Et toujours me blames-tu du fait de mon âme
La vendrais-je à ce diable et puis en faire un drame !
Je la lui offrirai pour acheter ce don precieux ,
Que d'être , se sentir aimer équivau avoir les cieux
Les nuées ,les etoiles et libre comme le vent
Se sentir voler ;frivole au soleil levant ,
Au crepuscule doré à n'importe quel jour
Pour tout ce que vous me dirai je repondrai Amour
À toi seule raison toi science, toi source de vie
Bien loin de ce qu'ils disent ou bien de nos écrits
De vivre de s'y sentir vivant, peu dupé, léger
Et se laisser comme Icare sur la mer égée ;
Flotter dans l'azur et se sentir libre
Se sentir aimer ;la frontière pour vivre !
Porter par la bise mais point de naufrager
Amour anime en moi l'homme jeune et l'homme âgé
Tout être de ce monde, tout esprit perdu
Confus dans ce qu'on lui doit et ce qui lui est dû
Et Tout recoin en mon esprit comme se cède au peché ,
A la tentation Judas et sur cet arbre perché !
Un corbeau partant dans l'infini bleu
Et le voilà pointé de ces enfants. eux !
Voient dans la vie la source jallir
Qui accompagne l'homme et le regarde vieillir
Sans se moquer ,sans un dedain mais plutot clémente :
"Entre Adan damné et siège sous ma tente ! "
"Refugis-toi avec ta femme et le futur
Quand tu l'aimes et elle t'aime ;il semble moins dûr
Et quand vous marcherez ,vagabons dans la ruelle
Tous deux banlieuzards et lui s'avérant cruel
En un seul mot Amour et comme par magie
D'un geste magnanime bercera les bougies
A moi adan payant le prix des dettes sans fin
Suis-je condamné à ne jamais dire enfin ?!!
Ou bien à rester toute ma vie dans l' opprobre prés d'eux ;
Je vous aime tous mais toi je te hais Dieu !!