Auracio
Je reçois la première gifle de ma vie. je reste figé par le choc, personne ne m'a jamais porté main de toute ma vie. pour qui se prend- elle ?
j'enroule mes mains autour de son coup et serre.
- Qu'est-ce qui te prends ?
je me redresse avec elle, son coup toujours dans ma main,je l'a presse contre le mur derrière elle.
- Ce n'est pas parce que je te désire que tu vas te permettre des libertés, d'autres sont morts pour moins que ça .
- je ne vous permet pas de me manquer de respect,je ne suis pas une pute.
- toutes les femmes sont des putes, sauf que les putes elles,s'assument.
- espèce de rat d'égout, lâche moi.
Elle essaie de desserrer mes doigts en gigotant, faisant bouillonner mes sens par ses frottements.
Je presse mon bassin contre elle lui faisant ressentir mon troisième pieds ?. Elle arrête de bouger comprenant ce qui se passe,ses joues sont toutes rouges,les yeux écarquillés, à bout de souffle.
- qu'est... qu'est... qu'est ce que tu fais ? espèce de malade, pervers narcissique,ne me dis pas que ? Non ! Vous n'avez pas trois pieds n'est ce pas ?
- Non mi amore, je n'ai pas trois pieds, c'est juste le petit Auracio qui veut te goûter,dis- je en me jetant sur ses lèvres qui me presse de les gouter ,qui m'appelaient depuis que je l'ai aperçu.
Ses lèvres sont juteuses comme des fruits bien mûrs,je les dévore comme un affamé,je suis au paradis,non en enfer,je ne sais plus, je ne sais plus où je suis.
Au paradis car je savoure cet instant magique et en enfer car je veux me plonger en elle,nager dans sa petite chatte serrée, mielleuse à souhait.
elle essaie de se débattre, de se soustraire à mon touché,je ne la laisse pas faire, je la serre encore plus, nous ne faisons plus qu'un.
Je délaisse ses lèvres un instant pour descendre vers sa poitrine,ses seins dressées, fières qui appellent mes doigts, je prends le bout entre mes doigts,les pinces,les presses comme des pamplemousse bien mûrs, elle gémit, halète,les yeux fermés, et elle savoure l'instant. Ses seins sont faits pour mes mains, créés pour elles pour les faire rougir à souhait.
Je les presse , ils débordent un peu de mes mains,je les cajole de plus en plus, je sens la chaleur emmenant de sa Chatte,je descends vers les cuisses que je caresse, elles sont douces, je remonte vers son mont Vénus, j'écarte la barrière de son sous-vêtements,je caresse délicatement son pubis, elle gémit fortement,se trémousse sur mon doigt.Elle est toute trempée,son jus dégouline entre mes doigts.
- tu bien trempé pour moi, pour ma queue, laisse moi te remplir cette nuit, laisse moi me perdre en toi,m'enfouillir tout au fond de toi,te faire mienne,te goûter,te sucer ,tu passeras la meilleure nuit de ta vie.
Je lui chuchote à l'oreille :
- Je t'avais dit que toutes les femmes sont des putes, alors quel est ton prix? dis le moi pour qu'on en finisse ,te veux combien pour passer la nuit avec moi ?
Elle se fige et tente de me gifler, j'attrape sa main,pose un baisé dessus.
- Ne te fâche,je ne te juge pas,on en a envie tous les deux.
- imbécile, truand, salopard,ta mère ne t'a pas appris à parler aux femmes ?
Ariane
Je suis obnubilée par tous ces sensations inconnues, incroyables, voluptueuses, sensationnelles ... bref je n'ai pas de mots pour décrire ce que je ressens, c'est vertigineux, mon corps est traversé par un feu brûlant qui ne demande qu'à être éteint ou à se propager sur tous les terminaisons de mon système,mon corps ne m'appartient plus.
Je sens ses doigts sur mes seins qui se dressent quémandant encore plus,le suppliant de continuer, avides de plus de caresses, je suis perdue, comment je m'appelle ?
Je ne sais pas qui je suis et où je me trouve. tout ce qui m'intéresse c'est cette sensation qui me fait délirer, s'il te plaît ne t'arrête surtout pas, j'en ai tellement envie, ha-ha-ha soulage moi ,mon Bel étalon. Oui !!!, mon esprit est à la dérive,c'est tellement bon.
je sens sa main qui me touche l'intérieur des cuisses et remonter vers mon centre,je suis bouillonnante, la respiration cascadee, suspendue, attendant, quémandant plus,ses doigts me caresse,mon jus jaillit comme une fontaine,inondant ses doigts. Il se fige appréciant le moment.
- Tu es bien trempée pour moi, pour ma queue, laisse moi te remplir cette nuit, laisse moi me perdre en toi,m'enfouillir tout au fond de toi,te faire mienne,te goûter,te sucer ,tu passeras la meilleure nuit de ta vie.
- Je t'avais dit que toutes les femmes sont des putes, alors quel est ton prix? dis le moi pour qu'on en finisse ,te veux combien pour passer la nuit avec moi ?Je me fige et tente de le gifler, il attrape ma main,pose un baisé dessus.
- Ne te fâche,je ne te juge pas,on en a envie tous les deux.
- imbécile, truand, salopard,ta mère ne t'a pas appris à parler aux femmes ?
- c'est la dernière fois que tu essaies de me porter main ma chérie.
Il s'assoit et me fait assoir sur ses cuisses, je sens sa longueur dur à travers son pantalon.
- laisse moi partir je n'ai pas l'intention de rester une minute de plus en compagnie d'un homme des cavernes.
je me débats avec force mais ça ne l'ebranle pas,il ne bouge pas d'un iota,je le martelle de mes points, c'est c'est comme s'il ne ressentait rien. il attrape mes bras et prend son téléphone pour passer un appel :
- Apprêtez-vous nous décollons ce soir, je ne serai pas seul.
Il raccroche et appelle John .
- Mr Smith, je vais vous faucher compagnie, je vais repartir dans mon pays avec mon colis.
- vous vous êtes entendu ?
- No
- Oui
Nous disons simultanément Auracio et moi.
- Je n'ai pas l'intention de vous suivre où que ce soit.
- Je ne demande pas votre avis.vous me suivrez que ça vous plaises ou non.
John intervient
- Si elle n'est pas d'accord tu prendre du bon temps avec les filles que je t'ai présenté.
- Je ne veux personne d'autre. j'ai déjà tout ce qui me faut. Alors, merci pour l'accueil, il faut que j'y aille,on s'appelle.
- Ne le laisser pas m'emmener, à l'aide, à l'aide. Marianne, Marianne ?!!! . Où es-tu ? laisse moi, laisse moi, salopard,je te déteste.
je me débats comme je pouvais, mais il ne me lâche pas. Il se lève et me soulève sur ses épaules. Je laboure son dos de mes points, il marche vers la sortie et personne n'intervient. Marianne se lève et nous poursuit.
- S'il vous plaît laissez la partir, pardonnez lui, elle ne maîtrise pas sa langue, elle parle à tort et à travers,s'il vous plaît, s'il vous plaît .
Qu'est ce qu'elle raconte celle là ?
Qu'est ce que j'ai fais ?
Où m'emmène t-il ?
Au secours ?.