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Je n'avais pas vraiment réfléchi à ce que cela signifiait d'avoir un compagnon, mais dès que ma souris a vu Lucien, c'était comme si elle s'effondrait comme un château de cartes.
J'avais été tellement impressionnée par son calme et sa maîtrise de la situation jusqu'à présent que je pensais que nous avions finalement atteint un point où ses instincts ne prenaient pas le dessus chaque deux secondes.
Mais dès que nous avons entendu la voix de Lucien, c'était comme un enfant enfin voyant son parent. Je suis passée d'un humain à peine capable de tourner la tête pour regarder mon compagnon à une souris de dix centimètres, sautant du lit et grimpant son bras jusqu'à ce que je puisse me blottir contre son cou.
Je sentais son corps trembler de terreur alors que les moniteurs commençaient à hurler, maintenant que je n'étais plus connectée à eux.
