Après leur retraite, les sœurs femmes de chambre du palais pouvaient choisir de bénéficier d'un soutien honorable au sein du palais, ou elles pouvaient choisir de le quitter. Non seulement elles conservaient leur rang, mais elles recevaient également un montant stipulé d'argent chaque mois jusqu'à leur mort ; de temps en temps, elles étaient même invitées à revenir au Palais Impérial.
Bien qu'être sœur femme de chambre du palais n'était pas un titre officiel conférant du pouvoir, à part les membres de la famille royale, les sœurs femmes de chambre du palais n'avaient pas besoin de s'agenouiller devant les hauts fonctionnaires.