Pétrifiée sur place, Olivia ne bougea pas. Kaizan la tenait fermement dans ses bras et était sur le point de la soulever lorsqu'elle protesta, "Que fais-tu ?"
"Reste tranquille," la réprimanda-t-il. "Tu t'es blessée et il y avait du sang derrière ta tête. Tu t'es évanouie à cause de l'épuisement." En disant cela, il la sortit de la calèche.
Voyant que son Maître tenait une femme dans ses bras et qu'il devait être mal à l'aise, le cocher dit : "Dois-je faire venir un soldat pour porter madame jusqu'à la tente ? Elle ne peut pas marcher seule et je vois que vous aussi êtes épuisé."
Kaizan s'arrêta à la porte alors qu'une moue tirait les coins de sa bouche lorsque le cocher le lui suggéra. Il ne savait pas pourquoi, mais l'idée que quelqu'un d'autre porte sa femme ne lui convenait pas. Il secoua la tête. "Je peux m'occuper d'elle moi-même," grogna-t-il. "C'est le moins que je puisse faire."
