Même Valérie craignait qu'Adira ne soit si chère à son cœur puisqu'il ne la réprimandait jamais pour quoi que ce soit. Il semblait satisfait de chaque excuse ou explication qu'elle donnait.
« Déplace ses affaires et allons-y, » ordonna l'Alpha Denzel. Se tournant vers Valérie, il demanda, « Peux-tu marcher ? »
Elle hocha rapidement la tête car elle ne voulait pas être un fardeau. Elle avala aussitôt un antidouleur et but un verre d'eau. Même avec cela, elle savait que la douleur serait pire lorsque l'effet du médicament s'estomperait.
Adira, impatiente de compléter ses plans machiavéliques, ne pouvait pas supporter le retard. « Elle ne va faire que nous ralentir. J'appellerai un des chauffeurs pour apporter une voiture, » suggéra-t-elle, mais l'Alpha Denzel ne pouvait pas se fier à cet arrangement.
« Pas besoin. » L'Alpha Denzel était sur le point de porter Valérie, mais elle recula rapidement d'un pas. Incrédule, il ressentit une douleur sourde dans son cœur devant sa réaction.