Dans le précédent chapitre ...
- Je me retrouve dans la chambre d'un adolescent qui semble avoir le même âge que moi .
- Il s'appelle Zak et c'est un fantôme (plutôt pas mal) .
-Des mains sombres sortent de son clavecin dès qu'il joue de la musique et ces mains sombrent m'ont capturé .
- Je suis rentrée dans ses souvenirs et j'ai découvert de quelle façon il est mort .
- J'ai voulu le sauver mais ça n'a servi à rien puisqu'il m'a sauvé.
- Je me suis réveillée (brutalement) dans ma chambre .
- Et j'ai passé un peu de ma soirée avec mon nouveau colocataire fantôme .
Voici la suite !
Ça y est ,c'est le grand jour . Pendant des semaines ,je me suis préparée à faire en sorte que ce grand jour soit parfait !
J'enfile mes talons de 2 centimètres , ma chemise noire à pois blanches et ma jupe blanche droite . Je prends mon sac et ma doudoune grise et je l'accroche à ma taille . Bah quoi ? Il y a un problème ? Je préfère être moi-même que d'interpréter une personne que je ne suis pas !
Je sors fièrement de ma chambre et Zak me regarde de manière bizarre .
Moi : Qu'est-ce qu'il y a ? J'ai un truc sur le visage ? Dis-je en me touchant le visage .
Il fronce les sourcils ,enlève la brosse de sa bouche puis dit (avec plein de mousse à dentifrice autour de sa bouche) :
Zak : Non , c'est tes cheveux et ton collier qui me dérangent . Essaye-t-il d'articuler .
Je croise mes bras puis je lui demande ,un peu en rogne :
Moi : Ils ont quoi mes cheveux ? Et pourquoi le collier te dérange autant ? Dis-je en étant un peu énervée .
Zak : Déjà de 1 : T'as trois tresses qui sont défaites . Et de 2 : Ça ne t'étonne pas que le collier a brillé et qu'il s'est mis tout seul à ton cou ?
Moi : De 1 : Est-ce que tu peux me les refaire ,s'il te plaît ? et de 2 : Si ça m'a étonné quand il s'est mis tout seul à mon coup et qu'il a brillé mais, je n'ai toujours pas réussi à l'enlever et que là ,en ce moment de ma vie, j'ai d'autres problèmes ,Zak .
Je m'assois et je surfe sur les réseaux sociaux .
Je vois le profil de Liam et il a mis une nouvelle publication. Il a une moitié de visage caché par un livre qui est mon livre préféré : Bye-Bye Betty de Jean-Paul Nozière, la photo est en noir et blanc . Sur l'autre côté de son visage , il a une expression sombre et triste. Il porte le gros pull que je lui avais tricoté exprès pour le jour de son anniversaire , il avait dit qu'il ne l'a porterai jamais en public. Derrière lui, tout est sombre.
Dans la légende, il y a écrit :
"Ne jamais dire au revoir car au revoir signifie partir et partir signifie oublier"
Peter Pan
Il a mis ma citation préférée que j'ai même fait tatoué sur mon bras (en anglais bien sûr).
Zak : C'est pas le fameux Liam ? Demande-t-il en regardant mon téléphone et en ré-faisant mes tresses.
Moi : Si. On s'est disputé le soir de mon déménagement. Dis-je en tapant deux fois sur la photo pour aimer.
Zak : Donc c'est pour cela que tu avais l'air vraiment triste, avant-hier.
Moi : Ouais. Dis-je en éteignant mon téléphone. Zak , tu as fini de faire mes tresses ?
Zak : Ouais Farida, tu peux partir. Dit-il en allant ouvrir la porte.
Moi : Merci énormément ! J'y vais ! Dis-je en me dépêchant de courir avec mes talons.
Je descends les escaliers et je fais signe de la main à Zak.
Quand j'arrive au rez-de-chaussée et que je vais ouvrir la porte...
??? : Bonjour, Mlle. Farida...
Je crie de surprise puis je me sens rassurée quand je vois que c'est...
