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Chapter 8 - où m'amenez-vous ?

Ariane

Il se dirige vers la sortie, me portant comme si je ne pesais pas.

- Lâchez-moi espèce de malotru

Je reçois une grosse tape sur les fesses.

- Ça ne va pas,n'osez plus jamais me toucher,sale bête.

- Tu vas rester tranquille, arrêt de gigoter, où tu recevras une punition plus grave. Ne te presse pas, je vais bien t'apprendre à me respecter.

- Je ne vais jamais te respecter si tu ne me respecte pas en retour. Salauds, impertinent, sauvage.

Je reçois une autre fessée.

- Tu apprendras à me respecter, je t'en fais la promesse , ma chérie,tu me mangeras dans la main.

- Jamais, jamais, jamais

Il continue jusqu'à la voiture, accompagné de Marianne qui continue de courir derrière nous.

- S'il vous plaît, s'il vous plaît arrêtez-vous, je vous en prie, lâchez la pardonnez lui, elle est orpheline, elle n'a que moi, je vous en prie.

Auracio se retourne vers elle,moi toujours à travers son épaule et lui dit :

- Je vais avec elle à toi de voir si tu nous accompagnes ou pas, elle est à moi maintenant, et j'en fais ce que je veux.

- Aillet pitié,je vous en prie.

- La pitié c'est pour les faibles, alors ne faites pas perdre mon temps, vous venez ou pas ?

Il arrive à la voiture,et me jette sur la banquette arrière,monte juste après, j'essaie de me relever,et là ,il me prend sur ses genoux comme un bébé . Marianne s'assoit en face de nous puis un monsieur monte à côté d'elle.

Auracio lui demande :

- tout est prêt pour le décollage ?

- Oui boss lui répond t'il.

- Décollage ? Quel décollage ?Je ne vais nulle part avec vous. Pour qui vous vous prenez ? Vous ne pouvez pas kidnapper des gens comme ça.Dans quel monde sommes nous ?

- Dans le mien et j'en suis le roi, alors il serait sage pour vous de bien vous tenir, sinon vous en subirez les conséquences.

- Vous pensez que vous me faites peur ?

Ne me faites pas rire,morue va!!!

- hahaha, vous avez de ses injures pas possible, où vous partez chercher tous ça ?

- De mon cerveau pardis,ce n'est pas de ma faute si vous êtes bête et vieux.

Il commence à me caressez les jambes et remonte vers la cuisse...

- Ne me touchez pas

- Je te montrerai bientôt que je ne suis pas aussi vieux, je te ferai crier de plaisir,je te baiserai si fort que tu ne pourras pas marcher pendant des jours.

- Dans tes rêves oui, et ce ne serait pas de mon vivant.

- Je peux toujours t'arranger cela,qu'a cela ne tienne,tu me supplieras de te faire mienne,je t'en fais la promesse.

La voiture roule vers un aéroport, nous sommes escortés par deux véhicules à l'avance et à l'arrière, avec des hommes habillés tout en noir. Qui est-il pour être aussi bien protégé ?

- Tu peux toujours rêver.

Marianne et le monsieur aussi nous regardent déconcertés.

Il enfouie son nez dans mon coup pour aspirer mon parfum,il me serre contre lui.

- Qu'est ce qui m'arrive ?

Il le dit si bas que je crois avoir rêvé..

- Laissez moi m'asseoir.

- Tu es déjà assis.

- Je veux m'asseoir loin de vous.

- Arrêt de me vouvoyer, tu es très bien installé ainsi.

- Non

- Si

-Non

Sa main est toujours à l'intérieur de mes cuisses, qu'il caresses sans vergogne.

- vous n'avez pas honte de me toucher ainsi devant tout ce monde ?

- Ce n'est que ta copine et mon second, alors non je n'ai pas honte.

- Abrutis, insolent, impertinent,impo....

Je ne finis pas de parler qu'il emprisonne mes lèvres dans un baisé sauvage, bouleversant,sa langue force l'entrée de ma bouche pour trouver le mien dans une danse endiablée. Il m'embrasse avec passion,sa main continue sa progression vers le mont Vénus,je me débats avec véhémence pour essayer de me soustraire à son touché magique.

Je ne me laisserai pas faire, je ne suis pas un objet avec quoi il peut jouer. Je vais lui rendre la vie tellement Impossible qu'il va bien vite me chasser de sa vie. Il me maintient fermement contre lui

- Reste tranquille.

Il continue de l'embrasser,sa main empoigne une cuisse qu'il presse et l'autre main maintient ma tête,me soumettant à son intrusion dans ma bouche. Je n'y tiens plus, je réponds à son baisé avec fougue, même si je ne suis pas assez expérimentée, j'ai embrassé quelques garçons pour savoir ce que ça ferais. Comme galvanisé par celà, il attrape ma langue qu'il titille,suce, il délaisse ma langue et mord ma lèvre inférieure,la lèche et descend,lappe mon menton,ma gorge, je gémis, j'essaie de l'arrêter, je suis consumé par un feu dévorant. Mon bas ventre me fais mal,il demande à être soulagé, je sens son membre sous moi, je me frotte à lui,il émet un grognement,ses mains sont partout sur mon corps, sa bouche descend vers mes seins qui se sentes exclus du festin.

- Arrêtez-vous, s'ils vous plaît vous ne pouvez pas continuer ici, vous n'êtes pas seuls.

Comme si je venais de me réveiller d'un rêve, je le repousse brutalement et essaie de reprendre mon souffle.

Je m'éloigne de lui,il me laisse faire.

- Ne vous approchez plus de moi sinon

- Sinon quoi ? Que vas-tu faire, mon amour ? Dis moi.

Il me regarde avec un sourire idiot, que j'ai bien envie de lui faire ravaler, sa main se pose sur mon genou mais je me soustrais vite de son touché.

- Je vous ai dis de ne plus me toucher,ou vous allez le regretter.

Je regarde par les vitres teintées je vois que nous sommes arrivés dans un aéroport privé avec des gardes partout. Marianne et son second sortent,il sort et me tent la main.

- Nous sommes arrivés sort maintenant.

- Je ne bouge pas d'ici, je n'ai pas l'intention de partir avec vous ? John Smith et les gardes sont tous arrêtés devant la voiture et nous attendent.

- Mr John s'il vous plaît,ne le laissez pas m'emmener. je n'ai pas l'intention de sortir de ce véhicule , Marianne rentre on rentre à la maison.

Auracio rentre dans le véhicule et me tire pour me fais sortir, je me débats avec énergie,il sort avec moi dans ses bras et marche vers le Jet.

- Aux secours,aidez moi, lâche moi imbécile,bas les pattes, Mr Smith à l'aide.

- Mr Ferrari s'il vous plaît pouvez pouvez trouver un terrain d'entente, si elle ne veut pas partir.

- Ne vous mêler pas à ça John, c'est entre elle et moi.

- Mais c'est sur mon territoire.

- Alors considérez que je vous en dois une.

- très bien je ne l'oublie pas, mais si vous n'arrivez pas à la gérer je suis preneur.

- Cela ne risques pas d'arriver, merci pour l'hospitalité.

- Faîtes bon voyage, et amusez-vous bien.

- Où m' emmenez-vous, abrutis ?