Le temps est passe si vite autour de nous et cela va faire quelques mois que Benji et moi fréquentions le même établissement où nous devions continuer à faire semblant devant les étudiants, désormais condamnés à entretenir aux yeux de tous la relation uniquement de professeur à étudiante. Ce qui n'a jamais été facile pour moi, surtout depuis l'arrivée d'une nouvelle apprenante dans ma salle de classe. Elle se prénomme Anabella, teint orange clair, cheveux sombre écarlate, poitrine voluptueuse avoisinant les 55 cm en circonférence. Humm, elle a les atouts que recherche mon homme, elle est typiquement du goût de mon Benji. ''Je sais qu'il raffole les filles aux fortes poitrines''. Comparée à moi, elle faisait plus de 10 cm de haut avec un pourtour de fesse identique au mien. J'ai commencé à avoir de la suspicion le premier jour que cette fille a franchi le seuil de notre salle de classe, alors que je ne la connaissais pas encore, je trouvais déjà en elle des atouts d'une potentielle concurrente, susceptible de seduire mon Benji qui risque de succomber à sa beauté. ''C'est mon homme et je sais ce qu'il désire en aime sur moi''.
Anabella est une jeune étudiante qui venait d'une région anglophone du pays, elle a décidé de poursuivre ses études universitaires dans une université de la capitale après son GCE A Level, équivalent du Baccalauréat Francophone. Comme un coup du sort, je m'interrogeais sur le mobile qui a pu l'orienter vers la même institution que moi ! Ne pouvait-elle pas s'orienter ailleurs ? Ne tentera-t-elle pas de séduire mon Benji ? Benji résistera-t-il au charme de cette dernière ? ''Oh Non, j'ai confiance en mon homme il ne saura me trahir…''. Autant de questions commencèrent à occuper mon imaginaire à l'entame. Pourtant je la trouvais super sympa et gentille mais je ne connaissais pas encore ses réelles intentions. Quelques jours s'épiloguèrent quand j'ai remarqué que Anabella essayait de se rapprocher de Benji, le collait à chaque fois que besoin se posait, se montrait très intéressée par son cours en salle et ne s'empêchait de poser des questions dont le rythme et la régularité devenaient déjà hostile et dédaigneux pour moi. C'est juste des moyens pour faire succomber mon Benji, elle n'arrêtait pas d'aller dans son bureau toutes les cinq minutes, ah peut-être que j'exagère un peu, mais je ne pouvais m'empêcher de penser qu'elle lui tourne autour. Le fait le plus choquant c'est lorsque cette ''peste'' a osé un jour demander à suivre des cours particuliers à domicile, mais à chaque fois Benji s'opposait tel un mur de glace, symbole d'insensibilité et de surdité. Malgré ce comportement rassurant de mon Benji, je restais perplexe me demandant si effectivement il sera différent des autres hommes, n'est-il pas comme tous les hommes ? Qui disent non aujourd'hui et change d'avis le lendemain ? L'arrivée d'Anabella devenait de plus en plus l'objet de ma hantise quotidienne. Je passais plus de temps à chercher des solutions pour contrecarrer ses plans machiavéliques, son accoutrement aguichant illuminait les esprits des camarades au quotidien, à fortiori l'admiration de ses enseignants. Je décidais de ne pas croiser les bras et surtout ne pas donner l'avantage à cette parvenue d'en mettre plein les yeux à mon homme.
La philosophie de formation de l'institut demande d'allier les cours théoriques reçus en salle avec la pratique sur le terrain, question de permettre aux apprenants de se familiariser avec les notions de cours et surtout de toucher du doigt certains aspects incompréhensibles des cours. C'est ainsi que chaque année des voyages d'étude sont organisés à cet effet et les étudiants se déploient dans un site sélectionné en fonction des objectifs à atteindre. Ces voyages durent généralement une semaine, durant laquelle ils vont devoir faire de nouvelles rencontres, renforcer leurs connaissances scientifiques, les liens mutuelles entre eux et entre enseignants, puis collecter les données qui seront analysées au retour et présentées dans différents rapports de terrain. Ce fameux mois des voyages d'études arriva enfin. Benji comme par miracle, fut désigné par l'administration de l'institut, responsable de la coordination de cette activité académique. J'étais très heureuse de mener cette activité enfin avec mon chéri bien que notre relation restait en secrète pour tous. De plus en plus l'emploi de temps de Benji devenait saturé, il manquait progressivement de temps et on ne pouvait plus se voir et passer aisément des moments de folie, il est devenu un couche-tard et sort tôt.
Ce soir-là, j'étais chez Benji on avait décidé de passer la nuit ensemble après un long moment d'absence.
Océane : Chéri, tu m'as tellement manqué.
