Un soupir profond s'échappa du nez de César.
"Si tu veux vivre, contente-toi de te comporter et de coopérer, d'accord ?" Son sourire était large et étrangement innocent. "Vous n'avez à vous inquiéter de rien. Je ne suis pas là pour vous, et c'est parce que ma cible principale..."
Tout doucement, ses yeux verts se déplacèrent, se posant directement sur M. Petrov. "…c'est lui."
"Vous êtes tous simplement spectateurs de cette scène qui se déroule. C'est presque comme lorsque vous allez au théâtre pour voir une pièce en direct, et une fois que c'est terminé, vous vous levez et vous partez."
Un rire doux gronda dans sa gorge, et il leva les yeux vers Adeline. "Maintenant, ma chérie, qu'est-ce que tu m'avais dit à l'époque ?"
"Une humiliation dont ils ne pourront jamais se remettre, n'est-ce pas ?" demanda-t-il en plaçant le bout de son index sous son menton.
Adeline le regarda fixement.
