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Chapter 13 - Chapitre 10 : Complexe militaire.

Dans la géante pièce au mur blanc, les robots blanc et gris, humanoïdes et cubiques se mirent alors à émettre un son simultanément alors que le son de leur pas s'approchant de nos héros résonnait dans la salle :

« Analysis of the enemy engaged.»

Alors qu'Alexandre avait emmené Marlène jusqu'à la cage d'ascenseur, il se retourna stupéfait et marmonna dans sa barbe :

– C'est la première fois que je les vois utiliser l'ancien langage !

Mylon et Adamantine, eux, se tenaient près à combattre, côte à côte pour défendre leur voie de sortie. Mais ils furent surpris lorsque les lumières bleus des robot passèrent du bleu aux rouges, c'est alors qu'ils furent tous figés, émettant cette fois un nouveau son :

« Error, error, error of analysis, must reboot for update »

Mylon et Adamantine ne comprenait pas ce qu'il se passait mais ce fut le cas pour Alexandre qui leur cria :

– Vite revenez ! C'est notre chance de s'en sortir. Ils devraient rester inactif comme ça un moment !

Mylon et Adamantine se regardèrent tout deux en hochant la tête avant de se rendre dans l'ascenseur. Alexandre appuya avec panique sur l'un des boutons leur permettant ainsi de s'échapper de cet étage. Ils furent tous silencieux, haletant après une telle expérience comme s'ils étaient épuisés physiquement bien que ce n'était que mentalement. Mais c'est alors que Mylon fut prit d'une colère envers Alexandre, il se dirigea vers lui et l'attrapa rapidement par le col de son gilet de velours nain. Il plaqua contre le mur, le soulevant un peu et commença à lui crier dessus :

– Vous !!! Vous nous aviez dit que cette quête n'était pas dangereuse ! Mais il y a de quoi détruire une ville entière là dedans !!

Alexandre répondit paniqué, de sa voix roque et avec un peu de mal :

– Je te jure que je ne savais rien gamin ! Même moi je suis perdu, rien ne l'indiquait dans mes données !

Adamantine qui fut perdue au départ essaya de résonner Mylon en lui posant une main sur l'épaule :

– Allez lâche le, je pense qu'il est sincère, pourquoi nous piéger ? Cela ne lui servirait à rien.

Marlène elle observait la scène dans un coin, elle n'osait pas s'exprimer sur le sujet car elle comprenait pourquoi Mylon pouvait être en colère. Celui-ci lâcha Alexandre et lui tourna son dos faisant face alors à Adamantine, il avait une expression de frustration sur son visage et il continua :

– Je sais mais … Si j'avais su je n'aurais pas emmené Marlène avec nous …

Marlène voulu parler pour défendre sa présence mais elle se retenu.

Alexandre, lui qui était tombé par terre se releva. Il prit alors une expression sérieuse avant de prendre la parole :

–Je te comprends, on ferait mieux de rebrousser chemin alors, si l'on vient à affronter cette armé même vous deux seriez submergé. On a eu la chance qu'ils t'ont analysé mais de ce que j'ai compris ils ne se désactiveront pas la prochaine fois, leur système se sont mis à jour.

– Mis à jour ? questionna Mylon

– Ah c'est vrai que vous ne connaissez pas ce vocabulaire … Voyez ça comme une évolution, maintenant l'erreur qu'ils faisaient en t'analysant n'apparaîtra plus.

Marlène écoutait toujours silencieuse la conversation. Elle n'avait ni l'expérience ni la capacité de prendre part puisqu'elle n'était qu'une enfant. Elle savait très bien que tout ce qu'elle pourrait dire ne pourrait les aider. Adamantine, elle, pensa à quelque chose lorsqu'elle entendis les paroles d'Alexandre et continua :

– Mais, si cela fonctionne comme la base de données qu'utilisent les chevaliers et le royaume pour référencer tous les citoyens. Cela veut dire que l'on ne peut plus utiliser Mylon pour sortir si le système s'est mis à jour ?! L'analyse au niveau de la porte ne fera plus d'erreur !

