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Chapter 108 - Arc 6 – Épisode 12 : Haute Tension.

Malgré l'avertissement, ni Rajik, ni la fratrie, ne semble être vouloir quitter les lieux. L'affrontement entre Chiyumi et le trio est sur le point d'exploser. Bien qu'ils furent incapables de blesser l'être ignoble qui ose provoquer leur nouveau modèle, pour les locaux, il n'y a aucune chance qu'elle puisse perdre., surtout avec la déculottée qu'elle a infligé à Renko. Dans peu de temps, ils pourront développer des pouvoirs capables de mettre en déroute les Shirenais.

« Comment des Kiyuzas peuvent-il s'opposer à ses semblables ? C'est inconcevable !

- Hé ! Nous fourre pas dans le même panier que lui ! On est avec lui par obligation ! répond vigoureusement Tekina.

- Peu importe ! C'est une injure envers ce que nous incarnons ! Un outrage ! Un blas[...]

- T'as pas fini de parler toi ? Je suis venu ici car on m'a dit que quelqu'un de fort y était. Et c'est toi. Moi je veux de la baston ! Pas des paroles ! interrompt Rajik.

- Tu es plus têtu qu'une mule. Je vais t'apprendre le respect ! »

Les deux principaux combattants prennent tous les deux des postures. Les fils de Chiyumi se tendent.

« Zéréyon ! »

Grâce à un bref dégagement d'énergie dans ses jambes, il fonce vers elle à vive allure.

« Lintélam ! »

La taille des matérialisations d'énergie neutre produites par la cheffe d'Izna augmente en longueur de manière significative. Toujours en procédant de la même manière lors de sa charge, Rajik saute à une hauteur suffisante pour les éviter. Dans les airs, il en profite pour préparer l'attaque suivante. Une fois atterri, il reprend sa course.

« Viplanyon ! »

A cause de l'énergie engagée pour l'esquive et celle en cours d'utilisation, Rajik ne peut pas répliquer. Avec les fils de son autre main, Chiyumi l'agrippe et le plaque au sol avant de le ramener les fils vers elle.

« Tu es bon mais pas assez pour me défaire ! »

Les fils de sa deuxième main se tendent et s'aiguisent.

« Petit joueur ! »

Soudain, les Zigriks, qui restaient depuis leur action contre les Braliens plutôt inactifs, activent leur aura commune arborant les quatre couleurs des éléments.

« Je les avais oublié ceux-là.

- On t'interdit de l'achever ! Il n'y a que nous qu'avons le droit de le dérouiller.

- Goûte à la puissance des Zigriks !

- Ibafaréfaï ! »

Plusieurs boules de feu invoquées par le frère les entourent. Sur le moment, Chiyumi s'étonne d'un tel phénomène. Une fois qu'elle comprend que, depuis le début, les deux acolytes de son principal adversaire sont aussi des exploiteurs d'éléments, une colère noire l'envahit. La lieutenant Kiyuza siffle. Un signal incitant les habitants d'Izna à venir se mettre devant elle afin de créer un bouclier humain.

« Qu'est-ce qu'ils font eux ? s'interroge Tekina.

- En position ! »

Les défendeurs du village se placent dans une formation spécifique : trois lignes de sorte à créer un triangle dont le sommet est tourné vers Izna.

« Tant pis. Sœurette ! »

Tekina, d'un mouvement de bras, ordonne aux boules de feu de foncer vers eux. Leurs cibles activent leurs auras neutres.

« Maintenant !

- Galbomer Ki ! »

Dans une brève chorégraphie parfaitement synchro, ils expulsent d'un seul coup leurs énergies. Ce spectaculaire dégagement éteint immédiatement la technique pyromancienne des Zigriks, les estomaquant sur l'instant.

« En position ! »

Nouvelle posture. Le duo prend peur.

« Dégagez-les !

