L'air était chargé de mystère, et la pluie battante qui frappait les fenêtres de la voiture semblait plus être une invitation à l'aventure qu'un obstacle. Elyana conduisait prudemment à travers la campagne déserte, ses yeux scrutant la route sinueuse qui la menait à son prochain objectif d'exploration urbaine. Elle avait entendu parler de ce château il y a des mois, un lieu oublié par le temps, perdu au milieu des bois, à l'abandon depuis des décennies. C'était le genre d'endroit qu'elle aimait découvrir lors de ses escapades d'urbex.
L'urbex, ou exploration urbaine, était pour elle plus qu'un passe-temps. C'était une passion, une manière de s'évader du quotidien, de découvrir les histoires cachées dans les murs des vieux bâtiments délaissés. Chaque exploration la rapprochait d'un passé oublié, et l'adrénaline que cela procurait la poussait toujours plus loin.
Aujourd'hui, c'était le Château de Venclos qui
l'appelait. Elyana avait entendu des rumeurs selon lesquelles cet endroit, construit au 17ème siècle et abandonné depuis plus de cinquante ans, renfermait des secrets que personne n'avait encore découverts. Mais ce qui l'avait réellement intriguée, c'était cette légende étrange et ancienne, racontant que plusieurs personnes avaient visité et exploré ce château n'en étaient pas ressorties.
Elle ne croyait pas vraiment à ces histoires. Après tout, la plupart des lieux qu'elle explorait étaient simplement des ruines, pleines de poussière et de fantômes du passé. Mais quelque chose, cette fois, l'avait poussé à venir. Une intuition, une curiosité incontrôlable, presque comme si le château lui-même l'avait appelé.
La route de terre s'arrêta devant une grande grille rouillée, à moitié recouverte par des ronces. Elyana gara sa voiture et sortit, resserrant sa veste contre la fraîcheur automnale. Elle contempla un instant l'immense silhouette du château qui se dressait dans la brume. Les murs de pierre grise semblaient fondre dans le paysage, comme s'ils faisaient partie des arbres et des collines qui l'entouraient.
Après avoir enfilé son sac à dos, elle escalada la grille avec agilité. Ses bottes touchèrent le sol avec un bruit mat, et elle s'avança, les feuilles mouillées crissant sous ses pas. L'endroit était à la fois magnifique et sinistre. Chaque pierre semblait porter le poids d'un passé lourd de secrets.
Elle franchit l'entrée principale du château, qui était à moitié effondrée. L'intérieur était sombre, seulement éclairé par les rayons faibles de la lumière grise du jour. Le silence pesant fut brisé par le craquement du bois pourri sous ses pieds, tandis qu'elle avançait avec précaution dans les couloirs vides.
Le hall d'entrée, autrefois grandiose, avait perdu de son éclat. Les murs étaient couverts de moisissure et de vieilles peintures déchirées, mais Elyana pouvait deviner la splendeur passée des lieux. Un grand escalier de marbre s'étendait devant elle, mais ce n'était pas ce qui l'intéressait. Ce qu'elle cherchait, c'était le sous-sol.
Elle continua à marcher, ses pas résonnant dans l'immensité du château, jusqu'à ce qu'elle trouve une porte dérobée, à moitié dissimulée par des débris. L'adrénaline monta en elle lorsqu'elle la poussa et découvrit un escalier en colimaçon descendant dans l'obscurité. Elle sortit sa lampe torche, allumant la petite lumière qui fendit les ténèbres.
Descendant les marches avec précaution, Elyana sentit une étrange pression dans l'air, comme si le lieu lui-même retenait son souffle. Il faisait plus froid ici, sous terre, et l'humidité envahissait l'atmosphère. Les murs de pierre étaient plus lisses qu'elle ne l'aurait imaginé, comme si des générations avaient soigneusement entretenu ce passage.
Lorsqu'elle atteignit le bas des escaliers, elle se retrouva dans une vaste salle voûtée. Le silence y était encore plus profond, presque tangible. Au centre de la pièce se trouvait une immense porte circulaire en pierre, couverte de symboles gravés, étrangement bien conservés, comme s'ils n'avaient jamais subi l'usure du temps.
À côté de cette porte se trouva un miroir avec des morceaux manquant, Elyana si-regarda, c'était une grande et belle jeune fille aux cheveux roux et aux yeux verts. Ses yeux se décalèrent sur la porte.
Elyana s'approcha, fascinée par les gravures. Il y avait là des symboles qu'elle ne comprenait pas, des formes entrelacées qui semblaient presque vivantes sous le faisceau de sa lampe. Son cœur battait à tout rompre alors qu'elle touchait la surface froide de la porte.
Soudain, un grondement sourd retentit. Elyana recula, surprise, alors que la porte commençait lentement à s'ouvrir d'elle-même, révélant une lumière douce et argentée qui émanait de l'intérieur. Le souffle coupé, elle fixa l'ouverture béante, incapable de bouger, tiraillée entre la peur et une fascination irrésistible.
