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Chapter 5 - CHAPITRE IV : LE DéNOUEMENT.

Benjamin et moi avons continué de nous voir pendant plusieurs jours et semaines suivants. Et nous étions vraiment très heureux ensemble, nous cheminions en longueur de soirée sans répit et reprenions nos chemins sans contraintes jusqu'à la tombée de la nuit. Ce phénomène se répéta tous les jours durant que nous nous vîmes. C'était vraiment le bonheur, j'étais tellement heureuse avec lui, il savait tellement me faire rire, sécher mes larmes pendant mes moments de blouse et de tristesses, il s'occupait bien de moi et j'en étais toute ravie.

Mon réveil sonna très tôt ce matin-là car j'avais un rendez-vous dans une institution universitaire de la place pas très loin de chez moi. Alors je me levai aussi tôt, pris une douche froide et rapide, puis prépara une tasse de café et un bol de céréale rapidos, enfin je quittai l'appartement en prenant soin d'écrire à mon amoureux où j'allais et que je ne tarderai pas. Une quinzaine de minutes plus tard j'étais devant ce grand institut universitaire. «Waouh que c'est beau, et grand, je sens que je vais m'y plaire» me suis-je dite tout en me remémorant l'idée d'y faire de nouvelles rencontres amicales. En entrant, je me renseignai auprès des dames assises dans le parterre de l'immeuble carrelé qui abrite cette institution unique dans mon esprit, «bonjour mesdames, pouvez-vous me renseigner où se trouve l'administration de l'université ?» puis d'un clin d'œil l'une d'entre elle me dirigea vers le couloir sobre tout en me disant, les escaliers puis la deuxième à droite. C'était la propriété privée, ah non, le bureau du Promoteur en personne. Après quelques hésitations, je décida de frapper à la porte, je vis un monsieur grand de taille, d'une soixantaine révolu, ouvrir précipitamment la porte devant moi tout en esquissant un large sourire, et me demanda d'entrer, ce que je fis avec beaucoup d'assurance. Une fois à l'intérieur, ce monsieur à l'allure d'un grand homme m'édifia sur les objectifs de la formation et les débouchés qu'offre son institut universitaire, ce qui me convainquit de prendre immédiatement une inscription en première année.

«Je vais enfin étudier les sciences environnementales, ce qui sera une nouvelle passion pour moi».

Mon inscription s'effectua sans anicroche car mon admission se situait parmi celle des derniers candidats et les cours étaient imminents. Je devais enfin pouvoir débuter mes premiers cours universitaires dans quelques jours seulement. Notre entretien se passa dans une atmosphère sereine et détendue, puis il me serra la main lorsque je lui rassurai qu'on se reverra probablement à la rentrée. Au sorti de son bureau, je me rendis soudainement compte que je n'avais pas encore fait les courses de la rentrée et j'eu juste le temps de courir dans le premier magasin le plus proche, pour acheter tout le nécessaire pour la rentrée ; formats, stylos de toutes couleurs, crayons, gommes, porte formats, classeurs, traceuses, etc. bref, tout ce dont je pourrai avoir besoin pour débuter et prendre les notes en salle de cours. Au bout d'une heure de courses, c'était enfin terminé et je prenais la route pour la maison encore une fois les bras chargés. Une fois à la maison, je déposais mes colis sur la table et telle une feuille de papier volant, je me jetai sur le canapé, qu'à l'instant j'entendis frapper à la porte alors qu'au fond de moi en me précipitant sur le battant pour l'ouvrir, je su qui serait de l'autre côté sans avoir à le demander. C'est ainsi qu'en ouvrant presque, je ressenti le parfum ardent et émoussé qu'exhalait le corps de mon grand benji plaqué tel un coffre inamovible sur le pat de la porte, je le fis entrer précieusement sans hésitation et referma derrière moi. Nous étions désormais assis tous les deux sur le sofa à se raconter les vicissitudes de nos journées respectives, qu'il m'annonça une excellente nouvelle.

