Il fallut une journée entière à Roland pour revenir dans la Zone Frontalière, et son dos était douloureux de fatigue. Après s'être lavé le visage et brossé les dents, il se coucha tôt et ne se sentit rafraîchi qu'à midi le lendemain.
Il pensa : "Il me faut une cabine insonorisée, un fauteuil de bureau moelleux et un grand lit sur mon bateau privé. Sinon, je devrai m'asseoir sur un tabouret de pont dur et tremblant en écoutant le rugissement de la machine à vapeur, ce qui torturerait à la fois mon corps et mon âme."