- Pombomyon Ki ! »

Seconde éjection de ki provenant à la fois d'eux et à la fois des environs donnant naissance à une énorme bourrasque, balayant Korit et Tekina loin, très loin. Rajik est désormais seul face à Chiyumi et son armée. Quelques-uns de ses soldats titubent de fatigue.

« Félicitations, Izniens. Vous avez réussi à expulser l'ennemi. Rentrez chez vous. Je m'occupe de celui-là personnellement. »

Ils retournent doucement vers leur village. Le Kiyuza allié de Kigen serre un poing.

« Tu arrives encore à bouger ? »

Il se relève. Son aura se révèle. Inquiets, les Izniens encore proches tentent de rejoindre leur supérieure. Motivation vite interrompue de sa part avec un seul geste effectué avec sa main droite.

« Vous voulez l'affronter seule ?

- Votre inquiétude me touche mais ne vous en faites pas. Je vais dresser cet animal. »

Ses fils s'allongent sur une main et se rétractent dans l'autre.

« Retiens bien mon nom. Je m'appelle Rajik. Je vais être celui qui te mettra à terre ! s'avance-t-il tout en continuant de rassembler ses forces.

- Kenyon ! »

Elle fait tourner ses fils jusqu'à ce qu'ils finissent par s'unir autour de sa main.

« Zéréyon ! »

Il se déplace à vive allure. Elle l'éloigne d'un mouvement de bras avant de contre-attaquer. Rajik évite tout. Chiyumi tourne sur elle-même afin de le toucher. Son adversaire court plus vite et saute.

« Kam[...]

- Je te tiens ! »

L'ensemble des fils l'attrapent par la cheville gauche. Grâce à ça, elle le fait tournoyer.

« Sale traître... Tu as bafouillé l'énergie de Faironne. Hors d'ici animal ! »

Une fois l'élan nécessaire atteint, elle le relâche dans la direction où Korit et Tekina ont été expulsés. Les intrus désormais écartés, les fils de Chiyumi se rétractent et disparaissent. Les premières victimes de l'armée Kiyuza d'Izna se relèvent.

« Je n'en reviens pas...

- C'était même pas des Shirenais ! Et ils ont réussi à nous contrer ? souligne-t-elle avec rage.

- Comment cela fut possible ?!

- Au moins la bonne nouvelle c'est que l'autre minus n'est plus [...] »

La Zigrik ne peut terminer sa phrase que leur superviseur improvisé atterrit à ce moment-là pile à côté d'eux. Face à sa situation plus que pitoyable par rapport à ce qu'ils ont vécu contre lui, les membres de la fratrie se mettent à rire à pleins poumons. Il se relève avec pas mal de difficultés.

« Arrêtez de vous moquer de moi !

- C'est trop marrant !

- Pour rappel je ne suis pas le seul à m'avoir fait expulser. »

Ils arrêtent immédiatement de rire. Rajik boîte un peu. Afin d'y remédier, il pose sa main au sol, en aspire du ki et pose sa main sur sa cheville. Sa blessure s'efface sous les yeux stupéfaits de ses compagnons de voyage.

« Cette femme est très forte... Ça me plaît... Repartons voir Kenshi. propose-t-il avant de commencer à partir.

- Sœurette, ça devient grave. Si ces gens sont capables de nous contrer, ils peuvent le faire envers ces maudits Shirenais. souligne Korit à voix basse.

- Pas faux. On en reparlera. »

Pendant ce temps, tout près du village de Bral, Calibak arrive sur place en premier grâce à un mouvement éclair avant son homologue d'élément. Un exploit pourtant d'apparence insignifiante lui procure une joie incommensurable.

« Premier !

- Arrête de craner. Nous sommes en mission, pas en compétition. Je te croyais plus mature que ça.

- Peut-être mais ça n'empêche que je suis arrivé avant toi. Encore une fois, je te devance. »

Passée la provocation de bas étage, Kenshiro se concentre.

« Je détecte un signal énergétique à fort potentiel. Allons voir.

