Dans la pénombre, autant que je me perds dans cette pénurie de noirceur, j'aperçois enfin ton sourire.
Dans cette pénombre, un instant d'administration de ta perfection.
Dans mes rêves, tout en haut de mon piédestal, je te caches mes sentiments.
Animé par ce regard de néant, c'est comme si je connaissais comme seul mots ton silence.
Aussi étroite soit le chemin, aussi vrai soit la réalité.
Négligeons pas notre amour, interdisons toute pénurie de cœur brisé.
Si l'éclat de mon cœur brisé te blesse, vengeance mérité.
Vivons la nuit, cachons nous de ces regards pleins de jugements.
Un corps libre et un esprit enfermé, assez de gémir ni de pleurer, circonstances meurtri.
Esclave de mes fantasmes, je suis debout tant bien que blessé, châtiment infâme.