"Monsieur, les loups ne montrent aucun signe de ralentissement. Dans les prochaines minutes, ils atteindront les portes et— "
"Et la barrière?" Clinton demanda à ses gens.
"Elle— il semble qu'elle a finalement perdu son effet," répondit un des soldats. "Monsieur, si les choses se dégradent, il y a un cheval à l'arrière. C'est un bon cheval. Nous allons distraire les loups, vous devez sauver votre propre vie en premier."
"Vous pensez que je ne sais pas ça!?" siffla Clinton, les yeux exorbités. "Pensez-vous que je resterais ici pour me battre dans un combat inutile?"
Le soldat dut réaliser son erreur car il s'inclina immédiatement et s'excusa auprès de Clinton.
"C'est vraiment ainsi que vous parlez aux gens qui vont sacrifier leur vie pour vous protéger?"
Clinton se figea lorsqu'il entendit la voix calme du Duc. Ce fou était réellement venu ici!
"Pourquoi êtes-vous ici?" demanda Clinton. "Je vous avais demandé de me donner un peu de temps pour décider."