La femme regarda ses mains, fixant du regard alors qu'elle répondait, "Je sais. Je sais," murmura-t-elle, "Je ne peux pas imaginer ma vie sans vous deux. Tu es important pour moi, Gabriel. Même quand ma propre famille a refusé de me garder."
Gabriel prit sa femme dans ses bras, "Je sais, chérie", il lui caressa doucement le dos, "Que dirais-tu de ça. Vous partez toutes les deux d'abord et je vous rejoindrai après quelques heures. Personne ne se méfiera de deux humains, surtout quand il s'agit d'une mère et d'une fille."
"Et si tu te fais prendre ?"
"Je ne le ferai pas", promit-il. Je n'ai jamais été pris auparavant et je ne le serai pas maintenant. Se retirant, la femme regarda son mari, un peu perdue dans ses propres pensées. Observant son expression abrutie, il lui demanda : "D'accord ?"
"D'accord..." elle parvint à lui adresser un sourire, "Tu as parlé de la sorcière blanche qui est morte. Comment as-tu mis la main sur l'achèvement de la potion alors ?"
