourrait la rendre imprévisible.
Mr. Sato, assis près d'eux, hocha la tête en silence, se demandant comment ce combat allait se dérouler.
L'énergie dans l'air était différente cette fois-ci, comme si quelque chose de plus sinistre menaçait de se révéler.
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L'arbitre leva la main, son regard allant d'un combattant à l'autre.
— Que le combat commence !
Dès l'instant où ces mots furent prononcés, Keiko disparut de sa position initiale, se précipitant sur Ren avec une vitesse vertigineuse.
Le vent siffla autour d'elle, sa magie du vent l'entourant comme une tempête invisible, amplifiant chacun de ses mouvements.
Son katana scintilla dans la lumière du soleil alors qu'elle l'abattait avec une force démesurée.
Ren, avec une rapidité calculée, leva son katana pour bloquer l'attaque.
Le choc entre les deux lames résonna dans l'arène, mais Keiko ne s'arrêta pas là.
Utilisant sa maîtrise du vent, elle se propulsa dans les airs, tourbillonnant autour de Ren comme un ouragan destructeur.
— Tu ne pourras pas m'arrêter ! cria Keiko, sa voix emplie de folie. Je dois le rencontrer, je dois… je dois affronter Kurayami !
Ren serra les dents, déstabilisé par l'agressivité chaotique de son adversaire.
Elle frappait sans relâche, chaque coup plus violent que le précédent, mais derrière cette furie, Ren sentait un désespoir.
— Tu es trop obsédée par lui… pensa Ren en évitant une nouvelle attaque, ses pieds glissant sur le sol de l'arène. Ta folie te rend prévisible.
Soudain, le sol de l'arène commença à se recouvrir de givre.
Ren libérait lentement sa magie de glace, gelant l'air autour de lui pour ralentir les mouvements de Keiko.
Chaque fois qu'elle approchait, une barrière de glace se formait, entravant sa trajectoire.
— Tu ne m'arrêteras pas avec ce froid ridicule ! cria Keiko, déchaînée, alors qu'elle dispersait les murs de glace avec des rafales de vent.
Mais Ren sourit légèrement.
— On va voir ça…
D'un geste vif, il planta son katana dans le sol, libérant une vague de glace qui recouvrit instantanément la moitié de l'arène.
Le sol gelé devint un champ de bataille glissant, limitant les mouvements de Keiko, qui peinait à garder son équilibre malgré sa magie du vent.
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Dans les tribunes, les spectateurs observaient avec fascination.
Leurs yeux allaient d'un combattant à l'autre, tentant de prédire l'issue de ce duel épique.
Kurayami, lui, regardait silencieusement, encore marqué par son propre combat.
Aiko, à ses côtés, fronça les sourcils en voyant l'agressivité débridée de Keiko.
— Elle est folle… murmura Aiko.
— Plus qu'on ne le pense, répondit Yusuke, assis à côté d'elle. Elle est obsédée par le pouvoir de Kurayami.
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Dans l'arène, Keiko, même déséquilibrée, continuait de se battre avec une ténacité incroyable.
Elle lança une rafale de vent si puissante qu'elle brisa une partie de la glace, se précipitant vers Ren avec un cri de rage.
— Je t'aurai !
Mais Ren restait imperturbable.
Il attendit le moment exact où Keiko s'élança, puis dans un mouvement rapide et calculé, il fit apparaître une barrière de glace épaisse juste devant lui.
Keiko, surprise, s'écrasa violemment contre la barrière, son katana brisé sous l'impact.
Elle tomba au sol, son corps tremblant de douleur, mais même à terre, elle refusait d'abandonner.
— Je… dois… l'affronter… murmura-t-elle, les yeux pleins de larmes et de rage.
Ses lèvres tremblaient alors qu'elle murmurait encore et encore, comme si l'idée de le combattre était la seule chose qui maintenait son esprit à flot.
Ren, de son côté, restait debout, observant son adversaire avec un mélange de dédain et de pitié.
La folie de Keiko ne la rendait que plus imprévisible, mais aussi terriblement vulnérable.
Pourtant, quelque chose en lui hésitait à donner le coup de grâce.
Il ne voulait pas ajouter à son humiliation.
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Dans les tribunes, la tension était palpable.
Le public murmurait en voyant Keiko tenter de se relever une nouvelle fois.
Le sang maculait sa tenue, et son souffle était rauque et laborieux.
Mais l'intensité de son regard, rivé sur Kurayami, ne faiblissait pas.
Kurayami, lui, restait silencieux.
Son visage était impassible, mais à l'intérieur, il ne pouvait s'empêcher de ressentir une vague de malaise.
Pourquoi était-elle autant obsédée par lui ?
— Elle a perdu la tête, dit Aiko à voix basse, l'inquiétude perçant dans son ton.
— C'est plus que de la simple folie, intervint Yusuke, croisant les bras. C'est presque comme si elle cherchait à prouver quelque chose, à combler un vide…
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Dans les gradins, du côté des professeurs, la tension monta d'un cran.
Mme. Kuroda, les bras croisés, observait la scène avec un regard sévère.