- T'as pas d'ordre à me donner. »

Alors qu'ils progressaient vers le second centre de rébellion, comme avec le village d'Izna, Taimudo, accompagné de Renko et Fraya, suivis eux-mêmes de quelques villageois, bloquent l'entrée. Tous portent un masque, sauf le chef Kiyuza. La Kozana et le déserteur s'étonnent de la présence de la foudre la plus rapide de Kigen.

« Moi, mercenaire Kenshiro, émissaire du Nouveau Conseil […]

- Ne te la raconte pas comme ça. »

Malgré l'envie intense de le claquer qui envahit ses tripes, avec la volonté d'incarner une autorité digne de l'esprit insufflé par les idées de Tencubo, l'ancien mentor de Rajik se retient de toute son âme.

« Accompagné de l'illustre mercenaire Calibak, sommes venus ici afin de mettre fin à la prise d'otages qui opère en ce lieu. Que le coupable se rende sur le champ !

- En quel honneur ? répond Taimudo.

- Personne ne doit remettre en cause l'efficacité de nos prestations sans nous avoir convoqués préalablement !

- Pour qui prenez-vous ces gens avec ce vocabulaire des plus outranciers ? Et depuis quand nécessitent ils votre... Protection ? Alors que vous n'hésitez même pas à détruire nos habitations dans vos petites interventions !... La vérité est que vos soit-disant prestations, comme vous dîtes, sont une manière cachée de nous asservir ! Vous profitiez de notre faiblesse de ne pas posséder les mêmes pouvoirs que vous ! Croyez-vous vraiment que c'est marrant pour nous de devoir tout reconstruire à chaque fois ? C'est tellement plus facile pour vous ! »

Son discours tape dans le mille pour les deux anciens habitants de la cité Kiyuza que sont Fraya et Calibak. Voilà ce qui arrive quand tout n'est pas sous contrôle. Selon le second, Faironne n'a pas choisi les bonnes personnes.

« Ne détournez pas le sujet !

- Oh mais je ne le détourne pas ! Que sommes-nous à vos yeux ?

- Des peuples à protéger. Ne posez pas de questions. C'est moi qui les pose.

- Vous voyez ? Cette envie absolue d'imposer son autorité ! C'est ce qui vous trahi ! Cela vous conforte dans votre sentiment de supériorité ! Mais ça va changer... Bientôt vous n'existerez plus !

- Nous bannissons systématiquement ce langage et cette attitude. Ce que vous faîtes ne donne en aucun cas raison à votre cause.

- Renko !

- Oui maître ? »

Instantanément, les deux mercenaires reconnaissent sa voix. Que fait-il ici ? Pourquoi collabore-t-il avec ce criminel ?

« Fais leur une démonstration.

- A vos ordres. »

Pour la première fois en dehors de ses entraînements quotidiens, il dégaine sa nouvelle acquisition et s'avance. Cette dernière se met à briller. Le signal perçu dérange les deux intrus. Renko prend une posture à mi-chemin entre ce qu'il a pu apercevoir chez les Braliens et ce qu'il avait appris auprès des Shirenais.

« Gibar Ki ! »

D'un mouvement de lame, il projette une onde d'air compressé à une vitesse phénoménale. Kenshiro, grâce à une activation partielle de son Kuwanoren, dégaine et électrise son arme en un quart de seconde.

« Djonicalar ! »

Il contre-attaque avec une vague électrique qui s'autodétruit avec la technique du Kiyuza épéiste.

« Belle technique Renko.

- Merci, maître. Je viens de la créer, elle n'est pas encore optimale.

- Je vois ça. »

Le déserteur fonce sur son ancien instructeur. Après quelques échanges de coups ne dénotant aucune supériorité de l'un vis-à-vis de l'autre, ils sont lame contre lame. En résulte une onde de choc. Pour Kenshiro, point besoin de retirer le masque pour confirmer l'identité de cet homme si particulier. Le phénomène survenu lorsqu'il l'avait pris en mains pour la première fois se reproduit : la lame du nouveau Kiyuza brille.

