Norman :
Mon réflexe travaillait fort, et normalement j'aurais dû la jeter ou la repousser, essayant de garder l'environnement et notre relation propres et appropriés, mais en ce moment, ce n'était pas de sa faute.
Et je l'avais déjà suffisamment malmenée en pensant qu'elle m'attaquait. Je posai doucement mes mains sur son dos, avec un langage corporel très effrayé et tremblant, et la portai pour la reposer.
"Helanie ! Tu ne veux pas de ça. Tu te détesterai à ton réveil. Alors que dirais-tu de te reposer," parlais-je calmement.
C'était la première fois que j'avais l'occasion d'observer son visage de si près. Je l'avais vue auparavant, mais là, je savais qu'elle était tellement ivre qu'elle ne se souviendrait pas de tous ces détails le matin.
Je n'avais qu'un instant pour la fixer de près.
Les mots de maman résonnaient dans mon esprit, et je me suis rapidement opposé aux mots de ma mère lorsqu'elle décrivait les traits d'Helanie.
Ses mots ne rendaient pas justice à sa beauté.