Benji : je sais ma choupinette toi aussi.
Oceane : t'es sur ? Anabella est là pourtant non ?
Benji : Arrêt bébé ! puisque je te dis depuis le début qu'elle ne m'intéresse pas. Je n'ai d'yeux que pour toi, et tu le sais très bien.
Océane : je ne sais rien. Elle te tourne autour avec ses jupes moulantes, ses strings, ses seins dehors, j'en ai marre, s'il te plait mon amour, je sais qu'elle s'habille en fonction de tes humeurs, j'ai l'impression qu'elle sait même déjà comment s'aguicher pour détourner ton regard, et ça m'agace.
Benji : tu n'as pas besoin d'être jalouse chérie, canalise tes énergies puisque je ne la regarde même pas. Tu le sais, je sais deviner jusqu'à la couleur du string que tu portes, même quand je n'ai pas couché avec toi. Comme à l'instant, je peux deviner ce que tu arbore. Si tu doutes de cette prouesse, alors suit moi et tu seras surprise par ce don que je détiens.
Tel un mouton de panurge, je le suivi dans le recoin de la pièce et soudain, sans même avoir temps de lui répondre, Benji me porta et me posa sur la table, il retira en une vitesse éclaire mon corsage transparent qui dévoilait les joues de mes nichons, puis ôta d'un geste non régulier narquois, mon string rose avec ses dents, me fit monter sur un tabouret, me rabaissa le buste et ramena mes deux bras sur la table comme pour le soumettre à un cunnilingus. Voilà tout mon entre jambe découvert en vue de face et mes grosses lèvres ressorties telles deux coques d'arachides surplombées par mon clitoris saillant. C'était la première fois que je vis cette posture d'athlète soumise avec mon homme qui ne cesse d'inventer des positions pour mon plus grand bonheur. Posté sous mon postérieur, il en a plein la vue et peut renifler mon vagin encastrée dans deux versants que forment mes cuisses. Sans hésitation, il plongea sa tête sur mon fromage et se mis à me sucer délicieusement la chatte. Tel un moteur diesel, la pression montait progressivement lorsque ses mouvements de langue s'accentuèrent. Je ne pouvais accepter qu'il mette fin à cette activité sordide dont la sensation m'envahissait tout le corps, j'étais presque électrocutée lorsque je posa ma main derrière son cou comme pour emprisonner sa langue qui me procurait un plaisir infini. Je l'obligeais ainsi à ne pas céder sous le coup de la fatigue, tellement j'en avais envie. Benji me suça les abords du clitoris, plongea sa langue dans mon foutre et tel un burin en action, se mis à actionner des mouvements de vas et viens, cela me renda presque dingue, folle, j'étais aux anges, heureuse, détendue, rassurée, oui c'était un régal incommensurable, un moment de pure bonheur. IL continua ainsi et me mordillait délicatement le clitoris encore et encore alors que je continuais de gémir sans arrêt « Oui vas-y », « t'arrête pas », « Oh mon Dieu », « OOOOHHH fuck », « Oui encore encore encore ». Ensuite mon chéri me désagrafa le soutien-gorge, pris mes gros seins entre ses mains et commença a les masser sans retenue.
Benji : Mon Dieu quelle belle poitrine, ce sont mes seins à moi, je vais te les dévorer, je les ai sucé quand je veux, où je veux, sans tabou.
Il prit un de mes nichons et l'enfonça dans sa bouche, il me suça langoureusement le téton qui s'est immédiatement mis à se redresser, on dirait un cheveu sous l'effet des frissons, oui, il s'écria par la suite, ''ouuiii, les gros nichons comme j'aime'', il répéta plusieurs fois ce geste tout en empoignant l'autre sein dans sa grosse main. Il les caressa de plus en plus fort, les appuyant, quel bonheur, quelle sensation de plaisir inexpliquée. Sans perdre de temps, il baissa sa culotte et sorti cet engin ardent qui me détruit à chaque coup la chatte, la bouche et l'anus. Cette bite que j'aimais tellement sucer me procure à chaque rencontre une sensation extrême et unique, car Benji savais si bien la tenir et s'en servir. Sans m'y préparer, il me retourna brutalement et me plaqua le ventre contre la table, puis d'un coup sec me l'enfonça en pleine bouchée par derrière comme j'aime tant. De l'autre main il empoigna mes cheveux et les tira jusqu'à lui. J'étais presque ivre de lui, il me traita telle une esclave sexuelle, me brutalisa dans tous les sens, me gifla sans cesse le fessier et j'adorais tout cela. Benji me baisa tellement fort que j'eu peur que la table ne cède face au poids et à la pression des coups que nous recevions. J'étais comme une salope électrocutée et coincée sur un poteau électrique, tellement je tremblais suite à la pression des coups qu'il me donnait. J'étais devenue si faible et fragile qu'il me retourna tel un papier volant, écarta mes pieds en l'air et enfonça sa bite tout au fond de moi, c'était merveilleux de ressentir ce gros muscle tout au fond de moi.
