Bradon maintenait mes genoux pour garder mes cuisses écartées tandis qu'il enfonçait sa queue continuellement rapide et forte en moi, va-et-vient. Son gros et chaud bâton frappait contre mon utérus alors que nous nous accouplions comme des animaux sauvages en chaleur. Bradon grognait parfois et haletait plus fort maintenant, tant il se donnait de la peine. Il avait raison une fois de plus, je criais jusqu'à ne plus pouvoir. Je criais et appelais son nom tandis que mes hanches commençaient à se soulever et à retomber pour correspondre au mouvement rapide de ses hanches. Mon vagin ne pouvait pas en avoir assez de la sensation brute de sa queue qui la pénétrait et l'étirait sous divers angles. Je criai jusqu'à ce que ma voix sonne rauque et brisée.