Point de vue de Jules
En descendant du taxi, je me sentais vidé comme un zombie en m'avançant dans le grand complexe. Quelques étudiants étaient éparpillés ici et là, occupés à différentes tâches.
Un sentiment de jalousie montait en moi. Je parierais que le reste des étudiants n'avait pas de soucis à part des questions idiotes comme les amourettes et leur popularité. Contrairement à moi qui suis toujours impliqué dans une crise ou une autre.
Même si je croyais fermement que la sorcière n'avait pas survécu, j'espérais encore qu'ils avaient raison et qu'elle suivait à présent un traitement.
Je marchais la tête baissée, déterminé à ne croiser personne que je connais ou toute personne cherchant à commencer des histoires inutiles avec moi, parce que si cela arrivait, j'éclaterais littéralement en larmes d'un coup.