Moi : Madame Sanchez ! Quel surprise ! Dis-je en montrant mon étonnement.
Mme Sanchez : Oui, c'est la première fois que je vous vois. Vous êtes vraiment ravissante pour une noire ! Dit-elle avec beaucoup de joie (et d'hypocrisie).
J'ai horreur d'entendre : "Vous êtes belle pour une noire". Vous ne savez peut-être pas mais ça blesse énormément. Ça veut dire que vous trouvez tous les noires moches et dégoûtantes (en tous cas, c'est comme ça que je l'interprète).
Et c'est vraiment vexant et ch*ant à entendre.
Je lui répond d'une manière polie et honnête avec un sourire qui est plus ou moins sincère :
Moi : Merci beaucoup Madame ! Vous êtes gentille pour une personne riche ! Dis-je d'une voix qui ne veut pas être vexante.
Mme. Sanchez : Pouvez-vous répéter votre phrase, petite sotte ? Dit-elle avec un sourire et en fronçant les sourcils de colère.
Moi : Je n'ai pas de temps à perdre avec vous, j'ai une université qui m'attend. Dis-je en sortant de l'immeuble.
Je marche en direction de mon nouvel université avec mes écouteurs à mes oreilles en écoutant des musiques que j'aime.
Arrivée à mon nouvel université...
Je regarde la bâtisse et elle est juste...
Moi : Magnifique. Dis-je en admirant le bâtiment.
??? : Mlle. Lawson Juma Keta ! Dit une voix masculine assez jeune.
Je me retourne et je remarque que c'est un surveillant qui m'appelle.
Moi : Bonjour monsieur ! Dis-je en m'inclinant un peu par politesse.
??? : Je t'en prie ! Appelle moi Naïm ! Dit-il en étant un peu gêné et en étant joyeux.
Moi : D'accord... Naïm ! Dis-je avec un sourire.
Naïm : Je vais te faire visiter un peu le coin... D'accord ? Dit-il en me regardant avec beaucoup de confiance.
Moi : D'accord ! Je veux bien ! Dis-je en souriant.
J'éteins mon téléphone puis je le suis dans l'établissement.
En rentrant dans l'établissement, je vois plusieurs étudiants qui posent leurs regards sur moi. Ils murmurent des propos désagréables du genre : "Oh non! Pas encore des gens pauvres qui viennent d'une banlieue paumée !" ou encore "C'est elle la nouvelle ? Une nègre qui est pauvre en plus ?". Ça commence à m'énerver et je crois que Naïm l'a remarqué car il me chuchote que :"Ça va aller. Ils sont juste surpris qu'il y ait une nouvelle."
J'ai l'impression qu'ils sont plus... Énervés voire, agacés que je sois là.
Bon, je crois que je vais aller en classe.
Après être allée en cours...
Je vais manger dans la cour de l'université.
Je vois qu'il y a quelqu'un d'autre qui a ses écouteurs dans ses oreilles. On dirait qu'il parle avec quelqu'un au téléphone... Je m'approche de lui puis j'aperçois un fantôme à côté de lui.
Il fait semblant de discuter au téléphone alors qu'il parle au fantôme ! C'est ma méthode ça !
Je lui tapote l'épaule et il se retourne. Il me regarde, interloqué puis je dis :
Moi : Salut salut ! Est-ce que je peux manger avec vous ?
??? : Euh... Ouais, si tu veux. Dit-il, choqué.
Je m'assois à côté de lui et on passe un excellent moment malgré les regards noirs des autres.
Ah oui, le gars s'appelle Owen en passant.
Après avoir terminé les cours...
Owen me demande de venir l'accompagner aux casiers car il veut discuter avec moi.
Je l'attends aux casiers et soudain...
Les gens me renversent des seaux d'eau dessus et des gars me jettent des œufs. Parmi les gars, il y a Owen qui me jettent des bombes d'eaux en criant : "Sale nègre ! Dégage d'ici ! On ne veux plus jamais te voir !".