Benji : J'ai été retenu comme professeur titulaire dans une école privée !!

Océane : Vraiment ? Je suis très heureuse pour toi, enfin t'as un boulot après avoir perdu le premier. Et moi je me suis finalement inscrite quelque part et commence les cours dès le lundi prochain.

Benji : Waouh enfin. Suis fière de toi mon amour, tu es si brave et perspicace, tu vas enfin entamer ton parcours universitaires dans cette nouvelle ville

Sans plus se soucier du temps qui s'égrenait à nos côtés, nous avons célébré toutes ces bonnes nouvelles avec du bon vin sabré et avons passé comme à l'accoutumée tout l'après-midi à faire l'amour aussi fort et virulent. C'était aussi intense et perverse que la peur d'alerter le voisinage nous regagnâmes alors que ce jet réparateur psychologique et sensationnel vient mettre fin aux hostilités de nos ébats amoureux. La peur de réveiller les voisins semblait me tarauder l'esprit, mais que non, mon Benji athlétique, puissant et inépuisable, semblait n'accorder aucune préoccupation à ceux qui pourraient sembler nous écouter. Oui, il sait me servir ce pied, me prendre et me rendre folle au lit, il sait convoquer en moi des esprits mon Dieu, et sans répit à chaque fois que ça devient parano pour nous deux, je n'arrive plus à cacher mon côté nymphomane pour ce grand et talentueux athlète idolâtrant. Je n'ai jamais cessé de penser que comparé aux copains de mon âge, Benji faisait plus que du double, j'étais à l'aube de mes 23 ans alors que lui frôlait la quarantaine. Mais le sentiment de me voir enlacée et engloutie dans ses longs et gigantesques membres me donnait l'effet de plus d'assurance et de protection. Son âge importait peut pour moi en ce moment-là, car l'amour aveugle et passionnel avait pris le dessus et pour moi, c'était l'essentiel. Déjà je me voyais dans un avenir pas trop lointain vivre et partager le même toit avec lui et fonder une famille, cette pensée m'effleura l'esprit à chaque fois que je ressentais cet envie cochon et taciturne de lui offrir indéfiniment mon cœur, peut-être ce fut la destinée ? Que je me ressaisissais lorsque je réalise qu'à peine un mois seulement s'est écoulé depuis que nous nous fréquentions et je ne voulais mettre la charrue avant les bœufs ; il est préférable que les choses arrivent d'elles-mêmes cette fois-ci. Après cette partie de sexe très intense, je me levai du lit sans faire de bruit pour ne pas réveiller la marmotte qui dormait en lui, et me dirigea dans la cuisine comme pour préparer le diner de remise en forme et récupérateur. Mais au moment où je m'apprêtais à commencer à cuisiner le diner, je sentis de gros bras musclés me saisir et me serrer avec frénésie contre ce corps puissant et velouté qu'était celui de mon Benji. Comme envoutée, j'entendis me chuchoter dans mon oreille gauche « chuuuttt, je ne veux pas que tu cuisine ce soir, je t'invite manger dehors aujourd'hui. ». J'étais très excitée à cette idée de sortir manger dehors, car c'était notre premier diner externe, d'habitude nous sortions en journée dans des « fast-foods », bars, snacks, alors je m'apprêtais rapidement tandis que mon chéri s'en alla chez lui pour se changer. Au bout de dix minutes, je le vis revenir tout prêt et élégant comme à son accoutumée. Moi par contre, comme par ensorcellement féminin, je n'étais pas toujours prête, entre la coiffure, le make-up, les talons et le choix de la tenue sexy à mouler, c'est tout un art éprouvant car Benji adore me voir sexy et aguichante. C'était presque devenu monotone d'être en talons pour répondre à la demande de mon prince charmant à chaque fois que je dois sortir avec lui. Enfin, une autre dizaine de minutes après, je suis prête et nous pouvions aller. Comme la majorité des hommes de son âge, Benji aimait le luxe, du haut de ses 1.99m, il arborait des saillons qui lui collaient à la peau tel un gang de main et conduisait un véhicule hors de gamme qui contrastait singulièrement avec les désirs de jeune de mon acabit. C'est dans sa superbe 4Runner SR5 qu'il vint tout étincelant et nous arrivions juste quelques minutes après au lieudit pas très loin de son garage habituel, pour y découvrir un petit restaurant très chaleureux et accueillant. Nous y sommes entrés et avons pris place sur une table dans un coin du petit restaurant, quelques minutes, puis la tenancière des lieux se présenta à nous en esquissant un joli sourire de bienvenue.

