Tous les synthétiques étaient au sol, peinant à se relever au milieu de la masse. Chacun essayait de se redresser sans écraser ceux qui était proche d'eux, avec plus ou moins de succès. Toutefois, une voix sortant des haut-parleurs les interrompirent.
« Nous allons faire un détour, la première navette n'émet plus aucun signal. Destruction probable. »
Chaque androïde fixa ses camarades. Tous étaient dans une position différente, mais immobile, comme si le temps s'était figé l'espace d'un instant. Lors-ce-que la navette recommença à bouger sans aucun avertissement, les synthétiques furent de nouveau projeter au sol, puis forcé de se relever complètement pour ne pas tomber à nouveau, et écraser leurs camarades d'infortune.
Le trajet se déroula dans un silence pensant, interrompu uniquement par le bruit qu'émettaient les inhibiteurs de gravité électromagnétique imparfait, qui permettait à la navette de flotté. En plus des occasionnels jets d'oxygène et d'hydrogène sous pression, permettant à la navette de maintenir son altitude, d'en perdre, ou d'en gagner, malgré sa petite stature et son manque de réacteur ou d'hélice apparente.
* * *
La navette ne commença à atterrir que bien plus tard. Les portes par lesquelles les androïdes étaient entrés s'ouvrirent complètement. Au-delà de l'encadrure des portes se révélait un désert parsemer de bâtiment préfabriqué, et de tente militaire affluant d'énergie. D'anciens robots archaïques s'occupaient de transporter plusieurs objets des diverses tentes aux bâtiments, tout cela au milieu d'un grand nombre de militaires qui sortaient et entraient du camp dans un roulement uniforme. Chacun portant un équipement plus qu'adapté à la guerre.
Un militaire portant un treillis bordé de plusieurs médailles s'approcha rapidement du groupe d'androïde laissé à eux même sans instruction, et leur adressa la parole d'une voix sévère et autoritaire.
« Vous tous, suivez-moi, vous aller prendre votre équipement, puis attendrez vos instructions. »
Le militaire mit alors des lunettes s'illuminant presque immédiatement après qu'il ait appuyé sur le côté de celle-ci, affichant quelques icônes sûr à l'endroit ou devrait être ses verres. Bien que ces icônes soient presque impossibles à discerné pour Alice et les autres tant il paraissait petit. Le militaire commença ensuite à avancer dans la direction de plusieurs tentes sans dire un autre mot, passant au milieu d'androïdes portant des équipement daté, rouiller par endroit, et d'humain se ressemblant tous, portant des équipement à peine plus récent.
Ces gens contrastaient avec tous les autres militaires portant des uniformes de gradé, ou des armures renforcé à la pointe de la technologie. Cependant toutes ces personnes les fixaient depuis les tentes voisines, attendant visiblement les nouveaux venus. Cette atmosphère peu confortable fut rompue par le militaire pointant la tente devant lui.
« Vos équipements sont là-dedans, dépêcher vous de les enfiler. »
Tous les androïdes entrèrent dans la tente, retirant les draps couvrant les quelques caisses qui contenait un vieil équipement similaire à celui que portaient les autres androïdes, créant chez certains une légère exclamation, ou une pointe de déception.
Toutefois, chacun enfila l'équipement qui leurs étaient réservé par-dessus leurs vêtements. Ils fixèrent l'imposante plaque d'amure au niveau du torse par d'épaisses lanières situé au niveau du dos, elle-même recouverte par quelques très vieilles plaques de Riftine à peine aussi résistant que du diamant, couvrant entièrement le dos une fois les lanières fixées afin de procurer une protection minimale en cas de fuite, tout en restant léger. Ils enfilèrent ensuite toutes les autres parties de l'armure, couvrant presque intégralement leurs corps, mise à part leurs têtes, le casque étant absent de l'équipement trouvable dans la tente. Tous essayaient de garder tant bien que mal leurs calmes, mais ce calme relatif fut interrompu par les pleurs d'un enfants, hurlant au loin.
