Cécile a dû arrêter les études universitaires pour s'occuper de son neveux et sa nièces, bien que Thomas ait accepté de les prendre chez lui. Il n'était pas responsable d'eux, donc Cécile a dû prendre des petits boulots matin et soir pour pouvoir prendre soin des enfants. Le matin, elle travaillait dans un supermarché, et le soir, dans un restaurant. Elle n'avait pas le temps de s'amuser ou de se divertir comme les jeunes filles de son âge.
Le pire, c'est que bien qu'elle accumulait plusieurs petits boulots, son revenu lui permettait à peine de joindre les deux bouts. Le travail était déjà bien difficile et fatigant, de retour à la maison , il fallait qu'elle subisse encore les cris de son copain.
Thomas : "Où étais-tu pour rentrer à cette heure-ci ?"
Cécile : "Désolé, mon amour, j'ai dû faire des heures supplémentaires."
Elle se rapproche de lui pour le faire un câlin, mais elle est immédiatement bloquée et repoussée. "Je ne veux plus que tu rentres à cette heure-ci", dit-il d'une voix ferme. "Dépêche-toi, allez te laver et de me rejoindre dans sur le lit"
"Mais, chérie, les enfants...",dit Cécile.
"Ne t'inquiète pas, je suis allé les laisser chez Sabrina", répond Thomas.
"Mais je suis un peu fatigué. On ne pourra pas le faire une prochaine fois."
thomas ayant perdu patience se lève et commence à la frapper et la battre sauvagement. Puis, il déchire ses vêtements et son soutien-gorge dans une seule action, exposant ainsi sa poitrine volumineuse. D'un mouvement rapide de la main, il enfonce ses doigts dans sa jupe et décale son caleçon sur le côté avant de l'enfoncer dans sa chatte. Il commence avec des va-et-vient, ce qui la fait mouillé et gémir. Bien qu'elle se débattait au début , son corps devient progressivement obéissant.
De la main gauche, il joue avec sa chatte, et de la main droite, il prend ses seins et les met dans sa bouche tout en les massant. Cécile n'est pas en reste. Elle prend sa main et l'enfonce dans son pantalon, et en ressort son pénis qui est devenu bien dur. De la main droite, elle le saisit fermement et commence à frotter son pénis avec sa main. Les deux se regardent comme pour se dire : "On verra qui viendra en premier." Avant de s'embrasser, ils continuent leurs gestes des mains chacun de leur côté.
Thomas dit : "Je ne peux plus supporter." Il pousse Cécile contre le mur et retire complètement sa jupe avant de la retourner et de l'enfoncer entre ses cuisses. Cécile essaie de l'arrêter en essayant de dire qu'il est trop fatigué pour cette position, mais il est déjà trop tard. Il a déjà soulevé la jambe droite de Cécile et commencé la pénétration. Les plaintes de Cécile laissent place à des gémissements qui remplissent toute la pièce.
Après avoir fini de s'amuser, il alla se coucher, laissant Cécile nue au milieu de la pièce. Elle commença à pleurer. Leur appartement est constitué de deux pièces : la chambre et les toilettes.
Le lendemain, c'était son jour de repos. Elle alla donc chercher les enfants chez sa copine. Quand elle est arrivée, Sabrina a tout de suite compris que quelque chose n'allait pas. Après l'insistance de sa meilleure amie, elle a tout raconté.
Sabrina : "Quoi, il t'a encore frappé ?"
Cécile : "Ne crie pas si fort, ça ne sert à rien."
Sabrina : "Ça fait déjà plus d'une année qu'il a commencé à se battre, et tu dis toujours la même chose."
Cécile : "Il n'a pas toujours été violent. Je suis sûre qu'avec le temps, il redeviendra comme le jour de nos débuts."
Sabrina : "Ma chérie, s il te plaît arrête .
Cécile avec des l armes aux yeux :si je le quitte, où vais-je aller ? Tu sais bien que je n'ai nulle part où aller et de plus j ai des enfants
sabrina : "Qu'est-ce que tu racontes ? Je compte pour du beurre ?? et pour les enfants on pourras trouvé une solution
cecile: "Merci, mais parlons d'autre chose. S'il te plaît, et où sont les enfants ?"
sabrina : "Ils sont allés jouer de jeux de l'autre côté de la rue
"Pour le bonheur de mes enfants, je peux le supporter."