Le visage de Marc Fraley était couvert de givre.
Il ne pouvait pas croire que le chien obéissant devant lui oserait prononcer de telles paroles scandaleuses !
« Vous rendez-vous compte de ce que vous faites ? » Le ton de Marc était empli de froideur et de menace.
Non loin, Dudley Lynch, s'exprima d'un ton tout aussi désagréable : « Bien sûr que je sais ce que je fais. »
« Monsieur Marc, si je travaille pour vous, vous devez m'offrir quelques avantages. »
Marc ne put s'empêcher d'éclater de rire : « Tu n'es qu'un chien. Je te lance un os, tu dois le rattraper. Si je ne le lance pas, tu n'as même plus de merde à manger ! »
Dudley était prêt à se fendre le visage.
Il se tenait non loin et dit calmement, « Je ne pense pas. »
« Bien ! Dudley, laisse-moi te dire une vérité. » Marc se pencha en arrière, les mains derrière son dos, un air d'indifférence sur le visage.