Tous les androïdes émergèrent progressivement de la tente, fixant l'enfant ne semblant pas avoir plus de huit ans, qui pleurait dans les bras d'une autre androïde aux cheveux violets, évoquant étrangement l'apparence Alice. Elle essayait de le calmer alors que de l'équipement daté, et trop grand pour l'enfant, gisait à ses pieds.
« Que fait un enfant ici ? »
Demanda d'une voix emplie de surprise et d'incrédulité l'un des androïdes au cheveu noir, fixant l'enfant avec ses yeux vert, alors qu'il sortait de la tente, son équipement à peine ajusté.
Les androïdes ne savaient que dire, se regardant à tour de rôle, avant qu'un militaire en armure intégrale lourde grise soit attiré par les pleurs. Il attrapa d'une main l'enfant par le col pour le forcer à se relever, et jeta de l'autre main l'équipement qui était au sol, parlant d'une voix grave modifier par l'épaisseur de l'armure intégrale.
« Dépêche-toi de mettre ça, sinon tu vas être envoyé sur le front sans rien. Tu veux pas au moins avoir une chance de survivre dehors ?»
L'enfant regarda l'homme en armure, pleurant encore plus qu'auparavant. Il essaya de régler l'armure pour qu'elle puisse tenir sur son petit corps frêle. Malheureusement, celle-ci tomba à nouveaux, laissant l'enfant au sol, tenant quelques pièces de l'armure dans ses mains, essayant de contenir ses larmes.
En voyant cela, le militaire soupira, sortant un couteau d'un bleu vif, qui semblait vibrée à chaque instant une fois sorti de son étui, restant pourtant immobile. Il attrapa ensuite le torse de l'armure, coupant quelques lanières sans difficulté, bien que ce soit de manière approximative. Une fois les lanières raccourcies, il fixa l'enfant, puis les autres parties de l'amure bien trop grande pour lui, sachant que même si ils les raccourcissaient elle ne serait toujours pas adapté, avant de soupirer de nouveau.
« Essaie au moins de mettre ça, le reste n'est pas si important pour survivre. »
Le militaire s'avança ensuite au milieu des tentes, prenant la parole d'une voix forte et autoritaire.
« Que tous les clones et les androïdes se mettent en rangs devant moi de manière à ce que je puisse voir tout le monde ! Mon nom est Rakta, et vous êtes tous sous mon commandement pour le moment, je serais celui qui vous attribuera vos rôles et vous assignera vos unités. »
Rakta fit une petite pause, laissant la foule d'environs trois-cent personne se regrouper de manière ordonner, puis désigna plusieurs endroits ou des personnes ayant la même apparence attendait. Ils portaient tous un équipement plus récent que les clones, et les androïdes regrouper devant Rakta, mais semblait tout de même daté en comparaison de l'armure de Rakta.
« Je vais vous départager en huit corps en fonction de vos connaissances et vos utilités. Comme vous le savez la pratique vaut mieux que la théorie, insérer de force des connaissances dans un androïde n'est donc que peux efficace tant qu'il n'est pas habitué à la tâche à faire, et aux variables qu'il peut rencontrer. Donc ce système est fait pour vous départager et ne pas gâcher vos talents. »
Rakta observa la foule attentive, puis jeta un bref regard à l'enfant qui le regardait, les larmes aux yeux. Bien que celui-ci tente de rester calme pour ne pas perturber le discours, Rakta finit par détourner son regard, son expression devenant sombre alors qu'il réfléchissait, puis il reprit la parole.
« Que tout ceux ayant des compétences en ingénierie ou en mécanique s'avance. »
Après quelques secondes d'hésitation, quatorze personnes s'avancèrent devant Rakta, qui les fixa avant de former trois groupes, et de les désigner à tour de rôle.
« Vous cinq, vous irez dans les colonies abyssales, on a besoin d'ingénieurs au cas où les choses deviendraient complexes ici, et l'abysse sous-marin est l'une des zones les plus sûres qu'on ait colonisées. »
Rakta pointa ensuite une des zones ou un clone en armure attendait.
