« Regarde-toi. Attachée et incapable de faire quoi que ce soit. Bien sûr interdit d'utiliser ta force. Tu es ma prisonnière pour commencer. »
Médeilla était attachée sur le lit les quatre membres privés de mouvement. J'étais moi-même très excité. Un pouvait dire que c'était une sorte de fantasme qui se réalisait.
Je vais la baiser... un petit missionnaire pour commencer. Elle était largement assez mouillée et même le reste de son corps transpirait. Il n'y avait aucune partie d'elle qui n'était pas un peu transpirante.
« Je sais que c'est difficile mais à partir de maintenant c'est moi qui dirige... . »
Ses yeux étaient un peu vitreux. On pouvait lire le plaisir en eux et l'attente d'un plaisir encore plus grand à venir.
« Tu sais... que je le veux... pourquoi tu continues... à me faire attendre. »
Ma main a glissé sur ses cuisses avant de passer sur son clitoris. J'en ai profité pour la stimuler comme il faut. Elle devait à la fois se retenir pour ne pas exploser le lit et ne pas jouir à la fois.
« Aaaaaaahhhhh... . Merde ! J'en peux plus !! »
« J'arrive ! »
Ces mots étaient comme des supplications que je me devais de combler. Je n'étais pas un monstre non plus. Encore une autre chatte. La sensation était techniquement similaire et pourtant le plaisir était toujours là avec la douleur bien évidement.
Une douleur assez grande. Avec l'ambiance j'ai oublié d'activer l'art du plaisir ce que j'ai fait tout de suite. La douleur est devenu un plaisir encore plus grand. Même si le plaisir était effectivement similaire il y avait aussi ces petites différences qui donnait son charme à chaque femme et chatte.
« Putain... ! Tu m'as ouverte en deux. C'est ma première fois ! »
« Mais tu ne saignes pas. »
« Idiot je m'entraîne. Je l'ai perdu il y a longtemps... . »
Elle a détourné le regard. J'ai sentit une trace de mensonge. Un entraînement ? Et si la princesse et elle s'étaient beaucoup entraînés ensembles ? J'allais me donner un plaisir de la titiller encore.
J'ai mis ma bite à l'entrée. Ses jambes voulaient pousser pour la faire entrer mais nan. Je l'en empêchait par les cordes qui retenaient son corps. Quand elle a vu mon sourire... elle a su.
« Naaaaann... je ne dirais rien ! »
« A chaque information que tu diras ce sera un coup de bassin. »
J'ai fait exprès de rentrer légèrement pour qu'elle se sente bien avant de sentir le plaisir sortir. Dans ses yeux on voyait qu'elle en raffolait et moi aussi.
Max aimait jouer avec elle. Cela a continué jusqu'à ce qu'elle craque.
« LA PRINCESSE M'A DOIGTE SI FORT QUE J'AI PERDU MON HYMEN !!!! »
« Oh et bien ce n'était pas si difficile. »
PAHHH !!
Une grande poussée l'a envoyé au fond et Max s'est mis à se donner à 100% pour elle. Lui aussi voulait d'un plaisir immense et si son temps n'était pas limité il l'aurait titillé encore plus.
PAH PAH PAH PAH PAH PAH PAH !!!!!!!
J'étais moi-même choqué de l'étroitesse de sa chatte. Il était sûr que sans bite, elle n'aurais jamais de quoi se faire ouvrir correctement. Son corps était à ma disposition entière.
« OUIIII OUIIIIIIII !! »
Elle criait de plaisir et les autres pièces pourraient facilement deviner si les deux jouait à cache cache ou basaient.
C'est tellement bon ! Pensa Médeilla. C'est donc ça une bite ! Je sens qu'il est proche de me toucher le fond et d'aller directement dans mon ventre. Aaaah princesse j'ai honte de penser ça mais... c'est trop bon.... .
« … OOOOOHHHHHH !!!! »
Médeilla ne pu finir sa phrase dans sa tête car Max poussait à présent en forçant son bassin vers le bas. Sa bite visait donc ses parois du haut là où se trouvait son point G.
« Max... MAX c'est là !! Donne tout !! »
« Ah... ahhh ahhh... à vos ordres ma belle !! »
PAH PAH PAH PAH PAH PAH PAH PAH PAH !!!!!!