Je pars de l'établissement en courant et en pleurant.
Arrivée à mon appartement...
J'entends mon colocataire faire du clavecin.
J'enlève mes talons et mon manteau pour plus de discrétion.
J'essaie de ne pas faire de bruit en marchant sur la pointe des pieds et je pars me laver.
Après m'être lavée...
Je vais au salon toute propre et je vois Zak qui cuisine du Quaker.
Zak : Ah, salut Farida ! Dit-il en souriant tout en cuisinant. J'ai fait du Quaker car je me suis dis que c'était mieux de manger léger le soir et en plus, je-
Il arrête de parler car je l'enlace par l'arrière en laissant couler des larmes.
Zak : Ça ne va pas Far ? Demande-t-il inquiet.
Moi : Est-ce que c'est mal d'être... Africaine et... De vivre en banlieue ? Demandai-je d'une voix triste.
Zak éteint la plaque chauffante et se retourne pour me voir.
Zak : Pourquoi tu poses cette question ? Dit-il en souriant de manière triste.
Moi : Je... C'est ce gars qui s'appelle Owen. Il m'a tendu un piège et ils m'ont jeté des œufs et renversé de l'eau.
??? : P*tain de m*rde ! J'vais le tuer ce Owen! Dit une voix masculine familière derrière la porte de l'appartement de Zak.
Je vais ouvrir la porte, curieuse de savoir qui c'est. Et quand je ouvre la porte, Liam, Jess et Darren sont étalés parterre.
Moi : Mais... Qu'est-ce que vous foutez chez moi ? Dis-je, étonnée et confuse.
Jess : On est venus te rendre visite pour prendre de tes nouvelles et on s'est cachés dans la salle de musique de Zak . Mais apparemment... Tu as des problèmes avec Owen.
Moi : Vous connaissez Owen ? Dis-je choquée.
Darren : Qui ne connaît pas Owen Sanchez ? Dit-il en mode "Tout le monde le connaît".
Il sort son téléphone, tapote deux trois trucs sur son appareil puis il me montre la photo de son profil Pastagram.
Il est avec son père qui est... Oh non, pas lui.
Moi : Zak. Dis-je en lui demandant de venir. Regarde à côté du gars. Je murmure de manière plus discrète.
Il regarde la photo avec un sourire puis il se décompose et il commence à être en colère.
Liam : Y'a quoi Zak? Dit-il, impassible.
Il ne répond pas à Liam et comme ça fait un silence très gênant, je décide de parler.
Moi : Comme vous êtes venus me voir... Pourquoi pas ne pas profiter de la soirée ? Dis-je en souriant et en tapotant le dos de Darren pour qu'il enlève le profil de Owen.
Darren : Ouais! Bien sûr ! Dit-il en enlevant le profil et en éteignant son téléphone.
Jess : Je veux bien ! En plus, j'ai cours que demain après midi ! Dit-elle en me tenant le bras.
Liam : OK, pourquoi pas ! Dit-il, content.
Zak : Sans moi. Faut que je répète pour mon cours de clavecin. Dit-il, froidement.
Moi : Ah OK. Dis-je, un peu déçue.
Zak va dans la pièce à côté et commence à faire du clavecin.
On en profite pour faire un peu la fête , s'amuser, raconter nos journées,etc...
Après l'amusement...
Je vois que Jess, Darren et Liam dorment.
Je les traîne jusqu'à ma chambre et je les installe sur mon lit. Une fois installé, je les couvre avec mon énorme couverture que j'ai tricoté.
Je vais aller voir Zak, il n'a rien mangé et ça m'inquiète. Mais... C'est un fantôme donc il ne peut pas manger ! Qu'est-ce que je suis désespérante !
Je vais dormir sur le canapé de mon salon, c'est mieux comme ça.
Je m'installe sur le canapé et je remarque que la porte d'entrée est ouverte.
Zak a dû prendre un bol d'air frais ...