« L'autre groupe de cinq, aller juste à côté à gauche, aucun réel abri n'a été prévu pour les humains sur Mars, donc vous allez là-bas, il faut des renforts. Et les quatre autres, aller à la droite du premier groupe, vous irez travailler dans les abris souterrains. »
Rakta fixa brièvement les androïdes en rang dans les emplacements qui leurs étaient attitrés, avant de donner un nouvel ordre.
« Un médecin est-il présent ? Si oui qu'il s'avance.»
La foule resta silencieuse, sans que personne ne bouge, laissant Rakta soupirer avant de prendre à nouveaux la parole.
« Bon, tant pis pour les médecins, pour le reste, vous aller être divisé en trois groupes. Chacun ayant des missions bien spécifiques que je vais vous communiquer. Chaque groupe devra travailler avec les autres. Une armée où chaque groupe combat seul n'est rien de plus qu'un groupe de cible sur un champ de bataille, alors même si je ne parle pas de votre escouade, écouter bien car vous en aurez peut-être besoin plus tard. »
Rakta marqua une courte pause, prenant une profonde inspiration avant de continuer sa prise de parole.
« Je veux cinquante des androïdes présents en renfort au département de l'avant-garde. La possible présence de radiation empêche l'envoi d'hommes en profondeur sur le terrain, et on n'a pas assez de clones pour les envoyer. Votre rôle sera donc de confirmer, ou d'infirmer la présence de radiation, et de nous faire connaître les positions ennemies. S'il n'y a pas assez de volontaire je désignerais moi-même qui y vas. C'est l'endroit le plus risqué du champ de bataille, mais aussi le mieux récompenser, et avec le moins de temps sur le terrain, c'est bien plus intéressant que ce que vous pouvez penser, je vous le garanti. »
Un profond silence fut la seule réponse, à peine brisé par une trentaine de personnes s'avançant, ce qui força Rakta à désigner d'une main réticente vingt autres androïdes, laissant Alice dans la masse sans affectation. Immédiatement après, Rakta prit de nouveau la parole.
« Bon...Tous ceux restant irez avec la majorité Clones en première ligne, sauf l'enfant, la femme aux cheveux violets qui le garde, et vous trois. »
Rakta désigna trois personnes dans la foule au hasard, avant d'à nouveau parler.
« Vous, vous irez dans la logistique, ils n'ont pas vraiment besoin de renfort, mais si il y avait un problème on auras besoin de bras supplémentaire. Les autres clones vous irez en seconde ligne, vous connaissez déjà vos affectations. Maintenant, aller tous dans vos rangs. »
Aussitôt le discours de Rakta terminé, tous les clones se mirent en marche, formant des rangs, ce qui créa un mouvement de foule chez les androïdes qui les suivirent pour ne pas se trouver isoler. Alice suivit également le mouvement, se rangeant dans les rangs de ceux allant en première ligne. Elle attendait des instructions avec un calme remarquable, tout comme les clones. Le commandant clone au-devant du rang, équiper du meilleur équipement, prit rapidement la parole une fois les androïdes positionner devant lui, évitant ainsi que les synthétiques tremblotant ou semblant effrayer ne s'effondre en raison du stress grandissant.
« Je suis matricule 231, et serais temporairement votre chef. Que tous les clones se préparent au départ, les androïdes, vous me suivez, nous allons vous apprendre le maniement des armes. »
Le clone parti alors sans même se retourner, forçant les quelques androïdes retardataires à courir pour le suivre dans l'un des rares bâtiments disposé près des tentes.
Matricule 231 ne s'arrêta qu'après-être arrivé devant une machine similaire aux stations de recharge pour androïde, bien que le câble de recharge était bien plus épais, et que les stations fourmillaient de câbles s'enfonçant dans les murs alentours. Il prit ensuite la parole, un visage inexpressif le caractérisant.
