(Nda :Bonjour, je tiens a remercier Benoit_Valtin pour ses dons réguliers de Power stone ainsi que tous ceux qui aime lire mon histoire. n'hésitez pas a commentez, ça me donne souvent un petit encouragement pour écrire, bonne lecture ^^)
Après être remontés, je reçois une mise à jour des clones de Marcus qui m'informent qu'il n'y a rien dans ce bâtiment, hormis la plante 42. Je décide de faire revenir les clones, qui m'apportent de l'argent ainsi que des documents de recherche qui pourraient servir plus tard.
L'un des clones me guide vers un labo de chimie, mais avant de partir, je me tourne vers Lisa. "Lisa, je dois aller vérifier quelque chose dans le laboratoire. Je vais te laisser ici avec Steeve, les triplé Jordan et Zeus. Tu seras en sécurité avec eux."
Lisa me regarde avec un sourire confiant. "D'accord, papa. Je sais que tu reviendras vite. Fais attention à toi."
Je lui rends son sourire et caresse doucement sa tête. "Je reviendrai rapidement, ma chérie. Reste avec eux et écoute bien ce qu'ils te disent."
"Promis, papa," dit-elle en hochant la tête.
Je regarde Steeve et les triplé Jordan. "Veillez bien sur elle. Zeus, reste à l'affût."
Les quatre Zombies G et Zeus acquiescent silencieusement, leurs regards fixes et déterminés. Je me redresse et suis le clone de Marcus vers le laboratoire de chimie, jetant un dernier coup d'œil à Lisa avant de quitter la pièce. Elle me fait un signe de la main, son visage calme et confiant, sachant que je reviendrai bientôt.
Je pousse la porte du laboratoire de chimie et entre dans une pièce baignée d'une lumière blanche et froide, projetée par des néons alignés au plafond. Les murs sont recouverts de carrelage blanc, et des étagères métalliques chargées de flacons, tubes à essai, et réactifs divers longent les murs. Un comptoir central, également en métal, est jonché de fioles, de béchers, de cylindres gradués, et de microscopes. L'air est imprégné d'une odeur âcre de produits chimiques et de solvants, mêlée à une légère odeur de moisissure.
Des posters et des tableaux périodiques recouvrent certains pans de mur, et des cahiers de laboratoire ouverts sont éparpillés sur les plans de travail, remplis de formules et d'équations complexes. Une armoire à produits chimiques, dotée de portes vitrées verrouillées, renferme des bouteilles d'acide sulfurique, d'acide nitrique, et d'autres composés dangereux. Plusieurs équipements spécialisés, comme une hotte aspirante et un spectrophotomètre, se dressent à différents points stratégiques de la pièce.
Je m'approche d'une table où sont posés plusieurs documents et rapports scientifiques. Les feuilles sont remplies de schémas moléculaires, de protocoles d'expérimentation et de notes manuscrites. Cependant, malgré mes efforts pour les déchiffrer, le jargon scientifique et la complexité des formules me laissent perplexe. Des mots comme "réaction exothermique," "agent chélateur," et "titration" sautent aux yeux, mais leur signification exacte m'échappe.
Une grande armoire métallique, partiellement ouverte, révèle des rangées de réactifs chimiques étiquetés de manière précise. Acétone, méthanol, acide chlorhydrique, et d'autres substances inconnues s'alignent en ordre parfait. Je remarque aussi des instruments de mesure de haute précision, comme des pipettes électroniques et des balances de laboratoire.
Malgré l'ordre apparent, le laboratoire dégage une impression de désordre organisé, où chaque objet semble avoir été utilisé récemment et laissé là dans l'urgence. Les équipements sophistiqués et les nombreuses substances chimiques me laissent penser qu'un moyen de fabriquer une solution pour affaiblir la plante 42 doit être quelque part ici, mais la complexité du lieu et des informations m'empêche de trouver la réponse par moi-même.
Je réalise que sans une connaissance approfondie en chimie, je suis incapable de formuler le J-volt ou tout autre composé qui pourrait affaiblir la plante. Le sentiment de frustration monte, mais je sais que je dois trouver une autre solution pour affronter la plante 42.
Alors que je m'apprête à sortir du laboratoire pour m'attaquer à la plante 42 de front, un bruit sourd attire mon attention. Le corps du clone de Marcus est projeté à travers la pièce, enlacé par une liane robuste. La scène se déroule en un instant : la liane fouette violemment le clone, le balayant contre les étagères et les tables. Les bouteilles de réactifs chimiques se brisent dans un fracas assourdissant, projetant leur contenu en une pluie corrosive.
Les substances se mélangent en vol, créant un cocktail chimique imprévisible. Je sens ma peau brûler alors que les gouttes acides atteignent mon corps. La douleur est immédiate et intense, ma chair se met à fondre sous l'effet des acides. Le clone de Marcus, déjà en piteux état, est désintégré avant même que les sangsues n'aient le temps de réagir. La liane, ayant accompli son œuvre de destruction, disparaît aussi rapidement qu'elle est apparue, s'éclipsant par la fenêtre brisée.