— Elle n'est pas en état de continuer, dit-elle, sa voix froide trahissant son agacement. Elle devrait être arrêtée avant qu'elle ne se tue.
Mr. Ken hocha la tête lentement, mais ses yeux restaient rivés sur Ren.
— Ren ne va pas la tuer. Il est trop calculateur pour ça. Mais sa patience a des limites...
C'est à ce moment-là qu'Mr.Fujimoto, le professeur de Keiko, se leva. D'un ton arrogant, il déclara :
— Vous sous-estimez mon élève. Vous verrez qu'elle a encore des ressources. Il lança un regard dédaigneux à Mme. Kuroda et Mr. Ken. Ce n'est pas de ma faute si vos élèves ne sont pas à la hauteur de ce tournoi...
Mme. Kuroda tourna lentement la tête vers lui, ses yeux brillants de colère contenue.
— Elle est sur le point de mourir pour un combat déjà perdu. Et c'est ça que vous appelez être à la hauteur ?
— Elle se relève toujours, ne l'oubliez pas. Fujimoto ricana. Une véritable combattante ne connaît pas la défaite, même quand elle est à terre.
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Dans l'arène, Keiko tituba en se relevant encore une fois, utilisant ses dernières forces.
Le sang coulait de ses plaies, mais sa magie du vent commença à s'intensifier autour d'elle, comme un dernier hurlement avant l'agonie.
— Je... dois... te battre... pour lui... hurla-t-elle, ses yeux fixés sur Kurayami, son corps tremblant sous l'effort.
Elle fonça vers Ren une dernière fois, sa lame brisée, mais chargée d'énergie.
Ren, calme, planta à nouveau son katana dans le sol, libérant une tempête de glace autour de lui.
Le froid mordant se répandit dans l'arène, immobilisant Keiko à mi-course.
Sa magie du vent fut écrasée par l'intensité de la glace qui gela ses membres, stoppant son avancée.
— C'est terminé, murmura Ren, ses yeux froids fixés sur elle.
D'un coup sec, il abattit le plat de sa lame sur son cou, l'assommant instantanément.
Keiko s'effondra sur le sol glacé, son souffle coupé, et tout autour d'elle, le silence tomba dans l'arène.
Les spectateurs retinrent leur souffle.
L'arbitre se précipita pour déclarer la fin du combat.
— Le vainqueur est... Ren Sasaki !
L'arène, animée par des murmures et des applaudissements timides après l'annonce de la victoire de Ren, fut soudainement engloutie dans une atmosphère oppressante.
Un craquement résonna, comme si la terre elle-même se fissurait sous la pression.
Le sol de l'arène commença à se briser, des éclats de pierre volant dans toutes les directions, tandis qu'une aura écrasante se dégageait du corps de Keiko.
Elle n'était pas encore vaincue.
Son corps était à bout, déchiré par la douleur, mais elle se releva, ses yeux fous fixés sur Ren.
Du sang coulait de ses yeux, de ses oreilles, de sa bouche, et le long de son corps meurtri, mais elle ne semblait plus ressentir la douleur.
Sa rage et son obsession pour Kurayami alimentaient une force sombre et incontrôlable qui grandissait autour d'elle, déformant l'air et rendant l'atmosphère presque irrespirable.
— Je ne te laisserai pas gagner à ma place !! hurla-t-elle, sa voix déformée par la fureur, résonnant dans toute l'arène.
Avant que Ren ne puisse réagir, Keiko bondit sur lui avec une vitesse déconcertante.
Sa main, chargée d'une puissance dévastatrice, s'abattit sur lui avec un fracas assourdissant.
Dans un éclat brutal, elle brisa ses deux bras d'un coup, les os craquant sous la force surnaturelle de son assaut.
Ren hurla de douleur, son katana lui échappant des mains, tombant au sol alors que son corps tout entier subissait l'impact.
Sans lui laisser le temps de reprendre son souffle, Keiko enchaîna avec un coup de pied phénoménal qui projeta Ren à l'autre bout de l'arène.
Il traversa l'air avant de s'écraser violemment contre le mur de l'arène, laissant une profonde fissure derrière lui.
Son corps retomba lourdement, inerte, sur le sol.
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Dans les tribunes, un silence de plomb s'abattit.
Le souffle coupé, les spectateurs regardaient la scène avec des yeux écarquillés, incapables de croire ce qu'ils voyaient.
Keiko, pourtant brisée physiquement, était désormais une force incontrôlable, animée par une rage dévorante.
— C'est... impossible... murmura Kiyomi, une sueur froide parcourant son corps.
Kurayami, quant à lui, la regardait avec une terreur silencieuse.
Il pouvait sentir cette obsession démesurée qu'elle avait pour lui, une obsession qui semblait maintenant la pousser bien au-delà de ses limites humaines.
Aiko, de son côté, fixait Keiko sans un mot, mais son regard était empli d'inquiétude et de colère.
Elle savait qu'il se passait quelque chose de profondément anormal, quelque chose que même les professeurs ne semblaient pas comprendre.
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Dans la section des professeurs, Mme. Kuroda se leva brusquement, les yeux rivés sur la scène qui se déroulait sous ses yeux.