« Entrée dans ces stations, elles vous intégreront les informations nécessaires via les souvenirs d'un ancien militaire stocker dans nos bases de données. Une fois que vous aurez les connaissances voulues, rejoignez-moi à l'entrée, vous assimilerez vos compétences plus tard, nous n'avons pas le temps de le faire ici. »
Dès que Matricule 231 sortit, les androïdes commencèrent à chuchoter, hésitant à entrer dans les machines. Finalement, Alice et quelques autres les utilisèrent. Ils branchèrent le câble en retirant un cache situé au milieu de leurs colonnes vertébrales. Les machines se virent alors briller d'un éclat vert, ce qui fit machinalement fermer les yeux des androïdes y étant entrée, avant qu'une violente douleur ne les assaille. La douleur était telle que tous se tordaient de douleurs, les moins résistant hurlant même.
Alice n'y faisait pas exception et se crispait de douleur, retenant à peine ses cris, avant que tout ne s'arrête soudain, et qu'elle ne ré-ouvre les yeux, regardant partout autour d'elle de manière confuse. Alice sortit en titubant de la machine désormais dépourvue de couleur, manquant de tomber plusieurs fois alors qu'elle rejoignait leur chef à l'extérieur, suivit de près par d'autres androïdes. Certains étaient parfaitement calme, alors que d'autres tombaient au sol, ne trouvant pas la force de se relever.
* * *
Après être arrivé devant une navette en étant accompagné des synthétiques, matricule 231 se stoppa. Il pointa du doigt la navette de transport déjà remplie de clones, fixant les androïdes qui ne savaient pas quoi faire.
« Entrée, on est en retard de deux minutes sur notre planning. »
« Et vous nous emmener où ? »
Demanda un androïde aux cheveux noirs et aux yeux verts.
« Au front. »
Répondit le commandant d'une voix inexpressive, pendant que d'autres androïdes entraient dans la navette, certains en titubant, d'autres étant portés par leurs camarades. Alice était dans les premiers à bord, s'installant dans un coin ou il y avait moins de monde. Mais rapidement, elle fut entourée par d'autres androïdes. Les portes de la navette se fermèrent presque immédiatement après l'entrée a bord de matricule 231.
* * *
Le trajet se passa dans un silence tout aussi pesant que le précédent. Les androïdes essayaient de rester calmes, et de reprendre leurs esprits suite à l'apport forcé de connaissance en eux. Ils se présentèrent les uns aux autres timidement, là où les clones restaient parfaitement impassibles, attendant simplement l'atterrissage de la navette, mise à part l'un deux semblant discuté avec les androïdes les plus stressés.
Ce n'est qu'au moment de son atterrissage, et l'ouverture de la grande porte, que de l'activité recommença à se faire sentir dans les yeux des clones. Ils bougèrent avant même qu'on en leur ait donner l'ordre, poussant les androïdes à les suivre dans une zone déserte si ils ne voulaient pas être livrés à eux même.
Mais alors que tout le monde s'arrêtaient devant la navette, le commandant clone prit la parole.
« Le front est proche, toute approche par voie aérienne signifierait la mort. On va donc continuer à pied. Contenter vous de suivre les clones, on est proche de la première ligne. »
Le groupe marcha plusieurs longues minutes, jusqu'au moment où plusieurs tentes et bâtiments préfabriqués entouré de barbelé ainsi que des tranchées emplie de soldat posté en défense, ne se profils au loin.
L'intérieur du camp ressemblant au dernier camp où ils étaient auparavant, si ce n'est que celui-ci était bien plus petit, en plus d'une chaleur intense semblant entièrement le couvrir, et de l'odeur de transpiration de ses occupant. Il comportait plus de tentes et moins de bâtiments au profit des tranchées et des défenses entourant le camp. Tout cela faisant presque oublier les innombrables impacts d'obus au sol, et les traces de sang, mêler à des douilles de balle en dehors du camp n'ayant pas encore sécher, ou les tas de barrière briser et détruite de toute manière imaginable qui était laisser à l'abandon.
Matricule 231 se dirigea sans un mot dans le camp, directement dans le seul bâtiment imposant comportant une antenne sur son toi, avant de se stopper à son entrée pour ordonner à son groupe d'attendre à l'extérieur.
Il sortis quelques minutes plus tard du bâtiment, accompagné d'un homme en blouse blanche. Il s'avança en donnant un appareil usé, parfois taché de sang, à chaque clone qui hochait la tête en retour. À ce moment l'homme en blouse blanche s'approchait des androïdes, un appareil ressemblant à un mixte entre la prise des stations de recharge pour androïdes et une clef USB à la main, avant de parler d'une voix monotone et fatiguer.
