Une fois chez lui comme de coutume
Il ne manqua pas de vomir un beau poème :
« Regarde au tour de toi ;
Tu ne manqueras pas de dire que je suis ton roi.
Regarde ses oiseaux qui volent à travers le ciel.
Ils volent, planent comme un rêve dans un sommeil.
Regarde ces papillons qui se posent sur les fleurs.
Elles sont pour eux d'une grande valeur.
Regarde l'abeille qui vole à la quête du nectar.
Pour en trouver elle parcourt des hectares.
Tous profitent de la vie en leur manière.
Je t'invite à profiter de notre amour.
Je t'invite au bal du soir clair ;
Au festin des cœurs unis où
Il y aura tous ce dont les amoureux aiment :
Du nectar d'amour qui soûle à aimer ; de la crème
Et du pain de joie qui rendent heureux.
Toi et moi nous vivrons un amour fabuleux. »
Après le départ du renard le lion
Ne pouvait plus se retenir
Je ne saurai être vainqueur
Face à ce défi du renard rusé
Mais une chose est sure ; je dois aussi ruser
La ruse contre la ruse. L'échecs sa saveur
Il la gouttera amèrement
Et ensuite s'en suivra sa mort doucement
Toutes ces années passées dans cette forêt
Sans mère ; père sœur et frère ;
Depuis mon tendre jeune âge fleurissant ;
À courir de gauche à droite à la chasse sans cesse
Des herbivores et même des prédateurs ravissants
Jusqu'au printemps de ma jeunesse ;
J'ai appris que : quel que soit la force d'un animal ;
Il a toujours une faiblesse abominable très pâle.
J'ai toujours réussi à percer celle de ma proie.
Très patient comme autre chasseur ne saurait faire pareil ;
J'analyse et je perçois sa faille.
J'attaque et elle porte la croix
D'une mort chaude entre mes dents d'or.
C'est la raison colossale pour laquelle je suis le plus fort.
Devant moi tout est devenu ébranlable.
Dans toutes les forêts sont contées mes prouesses.
Mais cette fois ci il ne s'agit pas d'une chasse.
Alors que la bouche de l'homme n'est palpable
Celle de la femme est encore plus maniable
Et assoiffé de plaisirs.
Si je ne peux avoir la réponse de lui ; sa femme si !