Je sors de l'appartement puis je monte les escaliers jusqu'à la porte du toit. J'ouvre cette porte, je la bloque avec une épingle à cheveux puis, je cherche Zak sur le toit.
Moi : Zak ! Zak ! Je cris en me promenant sur le toit. Tu es là Zak ?
J'entends des pas d'humain derrière mon dos, j'avoue que je commence à flipper mais dès que je sens l'odeur, je me rassure tout de suite.
Moi : C'est toi Liam ? Ah tu m'as fait peur ! J'ai cru que c'était un pervers pendant un moment ! Sinon, tu n'aurais pas vu Zak ? Je lui demande.
Je le regarde de plus près et je vois que ses yeux sont devenus rouges sangs.
Liam : Qu'est-ce qu'il a de plus que moi ? Demande-t-il, énervé.
Moi : Euh... Un clavecin ?
Il me donne un coup de pied qui me propulse sur une chaise en bois (que je casse dans ma chute).
Moi : Mais... Qu'est-ce qu'il t'arrive Liam ? Je demande en me relevant difficilement.
Liam : T'aimes les clavecinistes maintenant ? Dit-il en colère.
Moi : Bah, ça n'a pas vraiment changé depuis mes 3 ans... Dis-je en m'avançant pour être proche de lui.
Il lève son pied et essaye de me frapper mais... Zak apparaît devant moi et bloque le coup.
Moi : Zak ! Tu es là ! Dis-je avec un sourire joyeux.
Il projette Liam au sol de manière très brutale et un fantôme s'échappe du corps de Liam.
Zak : Liam a été possédé par les fantômes du dix-huitième étage, c'est un fantôme qui exprime tous les sentiments que l'être humain ressent.
Moi : Ça existe ? Dis-je étonné.
Zak : Non, je rigole ! Dit-il en rigolant.
Moi : T'es vachement drôle ! Dis-je avec beaucoup d'ironie.
Zak : Ça doit être autre chose qui l'a possédé. Dit-il en reprenant son ton sérieux.
Moi : Un démon ? Dis-je en réfléchissant.
Zak : Impossible. Dit-il en portant Liam sur son dos. Bon, on devrait aller dormir. T'as cours demain.
Moi : Ouais, t'as raison. Dis-je en le suivant dans les escaliers.
On descend les escaliers,rentre chez moi, ferme la porte à clé et on dépose Liam sur mon lit.
Zak : Tu peux dormir dans ma chambre, je dors sur le canapé de mon appartement .
Moi : OK. Bonne nuit Zak. Dis-je en allant dans sa chambre.
Je vais dans la pièce d'à côté puis je vais dormir dans sa chambre.
Le lendemain matin...
Je me réveille et je remarque que je ne suis pas dans la chambre de Zak.
Jess : Ils sont trop mignon ensemble ! Dit-elle avec une voix d'enfant.
Darren : Ils ont sûrement fait un plan à trois... Dit-il avec un air d'enquêteur.
Je me lève puis je vois que Liam et Zak sont torses nus.
Je crie de gêne en disant :
Moi : P*NAISE! LES GARS ! RÉVEILLEZ VOUS ET HABILLEZ VOUS ! Dis-je en les hurlant dessus et en m'enfuyant du salon pour aller dans la salle de bain.
Je vais me laver, je me brosse, je me porte un t-shirt manches courtes blanc, un pantalon noir et des baskets noirs et blanches. Puis je sors de ma chambre en faisant la bise à Jess, à Darren, à Liam et à Zak.
Moi : J'suis en retard ! À plus ! Dis-je en claquant la porte.
Je cours en descendant les escaliers puis je continue à courir jusqu'à mon établissement.
Arrivée à l'université à temps...
Je croise Naïm et je le salue.
Moi : Bonjour Naïm ! Dis-je, un peu intimidée en marchant .
Naïm : Salut. Dit-il sec en marchant.
Moi : Quelque chose ne va pas ? Dis-je en regardant son visage fermé et en marchant .
Naïm : Owen t'a balancé de l'eau et des œufs avec ses potes, n'est-ce pas ? Demande-t-il en colère en continuant de marcher.