Le visage d'Alexandre devint pâle. Il se tena alors la barbe et dit faiblement :

– Oh saperlipopette ! C'est vrai ça, cela voudrait dire que pour sortir j'aurais besoin de trouver un terminal pour désactiver la sécurité ... Mais pour ça il faudrait qu'il y en ait un …

Mylon qui ne comprenait pas tout sur cette technologie demanda soucieux :

–Mais alors c'est quoi le plan ? Et d'ailleurs on se rends à quel étage là ?

Alexandre regarda le panel de bouton de la cage et il se rendu compte qu'il avait appuyé sur celui du deuxième étage.

– On va bientôt arriver au deuxième. De ce que j'ai pu voir sur le plan, c'est un endroit où se trouve un long couloir jonché de petites salles. Tout au bout de celui-ci, il y a l'air d'en avoir une plus grosse. Je propose de fouiller les petites avant, ce sera certainement sans danger cette fois-ci.

–Je vois, dit Mylon. Faisons ça mais vous et Marlène resterez constamment derrière nous, et s'il lui arrive quelque chose, je vous promets que vous le regretterez !

– Et vous le regretterez de moi aussi ! ajouta Adamantine.

Alexandre sentit les regards lourds de nos deux protagonistes et répondu alors d'un ton sérieux :

–Oui ne vous inquiétez pas, je la défendrais même si je dois en mourir !

Mylon se tourna vers alors Marlène pour l'interpeler :

– Tu as compris toi aussi Marlène ?

Elle prit alors une pose solennelle en faisant un salut militaire :

– C'est compris mon capichef !

Tout le monde souria pendant que l'ascenseur arriva aux deuxième étage.

Ils fouillèrent donc les petites salles en premier et n'y trouvèrent rien de dangereux. Ces salles contenaient surtout du matériel de la civilisation d'Eldovaria. Alexandre tomba sur une rangée d'armes et s'exclama :

– Ooooh ! C'est la première fois qu'il y a de telles choses dans ces infrastructures ! Hmm je me demande comment elles fonctionnent !

– Elles sont super cool en tout cas ! Ce style métallique et bleu, j'en veux une !

– Tu es peut être un peu trop jeune pour avoir une telle chose, la reprit Mylon.

– En effet, ajouta Adamantine. Même pour nous il serait compliquer de les maîtriser. De telles armes demanderaient un minimum d'expérience !

– Tes deux amis ont raisons, mais je peux t'en garder une pour quand tu seras plus grandes. D'ailleurs je vais en prendre plusieurs.

Il prit donc 3 armes qui ressemblaient à des mitraillettes futuristes. Il en plaça 2 dans son énorme sac et en accrocha une sur le dos de Marlène. Il prit aussi 4 épées dont les lames étaient faites d'énergie bleu qui pouvait être activées par un bouton. Il en mit deux dans son sac et en lança une a Adamantine et une autre à Mylon tout en leur intimant :

– Tenez ! Si jamais on tombe sur ces robots ces lames devraient facilement couper à travers leurs métal.

Ils continuèrent ensuite leur recherche dans les salles, Alexandre prenant ce qu'il pouvait comme des outils et objets de l'ancienne civilisation. Ils tombèrent aussi sur une salle où était entreposés des vêtements. Étrangement, ces affaires avaient l'aire d'être taillées pour un humain de taille normale. Cependant, certains d'entre eux étaient trop grands mais comportait un bouton. En appuyant dessus, Alexandre remarqua que la taille s'ajustait pour le porteur. Il prit ainsi des sets d'affaire pour 6 personnes qu'il fit rétrécir grâce aux boutons. Ils finirent leurs tours des petites pièces jonchant le long couloir. Il ne manquait plus finalement que la dernière pièce.

– Bon, tout le monde est près ? demanda Alexandre 

– Oui !

– Si jamais il y a un problème, restez derrière nous, ordonna Adamantine.

