Le premier jour de classe arriva si vite et l'appréhension de faire de nouvelles rencontres me lancinait que Mr Benjamin entra et fit sa présentation, au grand bonheur de tous mes camarades.
Lorsqu'il leva les yeux vers moi, il fut hébété et son visage se décomposa. Mon professeur n'était personne d'autre que mon amour, celui qui partageait mon lit depuis déjà plus d'un mois. Comment allons-nous gérez cette situation ? Pourquoi il fallait qu'une situation pareille nous arrive maintenant ? Alors que tout allait si bien entre nous. Le cours se passa assez mal, car j'étais déconcertée par ce qui venait de se passer. Etant donné qu'il est mon prof, il s'est abstenu de dire mot, aussitôt Benji sorti du cours après deux bonnes heures de leçons introductives, je m'empressai de lui écrire.
Océane : qu'est-ce qui vient de se passer là ?
Il me répondit directement après.
Benji : Je suis tout aussi perdu que toi, viens dans mon bureau après les cours, on va mieux en parler.
Océane : Ok à toute.
Immédiatement que j'ai eu juste le temps d'échanger ces quelques messages avec Benji, une jeune fille m'aborda pour faire la causette, c'était une camarade de classe.
Ma camarade : salut, pourquoi tu es esseulée et si calme dans ton coin ? Pourquoi tu ne te joins pas dans les conversations avec les autres ? En fait moi c'est Inès.
Moi : ravie de faire ta connaissance, moi c'est Océane. Et oui, comme tu as pu le constater, je suis un peu timide, surtout que je rejoins nouvellement l'université, je ne sais pas aller vers les gens.
Inès : ok je comprends. Suis-moi je t'introduis aux autres camarades.
Océane : Ok, allons-y Inès.
C'est ainsi que je fis la connaissance des autres camarades de classe et particulièrement de deux d'entre elles en dehors d'Inès, Paola et Angèle. Après cette brève trêve, la journée continua avec un bal incessant de professeurs qui se présentaient à tour de rôle devant les étudiants et présentaient leurs différents programmes de cours. Aussitôt la journée terminée, j'attendis que tous soient partis pour aller découvrir le nouveau bureau de mon amour et professeur Benji comme convenu. Je frappais à sa porte et il ouvrit aussitôt puis referma derrière moi.
Océane : Ecoute Benji, qu'est-ce qui se passe là ?
Benji : je suis tout aussi stupéfait que toi. C'est ici que tu t'es inscrite ?
Océane : et toi c'est ici que tu as été finalement retenu à ce que je voie!
Benji : Oui, c'était censé être le plus beau jour de ma vie. Enfin j'ai retrouvé un boulot tout aussi bien rémunéré.
Océane : qu'allons-nous faire actuellement? Face à ces circonstances ? il nous sera très compliqué de dissimuler notre amour auprès de ces centaines d'étudiants, et dans un environnement académique qui accueille autant de personnalités que d'enseignants !
Benji : Ecoute ma chérie, nous n'avons rien du tout à envisager, en dehors de la discrétion qui doit régner en maitre mot une fois que nous arpentons les murs de cet institut, à défaut, le désintéressement mutuel sera la clé du succès autant pour toi, que pour moi, certes ça va être difficile mais nous devons braver ces interdits pour assurer notre sécurité, c'est très important.
Océane : Oui je comprends, je vais fournir des efforts sur ce plan, mais je présage déjà que ce ne sera pas un long fleuve tranquille, je ne peux supporter passer tous ces moments à te regarder sans pouvoir te taquiner et te toucher ; je m'en foutrai du regard des autres, tu es mon amour et je ne permettrais pas à qui conque de te séduire, je connais le côté pervers des étudiantes. D'ailleurs, les filles de ma classe n'arrêtent pas de te complimenter.
Benji : T'inquiète chérie, ça va aller ; on a juste à être de très bon acteurs. Viens là.
