Han Yiyao rougit légèrement, mais les deux avaient déjà partagé les actes les plus intimes qu'un homme et une femme puissent partager, alors de quoi avoir honte, dit-elle, "Ce sont ces jours que toutes les femmes ont chaque mois !"
Zhou Heng fut stupéfait un instant avant de réaliser ce qu'elle voulait dire—c'étaient ces jours importuns, qu'il détestait le plus.
"Ma tante a détruit sa propre beauté pour se protéger, pour empêcher la famille de la forcer à se marier !" continua Han Yiyao.
Zhou Heng fut pris de court, ressentant soudainement un élancement de respect pour cette femme.
Bien qu'il n'ait jamais rencontré la tante de Han Yiyao, rien que par la beauté éthérée de Han Yiyao, il était évident que sa tante avait également dû être une femme d'une beauté à couper le souffle. Pour une telle beauté, l'apparence était parfois plus importante que la vie elle-même.
Détruire son propre visage requérait un immense courage !