Sans réfléchir, elle franchit le seuil.L'air était chargé de mystère, et la pluie battante qui frappait les fenêtres de la voiture semblait plus être une invitation à l'aventure qu'un obstacle. Elyana conduisait prudemment à travers la campagne déserte, ses yeux scrutant la route sinueuse qui la menait à son prochain objectif d'exploration urbaine. Elle avait entendu parler de ce château il y a des mois, un lieu oublié par le temps, perdu au milieu des bois, à l'abandon depuis des décennies. C'était le genre d'endroit qu'elle aimait découvrir lors de ses escapades d'urbex.
L'urbex, ou exploration urbaine, était pour elle plus qu'un passe-temps. C'était une passion, une manière de s'évader du quotidien, de découvrir les histoires cachées dans les murs des vieux bâtiments délaissés. Chaque exploration la rapprochait d'un passé oublié, et l'adrénaline que cela procurait la poussait toujours plus loin.
Aujourd'hui, c'était le Château de Venclos qui
l'appelait. Elyana avait entendu des rumeurs selon lesquelles cet endroit, construit au 17ème siècle et abandonné depuis plus de cinquante ans, renfermait des secrets que personne n'avait encore découverts. Mais ce qui l'avait réellement intriguée, c'était cette légende étrange et ancienne, racontant que plusieurs personnes avaient visité et exploré ce château n'en étaient pas ressorties.
Elle ne croyait pas vraiment à ces histoires. Après tout, la plupart des lieux qu'elle explorait étaient simplement des ruines, pleines de poussière et de fantômes du passé. Mais quelque chose, cette fois, l'avait poussé à venir. Une intuition, une curiosité incontrôlable, presque comme si le château lui-même l'avait appelé.
La route de terre s'arrêta devant une grande grille rouillée, à moitié recouverte par des ronces. Elyana gara sa voiture et sortit, resserrant sa veste contre la fraîcheur automnale. Elle contempla un instant l'immense silhouette du château qui se dressait dans la brume. Les murs de pierre grise semblaient fondre dans le paysage, comme s'ils faisaient partie des arbres et des collines qui l'entouraient.
Après avoir enfilé son sac à dos, elle escalada la grille avec agilité. Ses bottes touchèrent le sol avec un bruit mat, et elle s'avança, les feuilles mouillées crissant sous ses pas. L'endroit était à la fois magnifique et sinistre. Chaque pierre semblait porter le poids d'un passé lourd de secrets.
Elle franchit l'entrée principale du château, qui était à moitié effondrée. L'intérieur était sombre, seulement éclairé par les rayons faibles de la lumière grise du jour. Le silence pesant fut brisé par le craquement du bois pourri sous ses pieds, tandis qu'elle avançait avec précaution dans les couloirs vides.
Le hall d'entrée, autrefois grandiose, avait perdu de son éclat. Les murs étaient couverts de moisissure et de vieilles peintures déchirées, mais Elyana pouvait deviner la splendeur passée des lieux. Un grand escalier de marbre s'étendait devant elle, mais ce n'était pas ce qui l'intéressait. Ce qu'elle cherchait, c'était le sous-sol.
Elle continua à marcher, ses pas résonnant dans l'immensité du château, jusqu'à ce qu'elle trouve une porte dérobée, à moitié dissimulée par des débris. L'adrénaline monta en elle lorsqu'elle la poussa et découvrit un escalier en colimaçon descendant dans l'obscurité. Elle sortit sa lampe torche, allumant la petite lumière qui fendit les ténèbres.
Descendant les marches avec précaution, Elyana sentit une étrange pression dans l'air, comme si le lieu lui-même retenait son souffle. Il faisait plus froid ici, sous terre, et l'humidité envahissait l'atmosphère. Les murs de pierre étaient plus lisses qu'elle ne l'aurait imaginé, comme si des générations avaient soigneusement entretenu ce passage.
Lorsqu'elle atteignit le bas des escaliers, elle se retrouva dans une vaste salle voûtée. Le silence y était encore plus profond, presque tangible. Au centre de la pièce se trouvait une immense porte circulaire en pierre, couverte de symboles gravés, étrangement bien conservés, comme s'ils n'avaient jamais subi l'usure du temps.
À côté de cette porte se trouva un miroir avec des morceaux manquant, Elyana si-regarda, c'était une grande et belle jeune fille aux cheveux roux et aux yeux verts. Ses yeux se décalèrent sur la porte.
Elyana s'approcha, fascinée par les gravures. Il y avait là des symboles qu'elle ne comprenait pas, des formes entrelacées qui semblaient presque vivantes sous le faisceau de sa lampe. Son cœur battait à tout rompre alors qu'elle touchait la surface froide de la porte.
Soudain, un grondement sourd retentit. Elyana recula, surprise, alors que la porte commençait lentement à s'ouvrir d'elle-même, révélant une lumière douce et argentée qui émanait de l'intérieur. Le souffle coupé, elle fixa l'ouverture béante, incapable de bouger, tiraillée entre la peur et une fascination irrésistible.
Sans réfléchir, elle franchit le seuil.