Chereads / One man against the curse / Chapter 56 - CHAPITRE 56 : De l'amour soft pour une fois II +18

Chapter 56 - CHAPITRE 56 : De l'amour soft pour une fois II +18

Ce genre de petit mot était tout aussi efficace que des actes. Le corps entier de Max frissonnait encore plus. Les femmes de ce monde sont vraiment vraiment dangereuses mais c'est si bon !

Médeilla a alors fait bouger ses mains. Elle sentait qu'il tentait de se retenir de bouger ses doigts plus profondément dans ses courbes et sa chair. Elle en riait. Ce sourire était aussi hypnotique que la sensation dans ses mains.

Elle a fait remonter ses mains jusqu'à son buste. Ses mains passant dans sa robe frottant délicatement son ventre doux mais ferme. On sentait à la fois la force de ses muscles et pourtant c'était si doux... .

« Aaaaaahhhhh... . »

Max ne put se retenir de soupirer et expirer pour évacuer sa frustration grimpante. Il sentait ses mains remonter jusqu'à sa poitrine. Ses seins avaient une bonne taille. Elle pouvait en être fier.

Médeilla a vu le regard fixe du jeune homme sur sa poitrine. Elle même se sentait plus excitée. Elle voulait vraiment le faire saliver. Aucun homme ne jouerait à ce jeu là alors elle voulait en profiter.

Elle a bougé ses mains jusqu'à effleurer ses seins. Dans la robe, ils étaient compressés un peu et donc leur fermeté était encore plus grande. Mais elle le voulait aussi.

« Tu peux bouger tes mains uniquement sur mes seins, murmura-t-elle. »

Dès que les mots sont sortis, elle a gémi quand le contact des mains baladeuses enfin libres ont agrippé sa poitrine. C'était ça, ce qu'elle recherchait et les autres femmes aussi.

Un homme actif au lit et qui prend les devant !

Max était encore une fois au paradis. Quelle poitrine. On sent bien l'effort qu'elle donne dans son entraînement de garde du corps de la princesse. Ses seins sont fermes mais souples.

Il se demandait comment s'était possible ? Il devait explorer ça en profondeur. Ses doigts se sont transformés en une étude scientifique. Chaque question devait avoir sa réponse.

« Ahh ! »

Médeilla était devenue la personne qui se faisait attaquer. Les mains de Max étaient comme des tentacules voulant pétrir chaque centimètres de ses sens. Elle ne pouvait que fermer les yeux et les jambes.

Merde je deviens vraiment humide. Depuis combien de temps est-ce que quelque chose comme ça ne m'était pas arrivée ? Même la princesse n'a pas se doigter magique. Si c'est ça le plaisir ressentit par un homme, je le veux aussi.

Les doigts de Max ont pincé les mamelons de Médeilla. C'était elle qui s'est mise à frissonner. Sur lui, il a ressenti ce frisson et s'est mis à jouer du piano à mamelon.

Des pincements forts et doux accompagnés de gémissement et de mouvement juste trop excitants !

Je peux tout sentir mais pas les voir. Derrière sa robe, ils sont encore cachés. Cela m'excite encore plus. Cette fille sait jouer avec le cœur inférieur des hommes. Médeilla est un diamant brut !

Max avait envie de tailler ce diamant. Les femmes de ce monde étaient déjà toutes au bord de l'explosion alors pouvoir tailler quelqu'un était comme remodeler la personne.

Ce que je veux n'est pas forcément des femmes à n'en plus finir. Je sais moi-même que je ne pourrais jamais toutes les satisfaire. Il me faut juste des personnes qui me plaisent comme je l'entends.

Il ne cherchait pas à se créer un harem personnel. Il n'en n'aurait pas vraiment le besoin au vu de comment étaient les femmes. Mais il voulait vraiment des personnes proches au-delà du sexe.

C'était ce qu'il y avait aussi de meilleur dans les relations. Un coup d'un soir sans sentiment ne vaudra jamais un échange d'émotion et de passion partagé. Max voulait trouver ça.

« Aaaaahhh... je n'en peux plus... . Je te veux... , murmura-t-elle. »

« Naaaan... . Je vais jouer avec ton cœur. A toi de te retenir à présent. »

Médeilla n'en pouvait plus de ses caresses et sa limite est vite arrivée. Max l'en a empêché. Il devait néanmoins lui donner plus de plaisir sinon elle se jetterait sur lui. Il ne le voulait pas... pas encore.