Le lendemain était le jour du voyage départ, pour ne pas éveiller les soupçons, Benji et moi sommes partis à des heures différentes. Moi d'abord à 6H30, pour arriver au même moment que les autres étudiants. Benji quant à lui, est arrivé plu tard en dernier lieu aux environs de 7H20. Une dizaine de minutes plus tard, nous avons embarqué dans le bus, et sommes partis en direction d'une ville qui m'était jusque-là inconnue. Fidèles à notre optique de ne pas éveiller de soupçons, Benji et moi avons pris des sièges différents dans le bus. J'étais assise devant lui avec Inès, ma nouvelle meilleure amie avec qui nous comptons nos vies et nos relations mutuelles. Inès était très discrète et aimable. Elle était le genre de personne à qui on se confie facilement et qui sait garder la confidence. Très joviale et expressive, elle a su détecter au fil du temps la relation qui existait entre Benji et moi, mais son caractère cachotier lui obligea de garder le silence. Comme par extraordinaire, elle sut le jeu qui se déroulait ce matin-là. Benji et moi par obligeance de se communiquer, avions choisi de nous envoyer mutuellement des messages coquins par texto sans que personne ne s'en rendent compte. A un moment je me suis retourné pour voir ce que faisait mon amoureux, et là à ma grande surprise, je vis Annabella assise à côté de lui entrain de lui parler, j'étais verte de jalousie et rouge de colère. Je lui ai tenu un regard effroyablement obscur qu'il a compris immédiatement le sentiment de colère qui m'animait. Six heures de route plu tard, nous voilà arriver enfin dans cette forêt. Il y avait un petit chalet où j'imagine nous allions résider pour quelques jours avant de descendre en forêt. Chacun entra choisir où il allait dormir et comme vous l'imaginerez, Benji et moi avions choisi deux endroits bien différents. Mais Annabella avait encore réussi à se mettre tout près de lui, à ce moment j'étais incapable de réagir, je ne pouvais rien faire, ils allaient dormir côte à côte, alors que je partageais un petit lit pour deux avec Inès, dans une pièce en face. J'étais foncièrement jalouse d'imaginer ou de voir une fille frôler ou parler à mon amour, immédiatement le changeais de mine et devenais noire de colère. Mon cœur saignait, je me demandais jusqu'à quand allais-je continuer ainsi ? Il ne cessait de me rassurer par texto de lui faire confiance, de me calmer mais j'y arriverai pas. Lorsque vint le moment de préparer le diner, toutes les filles se retrouvèrent à l'endroit indiqué pour cette activité, les pierres du foyer étaient disposées à l'extérieur de la pièce et nous devions y apprêter et préparer nos différents menus, le temps de cette sortie académique. Benji était assis sur une chaise et regardait d'un air désintéressé comment on préparait à manger. J'étais restée dans la pièce lire quelques messages téléphoniques puis décidai de retrouver l'équipe en cuisine lorsque subitement je fus interpellée.
Annabella : Océane s'il te plait tu peux demander à notre professeur son gobelet ? je voudrais lui faire sa tasse de thé !
''Non mais j'hallucine, elle vient de me demander d'aller prendre le gobelet de mon chéri là ?''
Moi : Non désolée, vas-y chercher toi-même.
Ma copine Inès ayant suivi la scène, m'a suivi immédiatement dans la chambre lorsque je fis demi-tour.
Inès : Océane, qu'est ce qui ne va pas ? dit moi la vérité, il se passe un truc entre M. Benji et toi ? N'essayes pas de me mentir s'il-te-plait. Ton attitude envers Annabella est suspecte. Je te promets que ça restera entre toi et moi dans ces quatre murs.
Moi : On est ensemble bien avant d'arriver ici. Ce fut une coïncidence d'avoir été retenus au même moment. Lui en prof et moi comme son étudiante. Et depuis, on essaie d'être discrets tous les deux.
Inès : Ok. Je le savais déjà j'attendais juste que tu me le dises. Tu peux me faire confiance Océane. C'est le vœu de toute jeune fille de notre acabit, si la perche nous ai tendue, pourquoi ne pas la saisir, nulle ne connait sa destinée encore moins de quoi demain sera faite. Vas-y, fonce ma sœur ….. (S'écriât Inès en me tapotant sur l'épaule gauche).