Je me précipite vers la sortie, luttant contre la douleur et les effets corrosifs des acides. Ma régénération entre en action, combattant désespérément pour réparer les dommages. Chaque pas est un supplice, mais je sens ma chair se reconstituer à mesure que les tissus endommagés sont remplacés. Les brûlures se referment, les zones de peau fondue se régénèrent, et les muscles endommagés se reforment.
Lorsque j'atteins enfin l'extérieur du laboratoire, je m'effondre à genoux, haletant. Ma régénération continue de travailler, neutralisant les résidus chimiques et réparant les dégâts internes. La douleur s'estompe progressivement, remplacée par une sensation de picotement alors que les derniers vestiges des acides sont éliminés de mon système.
Je me relève lentement, la colère bouillonnant en moi. "Foutue plante," murmurai je entre mes dents serrées. "Tu vas le regretter." Mes mains se crispent en poings alors que je tourne les talons, déterminé à en finir avec cette menace végétale. L'adrénaline et la rage se mêlent, alimentant ma résolution.
Je fracasse les racines et les lianes qui tentent d'entraver mon avancer. j'explose la porte menant au corps principale de la plante pour tomber sur une vision assez différentes de celle que je m'attendez a voir.
La Plante 42 est une créature végétale monstrueuse, imposante et terrifiante. Sa base est ancrée profondément dans le sol, avec des racines épaisses et noueuses qui s'étendent comme des tentacules, agrippant fermement le sol et toute structure à proximité. La tige principale est robuste et recouverte de fines épines, montant vers le haut pour se déployer en un ensemble de feuilles épaisses, dentelées et venimeuses.
Son aspect le plus frappant est sa grande fleur centrale, qui ressemble à une gueule béante. Les pétales de cette fleur sont larges et pointus, entourant une cavité centrale remplie de dents acérées. Chaque dent scintille d'un liquide toxique, prêt à infliger des blessures empoisonnées à quiconque s'approche trop près. La bouche de la Plante 42 semble capable de se refermer avec une force redoutable, broyant tout ce qu'elle capture.
Autour de la tige principale, de longues lianes serpentent, chacune dotée de petites fleurs ou de bourgeons qui s'ouvrent pour révéler des épines empoisonnées. Ces lianes bougent avec une agilité surprenante, prêtes à saisir, fouetter ou étrangler leurs victimes. Certaines des lianes ont des excroissances en forme de bulbes épineux qui ajoutent à l'apparence menaçante de la Plante 42.
La Plante 42 est un véritable cauchemar botanique, alliant la force brute de ses racines et de sa tige à la létalité de ses lianes et de sa fleur centrale. Elle est la quintessence de la menace biogénique, une création abominable qui incarne la fusion de la nature et de la science dans sa forme la plus destructrice.
"Qu'est-ce que tu es vilaine," ne puis-je m'empêcher de dire avant qu'elle ne m'envoie un nuage de pollen au visage. Ce pollen irrite mes yeux, mon nez et ma gorge encore plus qu'une giclée de lacrymo n'aurait pu le faire.
Je tente de me protéger les yeux, mais c'est trop tard. Mes yeux larmoient abondamment, ma gorge brûle et chaque inspiration est un supplice. Soudain, une des lianes principales de la Plante 42 me frappe avec la force d'un bélier, m'envoyant voler à travers la pièce. Je heurte violemment un mur, le choc résonnant dans tout mon corps.
Ma vision est floue, entre les larmes et la douleur. Je me redresse lentement, toussant et essayant de reprendre mon souffle. La Plante 42 ne me laisse pas le temps de récupérer, ses lianes s'agitant de manière menaçante, prêtes à frapper de nouveau.
J'invoque rapidement une trentaine de chauves-souris et une trentaine de corbeaux pour perturber la plante pendant que mon corps expulse le pollen. Les chauves-souris, avec leurs ailes déployées, s'élancent vers la Plante 42, leurs cris perçants résonnant dans la pièce. Les corbeaux, plus agressifs, plongent en piqué, becs et serres prêts à attaquer.
La Plante 42, cependant, n'est pas une adversaire facile. Ses lianes se meuvent avec une précision effrayante, frappant et tranchant les créatures volantes. Une chauve-souris est impitoyablement écrasée contre le mur, ses ailes déchirées par la liane redoutable. Un corbeau est attrapé en plein vol, broyé par une liane avant d'être jeté à terre, ses plumes noires se dispersant dans l'air.
Malgré ces pertes, mes créatures parviennent à distraire la Plante 42 suffisamment longtemps pour me permettre de me relever. Je cligne des yeux pour évacuer les dernières traces de pollen irritant, ma vision s'éclaircissant. Je vois mes chauves-souris et corbeaux continuer à se battre courageusement, harcelant la Plante 42, la forçant à se défendre sur plusieurs fronts.
