Ce sentiment n'est pas une vertu, néanmoins une faiblesse.
Une âme en peine, tourmenter et dépasser par tant de tristesse.
Un cœur desséché noyé par tant de sécheresse.
Un vrai dilemme Cornélien, mon déséquilibre parfait. Départager entre ma solitude et ta sollicitude plus ou moins fictive.
Un rêve éveillé qui s'échappe de la réalité, caresse d'une brise que je confonds une fois de plus avec ta sensualité. En effet une triste vérité mensongère.
Ce sentiment n'est pas permanent, néanmoins un obstacle vers un bonheur éphémère.
La première carte ne compte pas, il y a toujours un cœur brisé.
Comme quoi, il faut souffrir avant d'atteindre l'apogée.
Il n'y a pas de médicament, aucune apogée.
Une vie solitaire, mes nuits ne peuvent être que mensongères.
Des pensées aussi suicidaires, éloigne-moi de ces journées ensoleillées de noirceur,
Je t'en conjure seigneur écoute mes prières.
L'amour n'est point bon accompagnateur, si elle laisse un goût aussi amer que l'indifférence.
La tête dans les étoiles, un pied sur Mars, je suis tes pas qui s'effacent peu à peu, balayer par le désespoir de mes désarrois solitaires, les larmes pressent déjà j'aperçois leurs traces.
La tête dans les étoiles, je rêve de t'emmener sur la lune, je n'en veux plus de ces heures de tristesse et de ces faux rires maquillés, je rêve d'être apprivoisé.
La tête dans les étoiles, je rêve d'amour, je veux d'une journée accompagner, je veux l'impossible.
Il n'y a pas de place pour le désespoir, si je garde espoir alors pourquoi je veux encore baisser les bras. Pourquoi je m'entête à oublier ton sourire et le peu de nos souvenirs.