« Je suis extrêmement déçu. » avoue la manieur de foudre, la voix pleine de désarroi.

Phrase qui surprend grandement son destinataire. Soudain, il disparaît subitement sous les yeux de son adversaire. Un tel déplacement le déroute totalement. Kenshiro réapparaît derrière lui, poing gauche chargé.

« Derrière toi ! »

Malgré l'avertissement de Taimudo, son poulain se retourne trop tard et se prend le coup électrifié qui l'envoie sur plusieurs mètres en arrière.

« Je sens que je vais devoir m'en occuper moi-même. »

Fraya est surprise par l'affirmation de l'homme sensé être capable de lui redonner sa maîtrise du ki. Le mercenaire active son aura. Le ciel s'assombrit. Il lève son katana en l'air.

« Je suis désolé. »

Le lieutenant Kiyuza s'approche. Son bras droit émet une étrange lueur.

« Firaizer !

- Léokatyon ! » prononce Taimudo en quasi simultanéité.

L'éclair aussitôt tiré est dissipé dans la foulée, comme s'il n'avait jamais existé. Sur l'instant, ni Calibak, ni Kenshiro ne comprennent ce qu'il vient de se produire. Renko, constatant la baisse de la garde de son adversaire, saisit cette opportunité pour lui mettre sa lame sous la gorge.

« Iyaweraï ! »

Un second éclair droit et vif, tiré par Calibak, frappe et repousse l'ancien candidat au poste de patrouilleur.

« Enfin ! Je me demandais quand tu allais agir ! »

Alors qu'il aurait pu lancer une autre pique envers son homologue d'élément, le Zigrik reste silencieux, semblant cacher quelque chose qu'il vient de déduire sur cet homme. Kenshiro, encore sous le choc de l'annulation pure et simple de son attaque, cherche à en comprendre le processus. Ce qui l'étonne le plus est l'absence totale d'utilisation d'un sceau spécifique. Le Kiyuza épéiste rejoint son supérieur. Les deux envoyés de Kigen se rapprochent l'un de l'autre.

« J'ignore comment il a réussi à désintégrer ma technique. On ne m'a jamais dit que c'était possible.

- Je ne connais pas ce talent.

- Je vais tenter de l'attaquer au corps à corps. Tu me couvres.

- Arrête de me prendre pour un débile, comme tu as pu le faire pour nous tous à l'époque. » lui rappelle-t-il avant d'enclencher une autre munition dans sa création.

Avec cette maigre option en tête, l'instructeur concentre une partie de son énergie dans ses jambes. Renko se remet en position.

« Icalaraï ! »

Kenshiro fonce vers lui à vive allure, pas assez pour le chef des lieux.

« Wovitam ! »

Dans sa course, le mercenaire sent une sorte de force qui le compresse. A cause de ça, il perd graduellement en vitesse, comme si sa foudre s'échappait de son corps. Une sensation très désagréable et perturbante. Ce phénomène se poursuit jusqu'à ce qu'il obtienne la vitesse normale de tout être qui court. Une telle opportunité pousse l'épéiste Kiyuza à se lancer à l'attaque.

« Gibar Ki ! »

Une onde composée de ki, tirée à la verticale, fonce droit vers Kenshiro.

« Onbéklaraï ! »

Trois éclairs viennent la frapper simultanément, la brisent et atteignent son auteur.

« Braliens ! En formation ! »

Tout de suite, Taimudo et ses soldats prennent une posture. Tout le ki latent des environs s'introduit dans leurs corps. Un son grave et vibrant fracasse l'ouïe sensible de Kenshiro et perturbe celle de Calibak, stupéfait qu'ils soient capables de condenser une telle quantité de ki. Qui peut bien être cet homme ? Fraya, qui aimerait tant pouvoir aider le sabreur, à cause de la peur qui l'assaille, décide de se replier vers le village. Choix qui n'échappe pas aux yeux du lieutenant et de quelques locaux.