– Compris grande-soeur !

Ils entrèrent ainsi dans la plus grande pièce. Il y faisait sombre et un silence y régnait. Alexandre chercha un interrupteur comme à l'étage mais il n'en trouva point. Il se plaignit alors en parlant à voix basse :

– Et merde, je trouve pas l'interrupteur …

Mylon lui répondit aussi à voix basse :

– Ce n'est pas grave je vais nous éclairer, tenez vous prêt si jamais !

Il utilisa un sort et quatre petite flammes bleues apparurent autour de lui. Elles lévitaient autour de lui et il les dirigea à distance illuminant ainsi les recoin de la pièce. Celle-ci était très différente des autres. La poussière y était abondante, plusieurs bureau s'y trouvaient. En plus, la pièce semblait avoir été saccagée. Des feuilles traînaient par terre mais elles étaient tellement vieille que ce qui y fut un jour inscrit avait déjà disparut. Cela surprit nos aventuriers qui jusqu'alors n'avait croisé que des vestiges très bien entretenus de la civilisation d'Eldovaria. À croire que le temps n'avait pas eu d'effet sur ces infrastructures mais là c'était différent. Mais pourquoi ? Alexandre se mit ensuite à parler aux restes du groupe :

– Bon au moins ça à l'air d'être sans danger ! Mais c'est vraiment dans un salle état ici …

Mylon, lui s'était accroupi et avait posé sa main au sol. Il utilisait son sort « Search » dans la pièce et une révélation lui vint :

– Je crois savoir quel est le problème Alexandre, les mur de la pièce ainsi que le sol ne sont pas fait du même matériel que les autres. Il est fait d'un simple béton qui n'absorbe pas le mana environnant.

Alexandre fut surprit par sa déduction. Il utilisa son œil bionique gauche pour analyser la pièce et répondit :

– Mais c'est que t'as raisons, tu es vifs d'esprit dis donc ! La pièce n'absorbant pas le mana, le temps et la dégénérescence ont pris le dessus. J'espère que l'on va quand même pouvoir accéder à un terminal !

Ils se dirigèrent ensuite dans le fond de la pièce. Les flammes bleues firent ressortir du fond une drôle de silhouette cylindrique jonché d'une autre parallélépipédique. Alexandre les apercevant s'interrogea :

– Mais qu'est-ce que ?!!!

Il se mit à courir de suite en direction des silhouette. Le vieille homme arriva ainsi devant un pupitre recouvert de poussière qui était parsemé de bouton de couleur différentes et d'un clavier avec des lettres qui n'étaient pas les mêmes que celles couramment utilisées. Alexandre eu l'air réjouit. Il connecta son œil au terminal. L'écran de celui-ci s'alluma en bleu et éclaira un peu la pièce. Des informations avaient l'air d'apparaître sur cet écran alors qu'Alexandre tapait des choses sur le clavier. Il s'exprima :

– Attendez un peu les jeunes ! Je crois que je vais pouvoir régler nos soucis grâce à ce terminal, à commencer par la lumière. Ne vous éloignez pas trop ...

Marlène fut elle attirée par la silhouette cylindrique non loin du terminal. Elle s'en approcha donc et découvrit qu'il y avait plein de poussière. Elle essaya de frotter une partie pour voir ce que cela cachait avant de murmurer :

–C'est bizarre, on croirait du verre …

Elle essaya de voir à travers sans succès. Le verre ne laissait pas voir à travers bien que l'une des flammes bleu de Mylon l'éclairait. Elle décida alors de toquer sur le verre pour voir son épaisseur et le bruit retentit dans la pièce, attirant l'attention d'Adamantine et de Mylon qui se rapprochèrent eux aussi. Adamantine lui demanda avec curiosité :

– Qu'est ce que tu fais ?

