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Une existence inconnue

Lola_Beloita
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Synopsis

Chapter 1 - L’autre coté

La liberté est la plus belle chose en ce monde. Faire tout ce qu'on veut sans être reproché d'avoir fait quelque chose de mal, dire ce qu'on pense sans se soucier des autres et ne plus être obligé de faire ce qu'on ne veut pas faire. C'est un beau rêve n'est ce pas? Un rêve accessible pour eux et totalement luxueux! C'est normal pour ces gens de la réalité, c'était la chose la plus répandue dans leur coté, mais pas dans le notre. La liberté n'a jamais été pour nous. Depuis notre naissance, tout avait déjà été décidé, même notre physique. La seule chose qui nous reste c'est nos émotions et rien d'autre. Leur demender de l'aide serait bien non? Mais on ne rapportera que le chaos et la destruction. Personne ne sait et personne ne doit savoir notre existence, telle est la règle imposée. Je ne suis pas d'accord avec tout cela, on ne voulait rien d'autre que de vivre comme eux, ces gens chanceux et non méritant. C'était ce que je pensais, mais leur réalité a bien des problèmes. La trahison, la peur, la jalousie et surtout, les guerres. Peut être que si je l'avais dit à mon peuple leur volonté changerait, mais j'ai fait l'erreur de me taire. Maintenant, c'est la réalité qui en paix les conséquences…

()()()

5 ans plus tard,

Les couloirs de l'école Sompe n'ont jamais été aussi bruyant depuis les vacances d'été. Les groupes d'élèves se formaient, d'autres restaient seules et le restes cherchaient leurs affaires pour le prochain cours. Le couloir est long, mais étroit, ce qui rend la circulation aggressive puisqu'il faut pousser pour passer les 60 élèves dans ce chemin. Le bruit des casiers et la voix des élèves étaient déjà dur à supporter pour Emman, mais le son de la cloche était de trop. Les élèves se metteraient à se dépêcher pour rejoindre leur classe. Tel des cafards, les bousculades devenaient de pires en pires. Tout ce qu'il voulait c'était de boire l'eau de l'abrevoire, pas de se faire renverser par un gangster de sa classe d'histoire. Le gangster de secondaire 5 se releva et s'excusa rapidement sans même le regarder. Il était trop occuper à suivre la fille devant lui que de faire attention sur qui il s'était renverser. Il était part terre, découragé de se lever, mais il ne voulait pas être piétiner par ces sauvages. Il se releva à son tour de justesse, puis regarda sa montre. Il était 10h30 et le deuxième cours commençait dans 5 minutes.

«  Oh. Il est 10h30 », dit-il calmement, tellement calmement qu'on pourrait dire qu'il est aux nuages. Cinq secondes lui suffire pour comprendre qu'il allait être en retard s'il ne bougeait pas ses fesses d'ici. « OH NOOOOO! », cria-t-il dans le couloir. Les élèves autour de lui se mirent à rire et à se moquer de lui. Il n'avait pas le temps de s'occuper d'eux, il couru le plus vite possible vers les escaliers pour descendre récupérer ses affaires pour le cours de mathématiques. Il est très pacifique, sauf quand c'est au sujet de la ponctualité. Dans ces moments la, il peut devenir un vrai sauvage comme le reste. Il bouscula tout le monde sur son passage, puis il réussit à atteindre l'escalier 9. Heureusement pour lui, cette escalier est le moins utiliser dans l'école dû aux nombres excessifs des marches. Les autres sont triplement moins lent que celui la.

Il sauta quelques marches pour accélérer et il atteigna enfin le deuxième étages. Il était essouflé et super énervé, ce n'était pas son genre d'être tent en retard que ça. Il ouvrit la grosse porte lourde en métal qui menait au deuxième étages et il sprinta vers son casier, passent un mur remplit de graffiti qu'il a toujours trouvé moche pour des raisons artistiques. Il poussa quelques élèves avant d'enfin arriver à son casier. Il prena le cadenas, il tourna le petit levier en métal du dessus de gauche à droite pour enfin réussir à l'ouvrir. Il claqua son casier contre celui d'à coter, puis il prit ses affaires le plus rapidement possible. Il referma la mini porte en métal et il sprinta encore vers les escaliers.

Il restait une minutes avant la deuxième cloche quand il réussit enfin à regagner son local. Il s'assit à sa place et lâcha le plus gros soupir de sa vie. Il aurait eu une retenue s'il avait remarquer trop tard. Il était fatiguer après toute cette course, ses joues étaient en feu et il suait à cause du stress. Il passa ses mains en mointe dans ses cheveux avant de les regarder avec dégoûts. «  Yark! », lacha-t-il. «  Vous me trouvez yark jeune homme? »,lança Madame Joséphine, sa professeur de mathématiques.

