Chereads / One man against the curse / Chapter 55 - CHAPITRE 55 : De l'amour soft pour une fois +18

Chapter 55 - CHAPITRE 55 : De l'amour soft pour une fois +18

« Le principe est simple. Vous choisissez entre action ou vérité et l'autre dit alors une chose en rapport avec le mot choisi. L'on peut commencer par un exemple. Choisissez. »

« Et bien... vérité. »

Inconsciemment, elle a rejeté l'action car sans y penser, elle y pensait. Ce mot avait clairement le potentiel de partir de manière très rapide dans quelque chose d'intime.

Même venant d'un autre monde, Médeilla l'a compris en dix secondes. Les esprits pervertis étaient partout... .

« Je vais poser une demande simple pour commencer. Alors par exemple quelle est la chose dont vous avez eu le plus honte en étant bourrée ? »

C'était une demande précise mais à première vue, elle n'engendrait rien de sexuelle. Même Max savait qu'il devait faire monter les choses petit à petit pour vouloir quelque chose.

Pour le moment, il pensait vraiment à s'amuser normalement. C'était ce qu'un gars de son âge ferait après tout, s'amuser !

« Moi bourrée ? Euh... je ne me souviens plus très bien. Tu sais j'ai souvent été avec la princesse alors je ne sais pas. J'étais toujours avec elle et elle avec moi. »

« Il doit bien avoir une chose. »

« Oh, je me souviens ! Nous étions encore petite et la princesse Vanessa avait volé de l'alcool pour cultivateur. Avant même d'en boire les vapeurs nous ont rendu ivres et je crois que je l'ai embrassé. »

Le visage de Médeilla est devenu rouge. Max n'avait rien contre ça mais les pensées de ce monde étaient à l'inverse de la Terre. Bien que le sexe entre femmes existaient, c'était comparable aux homosexuels sur Terre.

Putain... Médeilla et Vanessa qui s'embrassent... en fait c'est super chaud. Bon elles étaient plus petites mais bon, elles n'en restent pas moins très belles et c'est moi où elle met ses jambes exprès de cette manière.

Déjà qu'il pouvait voir un peu sa culotte en dentelle lorsqu'elle remuait de gêne, elle écartait sans le faire exprès ses jambes. Il avait une vue clairement béni des cieux.

« Tu peux me demander. »

Max a demandé en toussant. C'était attirant et un peu excitant sans l'être. Une sorte de séduction invisible. Les femmes de ce monde avaient ça après tout, c'était juste de l'instinct pour elles.

« Ah je vois. Je crois que j'ai compris. Alors action ou vérité ? »

« Vérité aussi. »

« Alors je voudrais que tu me racontes des choses de ton ancien monde. »

« Ce n'est pas... . »

Ce n'était pas le but du jeu mais bon... en repensant à tout ça, il était aussi un peu nostalgique. Une mélodie lui est revenue en tête, une mélodie triste lui rappelant les moments tristes.

« You go down just like holy mary... . »

Médeilla s'est tue en entendait cet autre langue. Même sans la comprendre l'aspect doux des paroles la touchait au cœur.

« mary on a... mary on a cross... . »

« your beauty never ever scared me... »

Puis ses mains ont mimé des gestes comme s'il touchait quelque chose. Sa tête s'est mise à bouger lentement. Ses doigts jouaient de la guitare... . Sa vie sur Terre était morne et triste.

« Ma vie... . J'étais un... . »

Il s'est mis à parler à raconter des choses et d'autres. Il devait expliquer certaines choses pour qu'elle comprenne. Comment ne pas être fasciné ? Elle a compris rapidement que l'autre monde n'avait pas l'énergie spirituelle mais qu'il était tout aussi puissant sur d'autres points.

« Et après il y a les étoiles et tout le reste... . »

Il n'a expliqué en détails lorsqu'il a parlé de la science, physique ou de l'espace. C'était encore plus complexe. Mais Médeilla a demandé car elle était plus que curieuse.

Alors il a parlé encore et encore jusqu'à retracer toute sa vie jusqu'au dernier jour... .

« Et voilà... . C'est une vie... simple et... huummm !! »

Max a senti des lèvres chaudes lui faire lever les poils du dos. Des frissons l'ont traversé.

« Ces types étaient ignobles, dit Médeilla. Si j'étais une fille de ton monde alors je serais sortit avec toi sans hésitation. »

Des mots inattendus et surtout une action qu'il ne s'attendait pas à recevoir comme ça. C'était un peu trop rapide et tactile.

