Mais cette apparente tranquillité n'apportait pas beaucoup de confort psychologique à quiconque. Au contraire, ce n'était qu'un bref répit avant que les troupes ennemies n'aient même eu le temps de reprendre leur souffle pour s'occuper d'eux.
Cette brigade de cent hommes et plus n'avait pas grand-chose, mais elle disposait d'équipements de surveillance de communication avancés capables d'intercepter les messages à proximité. C'était comme s'ils étaient invisibles dans une forêt, capables d'écouter les renseignements mais incapables de faire autre chose. Toute tentative de communiquer avec les forces amies à proximité par ondes radio pourrait exposer leur position.