– Je voulais voir ce qui y'avait à l'intérieur de cette chose, mais c'est impossible…

Adamantine se rapprocha elle aussi et essaya à son tour de voir à travers sans Toutefois, Mylon, lui, fut plutôt intrigué par le flux de mana. En utilisant « Search », il avait put voir autour de ce cylindre de verre que des câbles y étaient reliés. Ses câbles conduisaient du mana jusqu'à ce cylindre mais il ne pouvait étrangement distinguer ce qu'il y avait à travers. De son côté Alexandre finit enfin et clama haut et fort :

– Ah voilà !! Et maintenant que la lumière de Stella nous illumine !

Les lumières de la pièces s'allumèrent enfin, irradiant la salle d'une lumière blanche. À chaque allumage un petit « clic » pouvait se faire entendre. Lorsque la dernière lumière au dessus d'eux s'allumèrent, Mylon et Alexandre purent entendre deux cris aiguës simultanés :

–Aaaargh !!

Marlène et Adamantine firent toutes deux un bon en arrière quand le cylindre à la teinte noire pris subitement une teinte bleue, laissant enfin voir à travers. Mylon qui se trouvait derrière le cylindre et qui n'avait donc pas la vue sur son intérieur, leur demanda surprit par leur crie :

– Ça va ? Vous êtes toute pâle, on pourrait croire que vous êtes tombés sur un esprit !

Elles pointèrent toutes deux le devant en verre du cylindre avec un air choqué. Il fit alors le tour du cylindre pour observer son intérieur et fut choqué à son tour. Alexandre qui était toujours au niveau du terminal demanda l'air ennuyé :

– Mais qu'est-ce que vous avez bon sang ? 

Mylon ravala sa salive avant de répondre :

– U-u-une personne !! Il y a une personne qui fixe droit devant elle. On dirait une femme, elle est blanche comme un esprit !

Alexandre en fut abasourdi, il n'y croyait pas. Il se rapprocha du cylindre et fixa lui à son tour l'intérieur et s'exclama :

– Par la déesse Gaea ! 

Il observa de plus près la personne et utilisa l'analyse de son œil bionique pour essayer de trouver des informations sur la chose. Pendant ce temps, Adamantine et Marlène vinrent aux côté de Mylon, leurs regards furent happés par celui de la chose. Alexandre, lui, prit alors une expression sérieuse. Il se mit droit devant le cylindre et posa ses deux mains sur le verre avant de parler seul :

– Je n'en avais jamais vus ! Ces courbes, cette couleur, on peut voir des sortes d'interstices aux niveaux de ses articulations ! Il n'y a pas de doute, c'est l'une des technologies les plus avancées de cette civilisation. J'en ai enfin trouvé un !

Il se retourna pour faire face aux trois autres et leur demander :

– Vous savez ce que c'est ?

Il firent tous les trois signe non de la tête. Alexandre sourit avant de s'adresser à eux de manière solennelle :

– Et bien, sous vos yeux ébahis je vous présente, le seul et unique membre actuellement restant de la civilisation d'Eldovaria si je puis dire. Un androïde en parfait état ! Vous vous rendez comptes ?

Ils avaient tous les trois un air ahuri devant une telle chose et Marlène demanda hésitante :

– Un androïde ?

– Et oui petite ! C'est la combinaison ultime entre un être vivant et une machine. Au départ, cela devait être une membre de la civilisation Eldovarienne mais tout son corps de chair à été remplacé par des membres bioniques. Seul son esprit est resté intact, elle se trouve dans une sorte de stase grâce à ce drôle … d'incubateur ?

Il se retourna lentement vers l'incubateur lançant une nouvelle fois une analyse. Il était stupéfait devant cet incubateur et face à une pensée qui lui vint des données fournis par son œil.

Les autres eux se regardaient, ne comprenant pas vraiment la réaction d'Alexandre. Adamantine fut la première à s'adresser au vieille homme qui leur tournait le dos :

– Que fait on de cet androïde alors ? Si c'est une personne qui est piégée là, ne devrions nous pas la sortir d'ici ?