Serveuse : Bonsoir Madame et Monsieur, soyez les bienvenus chez nous, puis je vous être utile ?

Benji : Merci beaucoup, pouvons-nous avoir le menu ?

Serveuse : Ok monsieur, je vous l'apporte

Après quelques minutes de concertations sur la grille de menu adressée par la dame, elle revint vers nous cette fois pour prendre nos commandes

Benji : je voudrais avoir quelque chose de bien épicé, les côtelettes de porcelet accompagné de fritures de pomme, puis une boisson sans alcool

Serveuse : Ok monsieur, et vous madame ?

Océane : pareil que Monsieur.

Serveuse : Ok je vous apporte ça de suite.

À peine la serveuse partie que Benji me saisit et m'embrassa langoureusement, tout en me touchant de partout, comme il aime si bien me tripoter, il envoya ses mains sous ma robe moulante et retira ma petite culotte dentelée qu'il la mise dans sa poche, puis se mis à me doigter énergiquement que j'écartais de plus en plus mes jambes comme pour faciliter le passage de ses cinq doigts dans cette fente rose béante et toute chaude. Je commençais à espérer que la dame prenne plus de temps pour apporter notre commande que de l'autre main, il atteignit ma forte poitrine et me palpa les seins, puis ses lèvres ourleuses atteignirent mon téton dressé et se mirent à les sucer sans complaisance. J'étais très excitée quand j'introduisis ma main droite dans son pantalon et saisit son pied d'amour tout brulant, dure et tendu. On continua de s'embrasser comme deux amoureux imprudents et libéraux du moment où la lueur de la lumière voilée de notre coin stratégique ne pouvait offrir une grande visibilité aux clients de ce restaurant aux saveurs africaines.

Enfin arriva la serveuse les bras chargés de nos commandes.

Serveuse : sous un cri chatouillant, comme pour nous accompagner dans nos moments de pur bonheur, elle s'exclama ''Eh monsieur, laissez même madame se reposer non? Vous partagez vos journées enliassâtes avec elle, les soirées également ne vous échappent pas ?'', puis sous d'un air amusant et décontracté mutuel, elle nous servi le repas.

Benji : Ha ha ha hum….. vous ne la connaissez pas bien hein madame …. celle-ci se reposer ?

Océane : Ha ha ha. Merci

Serveuse : Bon appétit et passer une agréable soirée.

Nous : Merci beaucoup.

Nous étions de nouveau seuls, et là Benji proposa de trinquer à notre amour et aux bonnes nouvelles de la journée, ce que nous fîmes naturellement. Puis nous avons entamé le repas qui était très copieux et délicieux dont j'ai mangé avec beaucoup d'appétit. Une fois le diner terminé, Benji me saisit par les mains et me demanda…

Benji : mon amour dit moi ce que tu ressens pour moi et pour nous deux plus exactement ?

