Cet homme était Pierre, le leader du groupe de rébellion, à la grande surprise de tous.
Mort misérablement dans le couloir de l'hôpital avec sa tête tranchée nettement de son cou. Avant cela, des signes de torture avaient été détectés sur son corps — lacérations, ecchymoses, blessures flagrantes — c'était une mort horrible, ses membres arrachés de son corps et un grand trou formé dans son estomac où les organes à l'intérieur avaient été détruits. Le sang imbibait le sol et éclaboussait même le plafond. Dans sa mort, l'agonie était à jamais tordue sur son visage. Personne n'avait jamais vu un spectacle aussi violent auparavant. Même les soldats de Versatine et les Gardes d'élite, qui étaient recrutés à travers une série de procédures serrées et étaient salués pour leurs compétences exceptionnelles, ne pouvaient pas supporter d'être sur les lieux plus de cinq minutes avant de fuir vers les toilettes les plus proches pour vider leurs estomacs.