Alors il a prit la femme et l'a amené devant un miroir en la faisant s'asseoir sur ses genoux.

« Regarde-toi... . Tu es vraiment transpirante. On dira que tu as besoin d'air. »

Médeilla pouvait voir son propre reflet alors qu'elle était sur les genoux de l'homme. Elle le voyait lentement retirer sa robe. Le ruban retenant sa taille est tombée laissant la robe lentement tomber.

Elle ne couvrait que ses parties intimes par le fait qu'un bout de robe était encore sur son épaule.

« Tu peux l'enlever si tu veux. »

« Oh nan... on va jouer aussi. »

Max était joueur à présent. Il allait se venger de ce qu'elle a fait plus tôt en faisant la même chose en pire. Sa main est descendue sur son ventre et a commencé a caresser son bassin.

Ses hanches blanches frissonnaient et quand son doigt a touché sa fleur privée s'est tout son corps qui a tremblé.

« Maintenant on peut tout retirer. »

Max a poussé la robe laissant une vue magnifique. Une femme au corps nue. Elle ne portait aucun sous-vêtement en réalité. Médeilla a pu sentir une bosse se former sans le bas de son dos.

Cela l'a fait encore plus mouillée !

« Regardez moi ça. »

« Désolé c'est humide. »

« Au contraire... ce n'est pas assez humide. »

Il aimait la titiller. Elle se retenait tellement qu'elle ressemblait presque à une femme de la Terre et non à une guerrière de ce monde. Elle était tellement dans le plaisir qu'elle ne se demandait pas comment faisait Max pour supporter la douleur.

Les préliminaires ne faisaient plus si mal que ça. Les rapports restaient encore difficiles à supporter et très douloureux dans l'ensemble sans évidement l'art du plaisir.

Max était lui aussi au paradis si son doigt n'était pas engourdit par la malédiction qui pesait encore. Médeilla était comme de la patte qu'il modelait. Chaque touché la faisait changer de position alors qu'elle se tortillait plongé dans le plaisir.

« Je n'en peux plus... . S'il te plaît... passons juste à l'acte je ne peux plus me retenir. »

Il n'était pas contre. Après tout, Médeilla restait une femme plus forte que lui et donc se soumettre serait gagner en force. Mais ce ne serait pas drôle... .

« Tsss tss tss... . Laisse moi remplir le sol de ta mouille ensuite je te ferais l'amour en t'attachant et pour finir... tu seras libre de faire ce que tu veux. »

Deux doigts ont directement pénétré sa chatte laissant déjà un beau filet de mouille couler sans fin. Il n'avait aucun problème à chercher chaque endroit sensible d'elle.

On va voir ce que tu vas voir... . C'est le moment parfait pour utiliser cette compétence. Toucher du Désir !

C'était comme si sa main retrouvait de sa sensation et était recouverte d'une couche d'aphrodisiaque. Dès que ses doigts se déplaçaient dans ses plis mouillés, Médeilla a gémis fortement.

Elle ne pouvait retenir un énorme jet ni même de perdre un peu la tête. Elle avait joui sur le coup. Elle aurait pu tenir si la tension sexuelle n'était pas aussi haute pendant déjà trop longtemps pour elle.

Ce n'était que le début... .

« Aaaaaaaaaaaahhhhhhhhhhhhhhhh oouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii....... »

Sous ses cris c'était vraiment un festival. Tout son corps était mis à rude épreuve. Sa tête était la plus aheago qu'il n'avait jamais vu. Pousser une femme de ce monde à bout donnait de jolis tête.

Tout ça alors que Médeilla sentait la bite dure de Max frapper dans son dos.

« Aaaaaaaaahhhhh... je suis venue quatre fois d'affilé. »

On pouvait penser que c'était peu mais chaque orgasme a duré plusieurs dizaines de secondes. Max a regardé par-dessus l'épaule de la femme et a vu le sol. C'était plus que trempé.

L'odeur de la pièce ne pourrait pas être enlevé avant des semaines voir des mois.

« Maintenant on peut passer à l'acte mais je vais t'attacher. »

« … je... ne … . Aaaahhhh... . »

Elle ne voulait pas devoir se retenir mais son corps fatigué avait du mal à se remettre des orgasmes malgré une envie clairement insatisfaite encore. Les femmes de ce monde avait une libido monstrueuse.

Alors il a simplement frôlé son clitoris ce qui l'a fait gémir encore une fois.

« Tsss tsss c'est moi qui dirige. »