Mon sourire se décompose et je demande :
Moi : Comment tu le sais ? Dis-je, un peu triste en continuant de marcher.
Naïm : Il l'a publié sur son Pastagram.
Moi : Ah OK.
Nous arrivons dans la cour et je vois Owen entrain de se faire étrangler par un gars plus grand que lui.
Ça ne peut pas être Ash car il est à son boulot (oui, je connais les horaires de travail de mon frère).
Je me rapproche des deux gars et je les sépare.
Moi : Stop ! Arrêtez de vous battre ! Dis-je en me mettant entre les deux gars.
Je regarde le gars qui a étranglé Owen et je dis :
Moi : Mec, à quoi tu joues ? Dis-je en le regardant droit dans les yeux.
??? : Ce b*tard t'a fait du mal et toi, tu fais rien. T'es quel genre de meuf ? Me dit-il, vraiment énervé.
Moi : Je suis ce genre de meuf qui ne s'abaisse pas à cette mentalité de timbré. Lui dis-je de manière sérieuse et sincère.
Je pose mon sac et je prends des chocolats et j'en donne à Owen.
Moi : Je suis celle qui pardonne aux gens.
Owen ouvre et mange les chocolats.
Moi : Je suis une personne que tout le monde croit douce...
Owen commence à hurler et à transpirer à grosses gouttes et se barre aux toilettes.
Moi :... Mais qui, en fait, est trois fois plus méchante et sadique que n'importe qui.
??? : Tu lui a foutu quoi à Owen pour qu'il court partout ? Dit-il en regardant Owen courir partout.
Moi : Le trinidad moruga scorpion, le piment le plus fort au monde ! J'en ai mis dans le chocolat noir et puis voilà le travail !
Naïm : Bravo ! Crie-t-il en m'applaudissant.
Moi : Merci ! Dis-je en faisant un clin d'œil à Naïm.
??? : Franchement... Respect. Dit-il en levant les mains, l'air résigné avec un petit sourire au coin.
Moi : Merci. Dis-je, honorée.
??? : Quel est ton blaze ? Demande-t-il, curieux.
Moi : Farida Lawson Juma Keta. Mais tout le monde m'appelle Far. Et toi ?
??? : Akim Nejem Ayyachi. Ravi de rencontrer une meuf aussi perspicace que moi.
Moi : Moi, je suis ravie de rencontrer un mec aussi... Prévenant.
Akim : Wesh Sis', arrête de mentir.
Moi : Ouais, je te trouve surtout c*n ! Pourquoi t'as fait ça ? Tu sais combien de gens voudraient être à ta place ?
Akim : Ok ok, j'ai capté. Arrête ton manque de tact et considère moi comme un bon pote, OK ?
Naïm : Et moi aussi, j'suis ton pote OK ?
Moi : OK pour Akim mais, toi Naïm, tu n'es pas censé être un surveillant ?
Akim et Naïm se regardent pendant quinze secondes puis éclatent de rire.
OK d'accord, je suis la seule à ne rien comprendre à cette situation ?
Naïm : Je suis pas un surveillant ! Dit-il entre deux rires.
Akim : C'est mon bro ! Il n'est pas surveillant mais il est étudiant ! Dit-il en essayant de se calmer.
Moi : Euh... Pardon ? Dis-je, toujours aussi paumée.
Naïm : J'étudie dans ton cursus avec Akim. Dit-il en me regardant en essayant de ne pas rigoler.
Je crie de stupeur puis je les poursuit dans les couloirs de l'université en les frappant avec mon sac fermé .
Après les cours de la journée...
Je rentre avec eux tout en écoutant Comment ça va de Papou. Même si elle date un peu (octobre 2015), ça me fait du bien.
Maintenant, je me suis non seulement réconciliée avec mes amis mais je me suis aussi trouvée des potes.
Malheureusement, je ne savais vraiment pas ce que l'avenir me réservait...
Fin de chapitre.