Plusieurs mois se sont écoulés depuis notre voyage d'étude, et tout se passe pour le mieux avec Benji malgré le comportement séduisant de cette fille. On continuait à se voir discrètement sans se faire remarquer. Ce n'était pas du tout facile de se voir et se traverser dans les couloirs sans se parler, sans s'embrasser, s'en faire l'amour. Je portais des vêtements sexy et moulant pour l'exciter et le rendre fous. Et pendant les cours j'avais pour habitude de m'asseoir derrière, de laisser ma jupe entre ouverte toujours dans l'optique de le séduire. Et ça m'a musait toujours de le voir guetter à l'intérieur et en même temps essayer de pas se faire voir par les étudiants, c'était trop drôle. Il le savait que je le faisais exprès.
L'année académique touchait à sa fin et nous n'étions que heureux de cesser de se cacher, même si ce n'était que temporairement. J'avais réussi ma première année avec une bonne moyenne général mais pas grâce à Benji comme vous pouvez le croire mais grâce à mes efforts et mon travail personnel, car Benji et moi ne mélangeons jamais le professionnel et le personnel. Nous sommes allés passer du temps ensemble à l'hôtel rien que pour être à deux et oublier l'école, les collègues, camarades, etc. Nous y avons passé 3 jours rien que tous les deux à parler de nous, de, notre amour, à comment après l'université on doit faire un enfant, surtout que Benji adorait avoir un garçon qui sera exactement aussi beau que lui. Après toutes ces discussions d'amour nous passions à l'acte proprement dite d'amour. Mon Dieu cet homme sait faire l'amour à une femme c'est juste tellement bon, excitant, je ressens des frissons parcourir tout mon corps comme l'électricité, le courant, le feu de l'amour. Il me faisait toujours me sentir aimer, valoriser, femme. Il dégustait mon corps avec tant d'amour, d'appétit, d'envie, de reconnaissance. A chaque chatte de sa part je ressentais toujours ce gout, cette sensation de bien-être, car je savais qu'il prenait tout en main, qu'il saurait me rendre heureuse, satisfaite, obtenir le plaisir que je n'avais encore jusqu'ici jamais ressenti. Nous faisions l'amour comme des bêtes, dans tous les sens, il me baisait comme lui seul a ce secret, je criais tellement de douleur et à la fois de plaisir. Et lui ne cessait de me répéter à l'oreille de crier comme je veux je vais encaisser son gros et énorme pénis en moi, cette bite qui me défoncera le vagin, il me donnait des fessés, et me demandait de crier plus fort, « vas-y crie plus fort », et moi je lui répondais « donne-moi des noms cochons, chéri, aujourd'hui je ne suis pas ta femme, je suis ta pute, baise moi comme ta pute baby » A son tour me disait qu'il fait de mes exigences des ordres, « tiens cette grosse bite salle pute », « oui c'est ça continue », « t'es une vilaine, t'as été très très vilaine ». Nous passions ainsi 3 jours intense à faire l'amour tous les deux