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Roland se versa une tasse de thé et regarda Rossignol. « En veux-tu ? »
« Oui, merci. »
Allongée sur le canapé, elle lisait avec grand intérêt une pièce de théâtre nouvellement écrite par May. Elle tenait le livre d'une main et un morceau de poisson séché de l'autre.
Depuis qu'Anna lui avait parlé, elle avait disparu pendant deux jours. Quand elle était revenue, elle semblait soulagée, libre et détendue, comme elle l'était auparavant. Depuis son retour, Roland avait l'impression qu'elle lui souriait constamment et le regardait parfois du coin de l'œil avec un regard plein de vitalité.
Prenez ce qu'elle faisait maintenant, par exemple.
