"Pourquoi ?"
Je plissai les yeux en y pensant, "Avoir un prix clair, c'est plus intéressant. Le mariage, c'est trop pour moi. Tu as vu mon premier mariage ; il n'est même pas monté dans mon lit avant de me vendre."
"Je ne te vendrai pas." Sa voix était si rauque qu'elle me plongea dans la confusion.
Un battement inexplicable dans mon cœur.
Était-ce une promesse ?
Une promesse d'un homme que je connais depuis dix jours ?
Je le regardai intensément, "Es-tu tombé amoureux de moi ?"
Il rit presque sans arrêter, "Tu aimerais bien."
"C'est ce que je pensais." J'écartai les mains, "Un marché peut être estimé en argent, mais pour le mariage, je veux toujours de l'amour. Je ne veux pas d'un mariage sans amour."
"Ne me dis pas que tu aimes encore ce salaud ?"
"Plus maintenant, mais il faudra du temps pour m'en débarrasser." À en juger par la situation actuelle, je ne peux pas encore me débarrasser de He Cong ; il me colle à la peau comme un pansement.