Emman se redressa de sa chaise et se metta dans une position de travail. Il s'éclairsa la gorge et il lui donna enfin une réponse approprier. « Non, ce n'est pas vous a qui j'ai dit ça Madame, je parlais a moi même, car je trouvais que mon bureau était un peu sale. Est ce que je peux le nettoyer rapidement s'il vous plaît? » dit-il avec une telle élégance que l'ensemble de ses camarades de classes se mirent à le fixer. Même Madame Joséphine le fixait bizarrement. « Eum, oui tu peux nettoyer ton bureau, mais fait vite je dois vous dire quelques choses. » finissa-t-elle.

Emman était très élégant, il est pas né d'une famille riche, mais il a quand même apprit les bonnes manières pour se sortir de se genre de situation déplaisante.

Il tassa sa chaise derrière, ensuite il se hissa en dehors pour chercher le papier et le produit. Il se dépêcha de nettoyer, pendant se bref moment, ces camarades chuchotaient et riaient, laissent Madame Joséphine leur crier dessus pour la fermer. Il posa le produit et il jetta le papier, après il retourna à sa place. Madame Joséphine prit la parole, « Bon matin les élèves! J'espère que vous allez bien et que vous avez passé de bonnes vacances! Je suis Madame Joséphine pour ceux qui ne me connaissent pas, mais la plupart sont ici depuis leur secondaire un! Maintenant que les présentations sont faite, ouvrez votre cahier à la page 7, on va faire une petite révision! » dit-elle avec enthousiasme. Elle savait pas qu'elle était la seule contente ici de faire des mathématiques. Un élèves derrière Emman leva sa main et Madame Joséphine lui accorda la parole. « Madame on vient juste d'arriver et vous voulez déjà faire des révisions ? On peut au moins voir le code de vie avant, moi je le connais pas » dit-il .« Parreil », cria un autre élève à la gauche d'Emman. Le reste criaient tous à leur tour pour ne pas travailler. Emman resta silencieux, il avait la flemme de ce mettre dans des problèmes qui ne valaient pas la peine.

Madame Joséphine était perdue, elle ne savait pas quoi dire, elle essaya de calmer les élèves, mais personne ne l'écoutait. Elle abandonna après 8 minutes d'acharnement et elle décida d'appeler la direction tout en menaçant les élèves. Elle n'eut pas le temps d'appeler que toute la classe fut prit d'un silence étouffant. Elle tourna la tête et elle se tue elle aussi. Emman ne comprenez pas pourquoi la classe entière était devenue silencieuse jusqu'à ce qu'il leva la tête pour voir la porte.

Il y avait 5 surveillants derrière la porte. L'un des surveillants aux cheveux roux ouvrit la porte avec sa clée et il entra avec le reste de ses collègues. Avant de fermer la porte, une jeune fille passa par celle ci. Tout le monde la regarda avec curiosité. La question venait ensuite: Pourquoi 5 surveillants la suivent ? Les surveillants quittèrent la pièce sans la fille. Emman se demandait si c'était une fille d'un riche homme du pays, mais il n'avait aucune certification de cela. La jeune fille regarda tout les élèves un par un avant de poser ses yeux sur Emman. Elle le regardait intensément, presque comme si elle allait lui sauter dessus. Il la fixa à son tour pour jouer le jeu, mais elle ne baissa pas les yeux, ce qui rendit la situation très gênante. Emman n'en pouvait plus et il lâcha l'affaire. La fille baissa ensuite ses yeux et elle se pencha pour nous saluer.

Elle prit finalement la parole, « Bonjour, je suis vraiment désolée, mon bus est venue en retard! » dit-elle d'une douceur remarquable. Le reste n'en avait rien à faire de ce qu'elle disait, ils étaient occuper à regarder sa tenue.

Elle portait une chemise à manche courte en sois noir, le reste de la chemise était rentrée dans son pantalon. Son pantalon était serré d'en haut et d'en bat, mais au milieu c'est large. Il était aussi recouvert de deux grosses poches en haut et au milieu. Ses souliers étaient plutôt des bottes noirs avec des trasses de griffures blanche au dessus. Ses cheveux était attachés en queux de cheval desserrée et à moitié bouclé. La seule chose qui restait c'était le chaîne en acier attacher à sa ceinture descendant vers sa hanche droite. Emman trouvait ça très stylé, mais les autres la jugeait au contraire. Madame Joséphine lui parla pendant à peu prêt 20 secondes au sujet de son retard, puis elle lui attribua une place. Elle s'assit à coter d'Emman. Il était ni ravit ni en colère. Il s'en foutait carrément. Cependant, il ne savait pas que les problèmes commenceraient à cet instand précis.