•Rosalie
J'ai hésité un peu avant d'entrer mais je savais qu'Alios n'était jamais en tort. C'était un bon enfant. Il se souvient à peine de ce qui s'est passé toutes ces années, mais il se souvient de moi. Et il veut me revoir, alors ça ne suffit pas ?
J'ai ouvert la porte et suis entrée sur son lieu de travail. Il était debout derrière le comptoir et en entendant la porte, il m'a regardée.
« Rosy ! » Son visage s'est illuminé.
« Salut Alios. » J'ai salué de la main en retour.
« Tu es vraiment venue. Je suis content. » Il m'a adressé un sourire. « Ça veut dire que tu ne me détestes pas, n'est-ce pas ? »
« Non. Je ne te déteste pas. » J'ai secoué la tête, « Je n'ai jamais détesté. »