Chereads / L'antre de trois petites choses. / Chapter 7 - chapitre 6 : les trois petites choses 1

Chapter 7 - chapitre 6 : les trois petites choses 1

22h47, Quelques grattements étranges dont j'éprouvais dans les premiers temps beaucoup de difficultés à situer l'origine par la seule force de mon ouïe me tireraient d'un lourd sommeil . Allonger sur mon lit , encore somnolent ,je pouvais percevoir cet étrange bruit qu' avec beaucoup  de confusions  . Le bruit semblait s'arrêter pour reprendre quelques secondes plus tard à un rythme bizarrement régulier . Je mettais celà au crédit de mon état de demi-endomit , dont j'avais jusque-là, beaucoup de mal à me sortir . J'étais souvent le siège des paralysies du sommeil et  il semblait que c'était le cas ici . Je me débattais pour me sortir de là quand soudain,  un bruit plus énergétique, que j'interprètais  comme l'impact  d'un corps  lourd avec le sol vint me sortir de cet état de paralysie et me fit sursauter d'un bond violent . Je me réveillais et m'assis sur mon lit sujette à une migraine et à de violentes étourdissements , je n'osais posé de mouvement . J' écoutais plus un attentivement pendant quelques secondes un silence assourdissant , qui au même moment laissait place au retour du grattement inquiétant qui m'a sorti de mon sommeil .

Je me levais , encore chancelant , un pas après l'autre , je sortais de ma chambre , la porte grande ouverte  et commençait le couloir qui menait vers les escaliers . Encore quelque peu intrigueais par les impressions nettes d'un rêve dont le contenu ne se présentait pas à ma conscience , quand , chemin faisant , les grattements en bas devinrent plus audible et je pouvais maintenant les situés comme provenant du salon ou de la cuisine .

Reprenant mes esprits , la perspective d'un voleur me vint comme première explication . Je descendais les escaliers avec une démarche de félin , paniquais , excitais et  effrayais ce mélange de sentiments m'obstruer une réflexion claire quant à la mesure que je devais prendre face à des voleurs , qui étaient peut-être armés ! Je continuais ma descente , trop  curieux pour réfléchir , voulant à tout pris jeter un œil sur ces énergumènes et paradoxalement soulageait mon esprit du joug des idées farfelus que j'avais érigé en explications .

J'atteignais la  dernière marche sans que rien dans les grattements qui m'ont réveillé n'ait changé , rassurais d'avoir éveillé nul frayeur dans l'esprit des voleurs .Les grattements étaient maintenant d'une netteté hors de tout doute quant à leur origine.  Je m'accroupissais , j'étais un coup d'œil à la cuisine mais n'aperçut rien . Toutes les lampes étaient allumées ce soir-là  , je n'avais donc aucun mal à voir quelques ombres sur les parquets de la cuisine . Peut-être étaient -ils, comme moi , accroupis  . J'avais là assez d'assurances pour remonter à l'étage , prendre mon téléphone et alerter les forces de l'ordre . Mais hélas , la curiosité , ce vilain défaut , a eu raison de moi ce soir-là . C'est à ce moment que j'ai ouvert la porte à ... Toujours accroupi , je m'avançais plus proche de la cuisine , discrètement , les battements violents de ma poitrine semblaient en symphonie  avec les odieux grattements qui ne cessaient pas . Je regardais , impatient de porter les derniers coups à la superstition qui m'avait assailli quand ....

L'étrangeté du spectacle qui s'offrit à mes yeux ce soir-là était au-delà de tout ce que nos pinceaux peuvent  décrire, le mélange  indestructible de malaise , d'inquiétude ,d'incommodité , de frayeur que je chancelait à  la vue de ces deux horreurs tenu là juste devant moi .

Je vu deux petites choses que je prenais  dans un premier temps pour une espèce d'animaux bizarres mais dont un examen plus minutieux me fit voir les formes boursouflées des petites créatures humanoïdiser .

Laissez-moi vous peindre ces choses avec ce qu'il y a  dans le champ lexical du vocabulaire humain des plus méprisables et odieux .

L'une de ces petites choses , que l'observation me contraignait à considère comme un très petit homme d'une laideur indestructible debout devant  l'armoire . Il n'était pas plus grand qu'un petit tabouret , à la physionomie désordonné et viandue, recouvert des haillons qui en cachait à peine le désordre , tout son corps était parsemé des rides et des boutons dont quelques uns sur le dos  laissaient échapper une substance jaunâtre , on aurait dit du pue ,  mon dieu quel horreur . Je n'arrivais pas à apercevoir avec netteté les traits de son visage . Une odeur infecte se dégageait des choses , quand je portais main sur mon nez pour faire obstacle  à ces odeurs nauséabondes, les petits gros et moches monsieur se retourna pour laisser voir un visage horrible aux traits quelques peu negroïdes d'où s'élançait un gros nez plats et boutonneux , des yeux gros et situé  à distance asymétrique du nez , une grosse bouche arborent une dentition guingois dont coulait une sorte de bave , il avait un vaste menton double ,le tout reposait sur un coup presque inexistant . Il avait des grosses mains anormalement grandes par rapport au reste du corps.  Son comportement n'avait rien de sensé  - vis à vis de ces agissements de son congénères - il se contentait de rester planter devant la porte de l'armoire qu'il fixais sans posé nul autre geste abstraction faite de celui posé par ces grosses mains qui semblait gratter maladroitement son dos .

Les agissements de la deuxième petite créature me laissaient soupçonner  une forme d'intelligence ou en tout cas ce qui semblait être des actions coordonnées et rationnelles,bien que posé avec beaucoup de maladresse par un corps très petit et très pansu vêtu d'haillon sale , un visage aplatit d'une laideur à faire vomir . Cette chose avait des très grosses joues tombantes, un gros nez en forme de poire, une grosse bouche arborent une dentition tout aussi négligée , ,deux gros yeux effrayant un menton double , non,  il était plutôt  triple .un corps aux proportions asymétrique dont la construction ne laissait voir ne serait-ce que la moindre vague de géométrie ou d'ordre . Côté à côté ,ces deux choses hideuses présentaient des traits vaguement similaires qui me laissaient  par je ne sais quelle déduction  impie qu'ils auraient été frères. Cette petite chose ,bien que d'une physionomie handicapante était celle qui semblait fournir un semblant d'actes logique . Pendant que le premier petit gros resté figé devant l'armoire comme contemplent une œuvre d'art , l'autre avait sû manié la clé de mon tiroir et se débattait avec des petits bras un énorme tronc et des petites jambes pour monter sur la marmite qu'il avait dû soigneusement pousser par terre ,ce qui expliquait le bruit fort  que j'avais entendu jadis. Cette chose arriva bien que mal sous mes yeux à monter sur la marmite enfin d'avoir accès à me réserver de nourriture  . Quel spectacle bizarre .