Aila avait l'impression de flotter et se sentit immédiatement réconfortée par les bras musclés et chauds qui la serraient contre son torse dur comme de la roche. Elle n'avait pas besoin d'ouvrir les yeux pour savoir dans quelles bras elle était; elle inspira profondément son odeur. Son parfum et son odeur boisée mélangés la faisaient se détendre encore plus.
Il la portait à la manière d'un marié, mais avec sa tête complètement blottie contre son torse et ses bras reposant sur son ventre. Aila se blottit davantage en lui et ressentit la vibration de sa poitrine, un ronronnement d'appréciation. Elle embrassa sa poitrine découverte et se détendit de nouveau, sentant sa main écarter quelques mèches de ses cheveux de son visage.