Oh, mon Dieu ! Non ! Il ne devrait pas entrer.
Elle ne voulait pas être seule avec cet homme. Il n'était pas digne de confiance.
Avec cette pensée, Aniya s'est levée comme l'éclair et a couru pour ouvrir sa porte. Alaric posait son pied sur la dernière marche quand elle est sortie de sa chambre et a forcé un sourire sur son visage.
"Je t'ai entendu, Papa," elle a fermé la porte derrière elle, "Pas besoin de dire merci. J'aime cuisiner pour toi."
Valérie était en bas avec la tête inclinée vers le haut et elle rayonnait. Pour une raison quelconque, elle semblait anormalement joyeuse, et Aniya ne pouvait s'empêcher de se demander si cette joie avait un rapport avec ses talents culinaires.
Y a-t-il quelque chose que je ne sais pas ? Elle se le demandait.