Profitant de cette diversion, je serre les poings, prêt à riposter. Mon corps se sent plus léger, ma respiration est redevenue normale. Les cris de mes créatures volantes et les mouvements frénétiques de la Plante 42 créent une scène chaotique, mais je suis de nouveau sur pied, prêt à reprendre le combat.
Je coordonne mes invocations aériennes, dirigeant les chauves-souris et les corbeaux pour harceler la Plante 42 de tous côtés. Leurs cris perçants et leurs mouvements frénétiques créent un véritable nuage de plumes et de battements d'ailes, perturbant la vision et les attaques de la plante.
Profitant de cette distraction, j'invoque cinq Zombies Plantes. Ces créatures mi-humaines, mi-végétales se mettent en mouvement avec une détermination silencieuse, leurs lianes et racines serpentant sur le sol. Nous nous précipitons ensemble vers le corps principal de la Plante 42, nos pas résonnant sur le sol alors que nous nous rapprochons de notre cible.
Les Zombies Plantes, avec leurs lianes robustes, parviennent à stopper les attaques frénétiques des lianes de la Plante 42. Elles se tordent et se nouent autour des appendices de la plante, les immobilisant suffisamment pour me permettre de m'approcher.
Je me jette alors sur l'appendice centrale de la Plante 42, l'enserrant de mes bras avec une force surhumaine. Soudain, une douleur aiguë traverse mon corps. Des piquants acérés jaillissent de l'appendice, perçant ma chair malgré ma résistance. Je grimace, ressentant la brûlure du poison se répandre, mais je ne lâche pas prise.
Le combat est brutal et intense. Mes chauves-souris et corbeaux continuent de tourbillonner autour de nous, leurs attaques désespérées détournant l'attention de la plante. Les Zombies Plantes, bien que malmenés, tiennent bon, leurs lianes maintenant fermement les lianes adverses.
DING
Mutation spécial détecté ou plante 42 l'absorption prendra 5 minutes.
300, 299,
Je pleure sans larmes en voyant qu'il faut cinq minutes pour capturer ce monstre. Le désespoir et la détermination se mélangent alors que j'invoque rapidement le reste des Zombies Plantes. Les quelques oiseaux encore en vie sont rappelés dans l'usine, leur mission accomplie.
La pièce, auparavant chaotique et bruyante, tombe dans un silence presque assourdissant. Le combat a laissé des traces partout, des lianes déchirées, des plumes éparpillées, et des flaques de sang brillant sous la lumière tamisée. Mon sang coule doucement de mes blessures infligées par la Plante 42, des gouttes écarlates qui tombent au sol sans bruit, marquant chaque seconde qui passe.
Autour de la Plante 42, mes Zombies Plantes ont trouvé leur place, fusionnant avec ses lianes. Leur présence apaisante a calmé le monstre végétal, ses mouvements frénétiques s'étant peu à peu transformés en une immobilité étrange. La Plante 42, autrefois une force de la nature impitoyable, semble presque paisible maintenant, comme si elle s'était résignée à son sort.
Je reste là, debout, mes mains toujours agrippées à l'appendice central, sentant les pulsations de la créature sous ma peau. La douleur est toujours présente, mais elle est devenue une partie de l'arrière-plan, une constante qui ne m'affecte plus autant. Je respire profondément, chaque souffle apportant un peu plus de calme.
La scène ressemble à une trêve silencieuse après une bataille féroce. Les Zombies Plantes, maintenant immobiles, ressemblent à des gardiens silencieux veillant sur la Plante 42. Leurs lianes enchevêtrées créent une toile complexe de vie végétale, stabilisant l'énorme créature.
La lumière douce qui filtre à travers les feuilles et les pétales éclaire la scène d'une lueur tranquille. Les minutes passent lentement, chaque tic-tac de l'horloge marquant un moment de calme après la tempête. Dans cette immobilité presque sacrée, je sens la victoire se dessiner, chaque seconde nous rapprochant de la capture complète de la Plante 42.
3, 2, 1, 0
Mutation spécial détecté ou plante 42 absorbé avec succès disponible dans l'usine.
1 bulbe a croissance rapide sera produit tous les 20 jours. Vous disposer de 5 bulbe directement dans l'usine.
Le bulbe est a usage unique, une fois planté, il donne naissance a une plante 42 qui ne peut être déplacer ensuite. Sa taille dépendra de l'environnement et des ressources mis a sa disposition.
La plante 42 d'origine fusionne avec l'hôte, vous pouvez désormais utilisez certaines capacités de la plante 42
- création de lianes ( peut pousser hors du corps selon les souhait de l'hôte)
- jet de pollen ( l'hôte peut cracher depuis ses poumons un nuage de pollen aussi puissant que celui de la plante.
- Armure d'épine (créer des pointe de résine durci pour attaquer les personne proche de l'hôte)