Océane : Ok mon chéri, déjà tu sais combien c'est difficile pour moi de parler de mes sentiments, mais je vais tout de même t'ouvrir mon cœur. Mon chéri je ne savais pas que je devais te rencontrer un jour du moins si tôt, mais ce fut le cas et je remercie le ciel pour cela. Chaque jour passé avec toi et chaque acte posé à tes côtés ont contribué favorablement à décupler mes sentiments pour toi, car oui maintenant j'en suis convaincu, je t'aime, je suis amoureuse de toi et je ne veux rien d'autre qu'être avec toi. ''Je lui disais ces mots en le fixant de mon regard larmoyant''.

Benji : Waouh chérie, je te sens très émue et sincère, merci pour cela, merci de m'avoir ouvert ton cœur. Tu sais chérie, je t'aime aussi très fort et tout comme toi, je pense que je suis également tombé amoureux de toi comme un adolescent. Et quel que soit les difficultés rencontrées, je n'aurais jamais souhaité que ça cesse. Je te promets qu'on surmontera tous les défis ensembles et que rien ne se mettra entre nous.

Sur ces belles déclarations d'amour, je me suis embrassée langoureusement avec amour, avec le satisfecit d'avoir trouvé la bonne et vraie personne de ma vie. Avant de partir définitivement du restaurant, je demandai à Benji de m'accompagner aux toilettes pour me mettre à l'aise. Pendant que j'étais accroupie dans la cabine à faire mon besoin, Benji entra brusquement et baissa sa braguette et sorti son gros canon appâtant tout pointu et tendu juste à la vue de ma fente que surplombait mon clitoris exsudant les urines. Il m'enfonça son canon dans la bouche directement sans m'y préparer. Je le suçai ainsi tendrement pendant quelques minutes, j'étais entichée par mon acte que les bruits venant de l'autre côté des toilettes estompèrent ce joyeux délice. Nous nous sommes vites habillés, puis libéré les lieux insoupçonnés pour notre acte. Sur le chemin retour, sans demander mon avis, Benji détourna le trajet et débarqua directement chez lui. A peine arrivés, qu'on descendit du véhicule qu'il me porta directement dans la chambre, me déchira les habits, me lança sur le lit tel un papier et se mit à m'embrasser farouchement, me doigta, et m'enfonça son gros canon dans ma position préférée celle de la lavande, comme un cheval, il me baisa ainsi toute la nuit. Je me livrais inlassablement à toutes les positions cochonnes du Kamasoutra que m'imposait mon héros. C'était juste magique et merveilleux. C'est ainsi que nous passions le week-end au lit à manger, dormir, faire l'amour.

Le lundi tant attendu, jour de la rentrée universitaire arriva enfin, ma toute première rentrée académique au niveau 1. Je n'ai pu regretter d'avoir passé un an à la maison à m'occuper de la santé de mon père gravement malade et apporter un coup de pouce à ma mère. C'était du passé maintenant, j'étais déjà prête à partir lorsque j'ai reçu un message de Benji me disant qu'il était déjà paré pour son premier jour de travail et qu'on se reverra en soirée, je me mis à sourire et pris enfin la route pour l'école. J'arrivais dans ce grand institut au bout de quelques minutes plus tard. Je franchis le portail métallique toute excitée et me dirigeai directement vers ma salle, question de vite choisir un bon siège et attendre stupéfaite mon tout premier professeur. Ma timidité m'emmena à choisir le dernier banc pour rester en retrait du regard moqueur de mes camarades et ne pas me faire remarquer. Quelques minutes plus tard, je vis mes camarades entrer brusquement en salle en s'écriant, le professeur arrive. Il poussa la porte et là je tombai des nus en voyant qui entrait. Non ce n'est pas possible, comment ça? J'étais perdue, décontenancée, déconcertée et presque déboussolée. Mon Dieu !!

Professeur : Bonjour à tous je suis votre nouveau professeur titulaire, Mr Benjamin OTTOU

Après que nous nous sommes levés pour lui souhaiter un bon début d'année, il fit d'un geste de la main, comme pour nous demander de nous asseoir.