« Veuillez me montrer vos ports ICR, je vais vous insérer un programme pour qu'on puisse communiquer avec vous. »
Tout les androïdes se retournèrent alors, retirant le torse de leur armure avant de révéler leurs colonnes vertébrales en soulèvement légèrement l'arrière de leur habilles. Une fois cela fait, le scientifique inséra son appareil dans leurs ports, provoquant une légère douleur dans chaque androïde une fois l'appareil retirer.
Presque immédiatement après que tous les androïdes eurent remis leurs armures, une voix résonna dans leur tête alors que Matricule 231 était silencieusement positionné devant la troupe de clones à l'entrée principale du camp. Tous portaient diverses vieilles armes ensanglantées et mal entretenu de ses mains, affichant un regard déterminé.
« Unité 451, ici votre commandant en chef Jhon Shards. Mon rôle sera de vous transmettre vos ordres, et les positions ennemies connus. »
Un silence fut la seule réponse au mot du commandant, avant que Matricule 231 ne réponde d'une voix déterminer.
« Quel sont vos ordres commandants. »
« J'aime cet état d'esprit chef d'escouade. Votre première mission sera simple, vous irez porter assistance à une escouade en difficulté dans le 3eme secteur »
John fit une légère pause, reprenant sa respiration alors que seul le bruit frénétique de ses tapotements sur un écran pouvait se faire entendre.
« Je vous transmets les données. Votre objectif est donc de secourir les survivants et d'endiguer la menace avant qu'elle n'atteigne nos camps. »
« Reçus. »
Répondit matricule 231, avant de faire un signe à son groupe. Il fut rapidement suivi de près par les clones, alors qu'ils se dirigeaient devant lui d'un pas déterminé. Il laissa toutes les armes qu'il tenait derrière lui, alors que les androïdes, confus, le suivaient en prenant l'une des armes laissées au sol. Certains androïdes se tenaient même la tête, dû à la douleur que leur infligeait la transmission de données dans leurs bases de données.
Toutefois, les clones affermirent leur prise sur les petits sacs que chacun portait, ne comportant que quelques provisions, en avançant d'un pas déterminé, alors que les androïdes, dépourvus de tout équipement autre que leurs armes, sentaient le stresse s'emparer un peu plus d'eux à chaque nouveau pas.
* * *
L'escouade marcha silencieusement dans le désert les entourant, ou seul des traces de sang sécher témoignait des conflits passer. Certaines traces etaient plus fraîches que d'autres, bien qu'aucun corps ne pouvait être vu. Les long trajet semblait être devenu commun. Cependant, à peine quelques minutes plus tard, le bruit des tirs, puis ceux des hurlements bestiaux n'étant semblable à rien de ce que cette planète ait porté brisèrent le silence du trajet. De plus, ils semblaient mêler à des hurlements humains de moins en moins nombreux, signe que le groupe avait atteint son objectif. Matricule 231 serras en conséquence plus fermement sont arme au son des cris, faisant un rapide signe au groupe pour accélérer le pas.
L'escouade arriva rapidement sur le lieu des cris, courant entre des cadavres d'androïde scindé en deux, dont l'autre moitié était introuvable si ce n'est quelques bras ou jambes découper ici et là, affichant la structure mécanique nettement coupé des corps. Non loin de là, un petit nombre de silhouettes lointaines se débattaient contre plusieurs formes indicibles d'un noir absolu.
La scène tétanisa plusieurs androïdes, la peur d'avancer les paralysants alors que les clones continuaient sans la moindre expression, distançant rapidement les androïdes qui ne les avaient pas suivis. Les silhouettes lointaines devenaient plus claires à mesure qu'ils s'approchaient, révélant une créature d'un noir de jais avalé la partie supérieure d'un des androïde censé être sauvé, découpant nettement son corps, en ne laissant que sa moitié inférieure inerte au sol, dans un silence désormais pesant.