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Pour quelqu'un qui avait passé beaucoup de temps en Italie lorsqu'il s'y rendait, l'italien était l'une des langues dans lesquelles César était assez courant.
Agressivement, il le lâcha et observa Suarez s'écraser au sol, inconscient.
"Oh, merde ! Maintenant, on doit l'emmener à l'hôpital et changer de salle," grogna M. Valentino, sortant précipitamment de la pièce pour appeler l'hôtesse.
César s'en moquait éperdument. Au lieu de cela, il se dirigea vers Adeline, qui était toujours figée sur place, immobile.
Était-ce toujours aussi violent ? La réunion n'avait même pas commencé et ils—
Son petit cadre fut attiré dans une étreinte chaleureuse avant qu'elle ne s'en rende compte. C'était César, son odeur était partout, brouillant ses sens.
Il avait enfoui son visage dans le creux de son cou, inspirant son parfum encore et encore comme si c'était la seule chose qui pouvait le calmer.