Mylon qui fixait l'androïde, intervint lui aussi :

–Je suis d'accord, on devrait la sortir ! Personne ne mérite d'être piégé éternellement comme cela.

Alexandre pensif répondu à voix basse :

– La sortir, oui la sortir …

Puis il cria « C'est ça !! » avant de se diriger en courant vers le terminal. Il se mit à taper sur le clavier tout en parlant aux trois autres :

– J'ai une idée les gamins ! Je vais ouvrir cet incubateur. Je vous demanderais d'en retirer l'androïde. Je vais faire quelque chose d'inimaginable, une chose dont tout scientifique rêve !

Un bip retentit et alors que Mylon demanda « Mais qu'est ce qu- » l'incubateur s'ouvrit et l'androïde tomba en avant sur lui. Il le rattrapa de justesse avant de ressentir un drôle de coup de jus au niveau de ses mains.

– Ouch !

L'androïde qui avait les yeux ouverts les ferma pendant qu'Adamantine aida Mylon à se relever. Ils la posèrent ensuite contre le mur. Alexandre, au niveau du panneau de contrôle, appela Adamantine qui vint alors à son niveau.

– Tiens, puisque c'est toi la plus calée en technologie, je vais te donner ce rôle. Quand je te le dirais tu appuieras sur le bouton bleu. Et ensuite à mon autre signal sur le bouton rouge.

– Je veux bien mais qu'est ce que vous comptez faire ?

– Ne t'inquiète pas ! Ce sera une surprise. Je vais accomplir l'impossible aujourd'hui, ce sera un grand jour pour la science !

Il se dirigea rapidement vers l'incubateur, déposa ses affaires à l'entré avant de s'installer torse nue dans celui-ci. Adamantine fut perplexe :

Dois-je vraiment le faire ? Qu'est ce qu'il veut à la fin ? Et si c'était dangereux ?

Elle croisa du regard celui de Mylon et sans un mot celui-ci hocha la tête comme si il eu comprit ce qu'elle voulait lui dire. Il prit alors l'androïde et Marlène avant de s'éloigner de l'incubateur. Il demanda ensuite à Marlène de bien rester derrière lui. 

Alexandre s'adressa alors à Adamantine :

– Bien tu peux appuyer sur le bouton bleu, le processus s'arrêtera normalement tout seul, mais si jamais j'en viens à crier appuie sur le rouge pour le couper, c'est la seule tâche que tu auras à réaliser !

 – D'accord mais vous êtes sûr ? Comment on fait si quelque chose vous arrive ?

– Ne t'inquiète pas, il n'y a pas d'avancée dans la science si l'on ne prends pas de risque ! Maintenant appuie sur le bouton bleu !

Bien qu'elle restait dubitative, elle écouta les instructions d'Alexandre. À l'appuie du bouton, l'incubateur se ferma et une lumière bleu vive irradia Alexandre, ne laissant paraître plus que sa silhouette. Tout avait l'air de bien se passer pour le moment. Mylon lui étudia avec « Search » ce qui était en train de se passer ce qui le fit souffrir de maux de tête.

Arrgh ma tête, cette lumière … C'est étrange, c'est comme si l'incubateur lui injectait du nouveau mana en recyclant l'ancien, mais qu'est-ce qu'il fait à la fin ?

Il se remémora les paroles d'Alexandre :

Il compte révolutionner la science ? Ce pourrait-il que-

Il fut coupé par des cris de douleur provenant de l'incubateur. On put entendre Alexandre gémir mais ce n'était pas sa même voix roque habituelle. Elle avait l'air de provenir d'une personne plus jeune :

– Stop ! Coupez la machine ! Le bouton rouge, le bouton rouge !

Adamantine appuya sur le bouton rouge mais rien y faisait, la machine ne voulait pas s'arrêter. Elle regarda Mylon et lui cria paniquée :

– Cela ne veut pas s'arrêter ! Qu'est-ce qu'on fait ?

Les cris de douleur d'Alexandre ce firent plus fort :

–VIIITE !!