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"Veux-tu que je me déshabille ?"
Non seulement le Dieu Malfaisant incarnant la Libido, mais aussi Roland, qui la voyait tout le temps, sentit son appétit s'aiguiser lorsqu'il entendit la voix séductrice.
Cela ne pouvait être évité. Andonara était tout simplement trop charmante.
Il ne pouvait jamais en avoir assez d'elle.
Miranda fixait Andonara, stupéfaite. Puis, en regardant son propre corps presque entièrement plat, elle se sentit d'une certaine manière humble.
Le Dieu Malfaisant de l'Avarice sentit vaguement que quelque chose n'allait pas, mais son désir réprima son inquiétude.
Il tourna la tête vers Miranda et demanda, "Cette femme est-elle ta sujette ?"
Décontenancée un instant, Miranda se dirigea vers Andonara comme si elle venait de se réveiller. Elle ouvrit ses mains et cria d'une voix frémissante, "Je ne vous laisserai pas leur faire du mal ! Ils sont mes amis—sujets les plus importants."