« J'étais gros et moche. En aucun cas tu ne m'aurais aimé. »

« Ne dit pas n'importe quoi. Même si ton corps change, tu as la même âme. C'est toi juste un peu différent. Si tu regagnais ton corps d'avant cela ne me dérangerait pas du tout. Tu n'as pas à avoir honte de qui tu étais et de qui tu es. Soit juste celui que tu veux être. »

Il en est resté bouge pas. Tous ces mots... reflétaient sa vie d'avant et celle d'aujourd'hui. Ils contenaient tous ce qu'il rêvait d'entendre d'un côté. Qu'il n'était pas un loser un perdant.

« Merci... . »

L'ambiance est devenue encore plus douce et calme. Son excitation a disparu laissant place à une sorte d'ambiance soft. Entre les deux, ce n'était pas de l'amour pur, c'était comme du respect mutuel.

Un respect certes un peu spécial mais un respect très particulier. Ce serait comme pour un soir considérer un ami pas forcément très proche comme très important voir intime.

Max n'avait jamais ressenti ça et Médeilla non plus. Elle se sentait bien. Cet homme l'a mettait en confiance. Il savait s'adapter à tout le monde comme si justement il était fait pour être l'ami de tous.

C'était aussi dû en partit à ce nouveau monde où en tant qu'homme son comportement unique était attirant pour les femmes. Médeilla n'était pas une exception.

« Je crois que c'est à moi, dit Max avec un sourire taquin. »

Médeilla qui mettait encore en tête toutes les connaissances qu'il a donné s'est remise sur sa chaise correctement laissant toujours dans des mouvements semblant calculés sa culotte exposée de temps en temps.

« Vas-y. Je choisis action cette fois. »

« Madame n'a pas peur. »

« Je suis encore jeune s'il te plaît. »

« Bien bien, dans ce cas je vais un peu faire monter les choses. Prends des poses sexy. »

Bien sûr, voir des femmes nues est excitant mais je ne cherche pas trop sexy ce soir. Quelque chose d'érotique sera suffisant pour m'exciter. Dans l'ambiance actuelle, me stimuler visuellement est la meilleure chose à faire.

Max n'allait pas dire nan à faire avancer un peu les choses sachant que les deux le voulaient aussi au fond. Médeilla a rit en entendant ça. Elle s'est levée et a marché jusqu'à lui.

Elle s'est penchée courbant son dos dans un angle délicieux. On pouvait tracer les courbes de son corps avec précision tellement elles étaient merveilleuses. Max était tenté.

Mais elle l'en a empêché. Son visage proche de lui, leurs bouches à quelques centimètres elle a fait non du doigt le collant sur sa bouche. Elle s'est rapprochée de son oreille et a murmuré.

« Regarde et laisse moi te guider. »

Médeilla a fini par se mettre à califourchon sur lui détachant ses cheveux les laissant reprendre leur longueur naturelle. Rien que ça était beau à voir. Puis elle a bombé le torse faisant ressortir sa poitrine généreuse.

Elle a commencé à poser ses mains sur son corps les faire lentement descendre le long de son buste. Elle frétillait sur place pour stimuler Max et cela marchait vraiment.

Elle a même gémi légèrement en touchant sa poitrine. Ses yeux plongeant dans ceux de Max comme pour lui faire tout ressentir à distance. C'était ça l'érotisme. Transmettre sans toucher juste par les sensations.

Max tremblait et frémissait aussi sur place. Ses mains le démangeait. Elle était si proche mais si loin. Son corps était aussi très honnête... . Il bandait déjà énormément.

« Cela n'aura pas mis beaucoup de temps. »

« Je ne peux rien contre ça. Toucher mais ne rien pouvoir faire est vraiment unique comme sensation. »

« Mais je sais que tu veux toucher. Ne bouge pas c'est moi qui dirige tes mains. »

Elle lui a pris ses mains et les a mise sur ses fesses. Il a senti ses doigts plonger dans une sorte de chair souple et ferme à la fois. Il a sentit la tension en lui augmenter encore.

Médeilla a souri sinistrement en contractant ses muscles. Il sentait alors ses fesses se raffermir ou se détendre ses doigts plongeant dans la chair souple de ses fesses bien proportionnés.

« Ce n'est que le début petit homme... . »