« Barrons-nous ! préconise le Shirenai.

- Partir ? Jamais ! »

Le Zigrik enclenche une nouvelle munition tout en amplifiant fortement son aura. Une fois certain que tous les paramètres sont au vert, il vise le supérieur Kiyuza.

« Pas avant d'avoir essayé ça !

- Tu es malade ! »

Une manifestation massive concrète d'énergie neutre surgit depuis l'armée de Bral. Conséquence : un flétrissement et un asséchement à vitesse plus élevée que tous les phénomènes provoqués par les êtres possédant le talent d'accumulation comme Rajik, menaçant directement la biodiversité présente.

« Barrons-nous !

- Yfertombam Ki ! »

Un énorme flux de ki vient percuter les deux manieurs de foudre. La déflagration est si puissante qu'elle expulse aisément ses cibles loin de Bral. Tout juste après, l'aura commune disparaît. Tous les Braliens tombent. Taimudo montre de faibles signes de fatigue.

« Ça devrait suffire... Leur progression avance bien. Il faut persévérer. »

Le déserteur le rejoint, habits brûlés par endroits.

« Vous avez réussi à les repousser... Incroyable.

- Qu'est-ce qu'il s'est passé ? »

La lame de Faironne regarde les villageois.

« Ils... Ils sont morts ?

- Ne t'en fais pas pour eux. Ils retrouveront connaissance dans peu de temps.

- Tant mieux... Je suis navré pour ma pitoyable prestation... Je vous ai […]

- Tu viens à peine de découvrir ce dont tu es capable. C'est déjà un exploit que tu aies pu faire tout ça en si peu de temps. Reste avec eux. J'ai une urgence.

- A vos ordres. »

Taimudo, curieux par l'attitude de la Kozana lorsque lui et ses soldats lançaient le dernier assaut, rentre à vive allure dans le village. Fraya a retiré son masque. La peur suinte sur son visage. Une torpeur sans nom compresse ses entrailles, espérant de tout cœur que cet homme ne l'a pas vu. Elle ne remarque en rien l'approche du chef des lieux, les pensées trop tournées vers Kenshiro. Est-ce que l'enseignement qu'il a reçu lui suffit amplement pour survivre ? Avoir rejoint cet homme était-il la bonne solution ? D'autres questions similaires torturent son esprit. Le lieutenant Kiyuza arrive à sa hauteur.

« Toi là ! »

Dans la précipitation, elle remet son masque.

« Ne te fous pas de moi. Tu sais très bien pourquoi je viens te voir. »

A court d'options, elle se force à rester sans émotions malgré le chaos qui l'anime. Le seul indice qui la trahit sont ses mains légèrement recroquevillées, à deux doigts de former des poings.

« Que caches-tu ?

- Rien.

- Ne te fous pas de moi ! Tu protèges Faironne oui ou non ? »

Aucune réponse.

« La prochaine fois que tu oses réitérer ce genre de comportement, tu seras virée. Les lâches sont inutiles ici. Compris ?... Quand ils reprendront leurs esprits, retour à l'entraînement. Toi incluse ! »

Avertissement délivré, Taimudo se retire, laissant ainsi Fraya avec son profond sentiment d'impuissance qui la ronge de l'intérieur. Vient alors la voix terrifiante de son paternel, comme si cette situation n'était pas assez déprimante. Après sa fugue causée par la connaissance du cruel sort qui s'approchait, après sa misérable aventure pour obtenir un artefact maudit, après cette insoupçonnée possession par un être uniquement motivé par la jalousie et la rancœur, après la perte de ses capacités, que reste-t-il mis à part cette tentative désespérée de porter une force capable d'affronter tous les défis de la vie ? C'est malheureusement sur cette question pour le moment sans réponse qu'elle rejoint son supérieur du moment, les yeux incapables de pleurer.