— C'est impossible... Elle est censée être à terre. Comment... ?
Mr. Ken plissa les yeux, son visage marqué par une inquiétude grandissante.
— C'est plus qu'un simple combat. Elle puise dans une source de pouvoir dangereuse... murmura-t-il.
Pendant ce temps, Mr. Fujimoto, le professeur de Keiko, observait la scène avec un sourire satisfait. Il croisa les bras, confiant.
— Vous voyez ? lança-t-il d'un ton arrogant. C'est la force de la volonté. Mes élèves ne sont pas si faciles à battre. Elle ira jusqu'au bout, c'est ce qui la rend spéciale.
Mme. Kuroda serra les poings, les articulations blanchissant sous la pression.
— Non, c'est plus que de la simple volonté... murmura-t-elle, son regard rivé sur Keiko. Elle ne se contrôle plus... C'est dangereux.
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Dans l'arène, Keiko, debout au milieu des débris, fixait Ren, qui gisait au sol, à peine conscient.
Son regard dément était encore une fois tourné vers Kurayami.
Le tournoi ne comptait plus, la victoire ne la satisfaisait pas.
Elle voulait plus, beaucoup plus.
— Kurayami... souffla-t-elle entre deux respirations haletantes. Tu verras... Je te le prouverai...
Ren, malgré sa douleur, tenta de se relever, mais ses bras brisés et la douleur lancinante qui parcourait son corps l'immobilisaient.
Il pouvait voir Keiko s'avancer lentement vers lui, son aura meurtrière irradiant autour d'elle.
Elle leva une main, prête à en finir avec lui, mais son corps, trop endommagé par l'effort extrême, trembla soudainement.
Keiko tituba légèrement, le sang continuant de couler abondamment de ses blessures.
Son visage, déformé par la rage, montrait désormais des signes de fatigue extrême.
Son corps ne pouvait plus supporter cette puissance incontrôlable qu'elle avait déchaînée.
Elle vacilla, mais se força à continuer.
— Je... ne peux pas... perdre... Pas encore... murmura-t-elle.
Avant qu'elle ne puisse porter le coup final à Ren, son corps céda.
Ses jambes fléchirent, et elle s'effondra sur le sol.
Le silence s'abattit à nouveau dans l'arène.
Ren, malgré la douleur, ouvrit les yeux et regarda Keiko, effondrée.
Il avait survécu, mais à quel prix ?
L'arbitre, visiblement choqué et déstabilisé, leva timidement la main, confirmant une nouvelle fois la victoire.
— Le vainqueur est...
Mais le silence dans l'arène fut a nouveau rompu par un cri de rage déchirant.
Keiko, se releva, son corps brisé et son esprit consumé par l'obsession, se releva une fois de plus.
Ses yeux, injectés de sang, fixaient Ren avec une intensité meurtrière.
Ses bras tremblaient sous la pression qu'elle s'infligeait, mais elle ne céderait pas, pas encore.
Le vent tourbillonnait autour d'elle, déchirant le sol, arrachant des morceaux de pierre et créant une tempête dans l'arène.
— Si je ne peux pas gagner… Alors tu ne gagnera pas non plus !! hurla-t-elle, sa voix remplie de désespoir et de folie.
Avant que Ren ne puisse réagir, Keiko bondit sur lui avec une violence inouïe.
Ses mouvements, bien que chaotiques, étaient remplis d'une force brute, imprévisible.
Son poing s'écrasa contre sa garde, brisant la défense de Ren.
Sous la pression, ses bras cédèrent, un craquement sinistre résonna dans l'arène alors que les os de Ren se brisaient.
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Dans les tribunes, les spectateurs étaient pétrifiés.
Personne ne pouvait croire ce qu'ils venaient de voir.
L'ampleur de la violence, la folie dévorante de Keiko, et l'effondrement soudain de Ren... tout semblait irréel.
Kurayami fixait Keiko, son cœur battant à tout rompre.
Cette fille était allée bien au-delà de ses limites.
Il pouvait sentir cette aura maléfique qui l'entourait, une force ténébreuse qui ne pouvait être que le fruit de son obsession.
Mais cette fois, les applaudissements étaient absents.
Les spectateurs, figés par ce qu'ils venaient de voir, restaient silencieux.
Dans les tribunes, Kurayami ne pouvait détacher ses yeux de Keiko.
Il ne comprenait toujours pas pourquoi elle était allée si loin, pourquoi elle avait risqué sa vie de cette manière pour attirer son attention.
Mais une chose était certaine : quelque chose de plus sombre se cachait derrière son obsession.
— Elle est folle, murmura Kiyomi, le regard sombre. Mais pourquoi Kurayami ?
Aiko, toujours à ses côtés, secoua la tête.
— Elle a perdu la raison bien avant ce combat. Ce n'était plus un simple affrontement... C'était autre chose.
Kurayami hocha la tête, mais il ne pouvait s'empêcher de ressentir une étrange culpabilité.
Keiko avait poussé son corps au-delà de ses limites, et il ne pouvait s'empêcher de se demander si cela était en partie à cause de lui.