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Chapter 8 - chapitre 7: les trois petites choses 2

Obnubilé par ce spectacle odieusement moche , j'avais perdu de vue ma poursuite des grattements réguliers qui fussent la raison de ma venue ici . C'est une drôle d'impression , celle d'être observé qui me fit reconsidérer les grattements que j'avais négligés et pourtant qui n'avaient rien perdu dans la régularité de son rythme mais qui avait tout gagné en intensité . Je regardais alors derrière mon épaule pour apercevoir une abomination encore plus grande que celle qui jusque-là m'avait occupé l'esprit . C'était une chose , visiblement,  de la même espèce que les deux premières qui, me regardait sans poser plus des mouvements que celui de sa petite main grotesque qui d'une fourchette gratte nonchalamment le mur sur lequel , de l'autre côté , évoluait la longue série des marches qui menaient à l'étage. Ce petit gras , encore plus petit que les deux autres étaient d'une mocheté qui aurait fait passer les deux autres pour des créatures normales . Celui-ci était petit , très petit pas plus grand que 40cm,  un corps nue , maigre et frêle , un petit  ventre bedonnant qui soutenait une énorme tête déformé , je ne savais pas s'il convenait d'appeler ça une tête , c'était plutôt un amas des chairs percé des deux gros orbites logeant deux gros yeux d'un blancs terne, sans pupilles , un nez , déformé percé de deux gros narines dont l'un était plus gros que l'autre , une grosse bouche sans dents bavant abondamment , tout chez cette hideuse petite créature était un désordre , un reniement de l'esthétique , tout était opposé à la sainté son corps remplie des gros boutons , sa grosse tête déformé  tout chez lui n'était qu' amas des difformités decadente. Cette chose était assise sur là à me regarder depuis un certain temps sans rien perturber de son activité me fixant des ses deux gros yeux , blanc . Remarquant l'attention que je luis portait , cette laideur se tint debout , ces petites jambes se dérobant à chacun de ses pas , les bras tendus en la direction , comme pour  solliciter du soutien au mouvement si fébrilement posé , il s'avança , réduisant par chaque pas posé avec beaucoup de maladresse réduisait ainsi l'écart qui nous séparait . Ne pouvant supporter l'idée d'interagir sous quelques formes que ces fut avec ces horreurs je ne pouvais retenir un cris strident que je  lançai avec  terreur , comme pris d'une soudain folie , lançant avec tout ce que j'avais de force la babouche de mon pied gauche sur cette chose sans obtenir le résultat escompté quand m'apprêtant à réitérer mon lancé avec l'autre babouche, quand l'une de deux autres petites choses lança aussi un cris ou devrai-je dire une phrase , qui renforça mes soupçons quand à l'organisation dont était doué ces choses .

C'est qui suivit , je ne m'en rappelle guère , car le matin , c'est sur le sol froid que je revins à moi .