Les jours se sont succédés comme à l'accoutumée, je ne cessais de me voir avec mon prince charmant, presque comme tous les soirs, nous nous trouvâmes englués comme deux taupes en chaleur sur la berge, à nous amouracher sans réserve, ni retenu du moment où notre séjour se passe dans la tranquillité, la sérénité et l'intime conviction. Annabella ne cessait de suivre Benji partout, ça devenait de plus en plus flagrant qu'elle le désirait sans relâche, ça se mouchardait entre étudiants surpris par ce comportement presque harassant de la part de cette dernière. La grande stupéfaction arriva sous le regard perplexe des étudiants, lorsque le jour de la traversée de la rivière à pirogue arriva, tout le monde se rangea dans la petite pirogue de fortune réservée à cet effet, elle devrait faire plusieurs tour transportant un maximum de 7 personnes. C'est alors que prétexta celle qui fut désormais ma rivale, ''j'ai tellement peur monsieur, je ne peux traverser dans cette bague toute seule, j'ai si peur et pour plus d'assurance, j'aimerai traverser avec vous''. Mon homme est un gentleman, il ne peut s'offusquer de cette doléance et la prenna par le bras pour l'emmener à son tour dans la pirogue où elle s'asseya à côté de lui, tout en le poignant par le bras. Je sentis en elle une envie certaine de se rapprocher davantage de mon Benji. Elle voulait toujours s'occuper de lui, le servir des que l'occasion se présente, le suivre partout, le coller sans cesse, tout ce cinéma me soulait à la fin. Malgré ces efforts vains, comme pour me rassurer de son désintéressement, Benji et moi faisions discrètement l'effort de se retrouver dans la nuit dès que l'heure de la couette sonna, nous avions repéré tout autour de la case de passage un endroit idéal, sous le planche à l'air libre, pour conduire nos parties de baise intense comme à l'accoutumée. C'était toujours aussi bon, surtout que nous le faisions en cachette comme des enfants qui font des bêtises, avec la sensation d'être surpris à tout moment. Cette posture agrémentait davantage le plaisir surtout lorsque sous le froid nocturne et le vent forestier qui soufflait sur nous d'en face, j'étais meurtrie cloisonnée sur la latte qui soutenait le planche, alors que la grosse bite de Benji était noyée dans ma chatte pleureuse, et je ne pouvais malgré quelques piqures de moustiques, insensibles, me contenter de la douleur que procurait le vas et vient de cet énorme pied d'amour qui me transperçait le vagin et se logeait tout au fond de moi.
Les jours passes en forest furent encore plus torrides. Au moment de monter le campement, Benji dissimula une tente qu'il monta non loin de la sienne et se souffla de l'occuper avec Inès au moment de la répartition, ce qui fut vite fait sans hésitation. Nous l'occupions finalement à trois et toutes les nuits, lorsque notre colocataire s'endormait profondément, je faisais signe à Inès qui ouvrait sans bruit la fermeture de la porte et je sortais discrètement pour retrouver mon homme à trois pas de notre logis. C'est durant ce voyage que j'appris à dormis nue tous les soirs, dans une tente de camping pour deux, sur un matelas gonflable, tels les mariés, enlacée dans les long bras de mon amour. Il me faisait l'amour à l'étouffée, car j'étais privée de gémissements pour ne pas alerter le voisinage. Souvent quelques gouttes de pluies agrémentaient nos fous moments de liesse et de plaisir infini. Ce fut ainsi tous les soirs, Benji me baisait copieusement au point de m'élargir les muscles du vagin, je n'avais plus besoin de préliminaire lorsqu'il me touchait, le simple fait de le voir ou d'être proche de lui, me mouillait aussitôt. Toutes les nuits, nous allions au minimum à trois étages de paroxysme, sans compter le petit coup matinal que je recevais en plein sommeil avant de rejoindre notre logis. Je sortais tous les jours de sa tente satisfaite et passait une journée alléchante et accomplie, lorsque je vis le feuilleton d'Annabella en journée, pour moi ce n'était que de lointain souvenir. Nous profitions pleinement de notre séjour dans ces lieux sauvages et hospitaliers. Lorsque vint le jour du retour, chacun regagna sa place dans le bus comme au départ, tout se passait bien et sans problème, les étudiants offraient des déhanchés au rythme de la musique qui se jouait dans le bus, jusqu'au moment où l'insatiable concurrente décide de faire un twerk en plein bus pour impressionner Benji. Et à ma grande surprise, Benji s'est retourné et est reste perplexe comme figé et ensorcelé par les coups de reins que mettait cette dernière en plein vue, j'ai cru qu'il apprécia le spectacle lorsque je le vis esquisser un sourire. J'ai senti mon cœur meurtrir, me quitter, il était tellement concentré à regarder cette Pimbêche tourner les reins qu'il n'a même pas remarqué que je l'observais depuis un moment. J'ai cru en mourir.