Je lui donnais tout ce que j'avais pour lui toucher son point G et au vu de sa réaction je visais juste. Le lit craquait et grinçait aussi sous les coups violents que je donnais.
Max était telle une bête sauvage. Même l'entraînement d'enfer d'Ataga ne l'avait pas fatigué au point qu'il ne fasse rien de sa soirée. Tout ce qu'il sentait était une chatte chaude qui tirait sa bite à bout.
Peut-être que cinq minutes se sont écoulées quand il a senti son premier orgasme. Au vu de tout ce qu'il a subi jusqu'à maintenant c'était déjà très bien. L'érotisme d'une situation permettait au moins de faire monter une énorme charge !
« Ça arrive... ! »
Max n'avait pas à demander si elle voulait qu'il se retire. Les cycles chez les femmes étaient si différents que cela était rare d'avoir ne serait-ce qu'un bon moment pour que la femme tombe enceinte.
« METS TOUT DEDANS !!! »
Les mots de Médeilla ont confirmé son hypothèse. Lorsqu'il a donné un dernier coup de bassin, il s'est sentit toucher le fond. Son bout était tout au fond et il était sûr que le sperme irait au moins dire bonjour à son utérus.
PPAAAAAAAAHHH !!!!!!!!!!
« WOW !! »
« OUIII !! »
Médeilla a tellement contracté son corps que les cordes ont sauté. Elle a refermé ses jambes sur son dos le poussant encore plus sur elle. On aurait vraiment une femme en manque... . C'était le cas.
J'ai sentit mes couilles se vider sous les contractions. Cette sensation de remplir une femme était vraiment bonne. C'était un sentiment de bien être encore plus profond qu'on pouvait le penser.
Quelque chose d'inscrit dans l'ADN.
« Je n'en peux plus... , dit Max. »
« … . »
Pas de réponse. J'ai voulu lever ma tête mais Médeilla m'a retourné sur le dos. Dans ses yeux, il y avait un feu encore plus chaud que celui d'avant. Réveiller l'instinct d'une femme est toujours une mauvaise chose.
« J'ai une période réfractaire... . »
« On va arranger ça... . »
Même à moitié dure, la belle jeune femme a pris la bite de Max en elle en cowgirl. Une position qui lui donnait tout le contrôle. Mais c'était de sa faute aussi... il lui avait promis.
« Ah présent... à moi de dominer. »
« Pourquoi je sens que je vais à la fois... aimer et détester ça. »
Les femmes avec qui il était étaient tellement excités que peu se demandaient comment il pouvait encaisser toute cette douleur. On disait que chaque homme avait une sensibilité plus ou moins grande.
Max était peut-être un chanceux ou alors cela avait un rapport avec son changement de monde.
Tout ce dont on pouvait être sûr était que les bruits ont duré encore 20 minutes d'après les gardes en place. On entendait le lit craquer à l'autre bout du couloir et de loin on pourrait croire à un meurtre.
« ENCORE UNE FOIS JE JOUIS !!!!!!!!!!! »
La voix de Médeilla était telle la sonnette d'alarme d'une invasion empêchant tout le monde dans les quartiers de la princesse Vanessa. Max lui avait rendu son âme à la fin.
Encore un peu et l'art du plaisir ne serait plus en état de marche. Il n'était pas passé loin d'un véritable enfer. Mais même après Médeilla a dû se retenir alors qu'il était inconscient.
« C'est normalement là où certaines en profite. »
S'il avait entendu ses mots, il aurait fait une crise cardiaque. N'empêche qu'il fut amené à l'inconscience. Les filles de la capitaine était peut-être encore plus en manque que les autres.
D'abord la princesse puis Médeilla. Une drôle de vie allait l'attendre.
Le lendemain, Max sentit sa tête lourde mais pas brumeuse comme la veille. Il avait tous ses souvenirs. La nuit d'hier avait été mouvementé. Il était seul. Médeilla avec toute son énergie avait déjà dû sortir.
En se levant, il est tombé devant le miroir. Il a souri bêtement se rappelant des événement de la veille.
« Tu souris tout le temps comme ça ? »
« Aaaaaahhhh !!! »
Il y avait un esprit volant à côté de lui se reflétant dans le miroir.