Il me prit dans ses bras, alors que je fondai en arme et me serra fort contre lui assez longtemps comme pour m'étouffer, puis m'embrassa langoureusement comme il savait si bien le faire. Il me plaqua au mur et me palpa les seins, les fesses, puis souleva ma minijupe en fente et dénoua d'un geste brusque d'une main la corde de mon sous-vêtement cordiforme mal ajusté et de l'autre main, dégrafa mon soutien-gorge qui laissa aussitôt tomber mes gros nichons. Cela pris quelques secondes puis il me fit asseoir sur sa table de bureau, écarta mes jambes et s'installa tel un mur en béton, puis se mis à me sucer copieusement les mamelons qui se dressèrent progressivement, le geste frémissant de ses lèvres remontèrent jusqu'à ma bouche, où il m'embrassa sur les lèvres, le coup, et de fil en aiguille atteignit mon pubis. Je bavais déjà du dessous et le sentis de sa langue forcer l'ouverture de ma fente rose toute mouillée, puis de ses incisives, saisi mon clitoris qu'il s'est mis à mordiller délicatement tout en faisant des vas et vient de sa langue dans mon vagin en chaleur. J'étais comme morte d'excitation, je me sentais m'envoler à plusieurs étages dans les cieux. Pendant ce temps qu'il s'occupait sereinement de moi, une partie de moi se demandait, et si quelqu'un nous voyait ? ou encore pourquoi courions-nous tout ce risque ? Mais au fond de moi, je prenais mon plaisir dans cet environnement risqué, car c'est comme si ça rendait la partie de sexe encore plus savoureuse quand on a la crainte de se faire débusquer. Après plusieurs minutes d'activité paroxysmale, il sortit enfin de son pantalon ce gros canon ardent et à l'inextrémiste, me l'enfonça d'un seul coup sec avec une telle rage, tout d'abord de face, ses yeux fixés dans les miens, en me retenant de sa main par le cou comme pour m'embrigader dans une position ventrale confortable et me baisa copieusement comme si cet acte était prescrite en guise d'inauguration de ce nouveau cadre qui servirait désormais à abriter nos futurs ébats amoureux. Que de coups secs et vicieux, je hurlais à l'étouffée de peur de me faire entendre et il ne lui a pas fallu plus d'une quinzaine de minutes pour cracher ce venin ardent au fond de ma chatte béante. Cinq minutes seulement suffirent pour combler cet essoufflement qu'il reprit à nouveau. Cette fois il me retourna dos à lui, poitrine coincée sur sa table qui m'écrasait les nichons, il me défonça à nouveau de sa grosse verge raide et me frappa si fort et si violemment, comme une musique d'accordéon, j'adorai ce mélange rythmique que créait le bruit torride de ses coups de rein couplés aux gémissements que j'exaltais et les secousses que procurait la table de bureau. Ainsi je ne puis me retenir d'hurler, encore si fort, lui demandant de ne pas cesser et de continuer autant que possible dans cette cadence. Il prit sa main et la mise sur ma bouche pour étouffer mes cris stridents qui alertaient déjà le voisinage. Quelques minutes plus tard, j'atteignis mon extase et je fini par jouir au même moment que lui. À la fin de ce grand moment de plaisir intense, nous nous sommes servis d'un film hygiénique pour nous nettoyer, puis se rhabiller.
Benji : Waouh chérie, tu es merveilleuse, ça n'a jamais été aussi intense dans un nouveau milieu !
Océane : Et toi mon cœur, tu sais exactement comment me rendre folle, toi seul maitrise les tenants et les aboutissants de nos moments de plaisir.
Benji : Il est temps que tu retournes, il faut faire gaffe en sortant. Je ne vais pas tarder moi aussi, on se voit ce soir.
Il me posa un baiser chaud sur mon front, en signe d'attention
Océane : ok, à ce soir mon amour.
Je rentrai aussitôt après avoir inauguré ce nouveau bureau professionnel. Le soir arrivé, alors qu'installée sur le sofa, une tasse de café à la main, m'interrogeant avec un énorme sourire aux lèvres, comment on a pu faire l'amour pour la première fois dans son bureau ? C'était tellement bon et drôle. Mais une autre préoccupation me vint directement à l'esprit «Si jamais quelqu'un s'en apercevait, il pourra subtilement utiliser cet alibi pour penser que j'obtiendrai certainement des faveurs de mon nouveau prof en classe, et je ne l'accepterais jamais. Je ne veux en aucun cas de l'aide et je dois réussir par moi-même. J'ai confiance en Benji, jamais il ne ferait une chose pareille». je n'ai pas vu le temps passer, je ne cessais de me remémorer sur ce sujet lorsque soudain, j'entendis frapper à la porte et je su que c'était mon Benji, alors je m'empressai d'ouvrir.
Benji : Salut mon amour
Moi : Oui bébé, entre
Benji : Non ma chérie suis vraiment lessivé je voulais juste te souhaiter une bonne nuit et te faire un câlin avant de dormir.
Moi : Je comprends, bisous je t'aime. Bonne nuit mon amour.
Je refermai la porte un peu triste de ne pas pouvoir passer une nuit supplémentaire avec celui que j'aime tant, mais je me consolais avec l'idée qu'il devait surement être épuisé. C'est dans cet humeur de tristesse et de solitude que je suis allée sous la couette. Aussitôt j'ai posé la tête sur l'oreiller que Morphée m'appela pour un univers merveilleux et joyeux.