Le portail en fer était si vieux qu'on pouvait observer de la rouille un peu partout, je regarde Jiyu et elle me regarde à son tour, puis nous faisons signe de la tête mutuellement, je marche devant le portail et baisse la poignée et ouvre légèrement, bruit de rouille aigu ce fit entendre à chaque recoin des l'environ, je fais quelques pas et m'arrête, je regarde autour de moi puis continue, la fille aux cheveux noir était derrière moi son gun à la main, le sentier où nous marchons était dans un sale état, les galets qu'y étaient disposés pour servir de chemin était méconnaissable, quant à la maison qu'y étaient juste sous nos yeux étaient presque entièrement détruite, ce n'était plus qu'un amas de ruines et mon regard ce tourne à nouveau on pouvait observer un champs de légumes non loin, une brise d'air surgit en laissant une odeur nausée a bonde qu'y me donne envie de vomir, je met ma main sur ma bouche et je retourne mon regard vers le clébard qu'y ce retenait elle aussi de vomir, la brise cessa et l'odeur de l'air était plus agréable, j'arrête de marché et me tourne vers mon amie.
-Maintenant, qu'on est sur les lieux, qu'es ce qu'y te rendrait s'y nerveuse ? Je la regarde droit dans les yeux.
- J'ai repensé rapidement, à votre histoire de Boyve et Piring, Jiyu s'arrête et jette un coup d'œil dans les environs puis reprend, cette Piring quand elle est revenue parmi nous, semblent bien enjouée de tuer une personne pour quelqu'un qui était censé être gentil ?
-Tu es en train de me dire que... J'avais les yeux écarquillés.
-L'histoire qu'on nous a racontée, n'était, à mon avis, pas totalement vraie. Jiyu montre un regard et un ton agacé.
-C'est vrai que je trouvais bizarre son sourire, au moment où je l'ai aperçu, je m'arrête de parler et réfléchis légèrement, ce détail me semblait étrange et maintenant que tu le dis, elle ne doit pas être,s'y innocente que ça.
-Malheureusement, c'est qu'une supposition, mais je suis persuadé, que ce n'est pas juste un pressentiment.
Jiyu tourne rapidement sa tête en direction de la maison, une tempête apparaît à l'intérieur et ce qu'y en restait fut entièrement ravagé, un homme tombe du ciel près de nous, c'était l'homme qu'on cherchait.Le regard de mon amie était toujours tourner vers cette tempête et le mien sûr notre trouvaille, le vent cesse la démone était en face de nous, le visage énervée, elle murmure quelques mots qu'y étaient difficiles d'entendre, l'homme ce réveil et se redresse rapidement et nous demande de s'éloigner le plus rapidement possible mais à peine il finit sa phrase qu'on ce fait projeté par une forte Rafale de vent en direction du potager, on était tous les trois sur une terre qu'y empeste. Ils nous étaient difficiles à respirer, alors on décide de prendre l'homme avec nous et de courir en direction de la sortie, mais hélas, on est stoppé dans notre course par un arbre attendrissant devant nous. On se retourne et la femme était en face de nous, elle montre l'homme du doigt.
-Donnez-moi cet homme ! La femme le visage énervé
-Tu peux toujours rêver, Piring ! Lui dis-je énervée à mon tour
-Piring, Piring, j'ai l'impression que ça fait des années qu'on ne m'a pas appelé par mon prénom. Elle semblait plus calme.
-Tu penses vraiment, qu'on va te laisser tuer Boyve ? Jiyu les sourcils légèrement froncés
- Ce type mérite de crevé, Piring, avait son visage de nouveaux énervé, ce bâtard est vraiment lamentable avec sa femme qui n'est qu'une traînée ! Piring avait un grand sourire de satisfaction.
-Piring, tu es complètement folle, c'est toi qui as tué ma femme, je te rappelle ! Boyve s'énerve à son tour.
-J'ai enfin compris, Jiyu avait affiché un sourire de joie et de folie, en fait c'est toi là qu'on doit tuer.
-Jiyu, dit-je en murmurant près d'elle, tu me donnes carte blanche ? Mon regard tourné vers mon amie
-Non, pas maintenant étant donné qu'on a deux démons avec nous, pas besoin de se mettre sur nos gardes où nous défouler, attendons le bon moment pour lui mettre une balle dans la tête. Jiyu avec un sourire jusqu'aux lèvres
Piring, bondi sur l'homme, est le fait tomber au sol, son visage n'exprime que de la rage, ses ongles étaient plus longs et semblent plus aiguisés qu'un être humain lambda. Elle se déchaîne sur le visage du démon tout en prononçant le mot Mallacht, à de nombreuses reprises, ces griffes déchirées sa peau et à chaque entaille, il se régénérait, mais Boyve s'énerve à son tour en ayant de la haine dans son regard et lui roue de coups dans les côtes et sur le visage. Je les regarde, sans éprouver de l'intérêt n'y de la commission puis je regarde à nouveau mon amie qu'y n'avaient comme à son habitude aucune expression sur son visage, elle ce mit à dire une phrase.
-C'est vraiment n'importe quoi. Jiyu les regardant
Suite à ces mots, j'avais compris ce qu'elle allait faire. Elle s'approche d'eux et s'accroupit, mais les deux démons pris par leurs rages et leur haine, n'avaient rien remarqué. Leurs coups interrompus par un bruit sourd et la tête de Piring qu'y part en arrière, elle s'était pris une balle du gun de la fille aux cheveux noirs. Le corps de la femme disparaît en laissant derrière elle de la fumée, quant à l'homme aucun mot ne sortit de sa bouche, il fixait Jiyu les yeux grands ouverts avec son visage éraflé qui continuent à ce régénéré. Je m'avance et m'assois en tailleur à côté d'elle puis souffle un bon coup, Boyve de redresse et se met devant nous, il nous regarde chacun notre tour toujours sans aucune phrase, mais un petit moment après il prononce quelques mots difficilement.
- Vous... La... La... Ghost Rider ? Boyve troublé
-Oui, c'est moi. Jiyu d'une voix à son habitude neutre
- Maintenant, que je vous regarde, Boyve ayant repris son calme, des cheveux noir nuit et des yeux jaunes orangers rappelant ceux d'un loup, Boyve fixant Jiyu
Il s'incline devant nous, le clébard et moi, nous nous regardons ne sachant pas quoi dire n'y faire. Notre surprise s'arrête quand il adressa quelques mots.
- S'il vous plaît, Ghost Rider, Boyve redresse la tête, tue moi.
Jiyu, regarde l'homme au sol implorant sa pitié, il voulait mettre fin à sa vie, qu'il décrivait "misérable", en baissant à nouveau la tête, mais le clébard ce contentait juste de le regarder. Je lui demande si on pouvait écouter son histoire et elle me fit non de la tête en prétextant que cela était désormais inutile, mais que s'y ont n'était encore en train d'enquêter, ces détails nous auraient beaucoup servi. Boyve, nous regarde et redemande encore de l'achever et cette fois-ci, son discours était plus long que deux mots, il ajouta que si le clébard le tuer, il pourrait retrouver sa femme, hélas elle lui coupa avant qu'il puisse terminer en rétorquent qu'il ne l'a reverrai jamais sauf si cette dernière avait commis elle aussi un crime et que la seule chose qu'il verras c'est l'enfer. Sur ces mots, le démon laisse couler des larmes, affichant un air abattu et désespéré, Jiyu lève son gun et lui tire une balle dans la tête. Je regarde son corps disparaître, tandis que mon amie, se dirige dans la maison. Je la rejoins, elle était en train de fouiller un peu partout comme si elle cherchait quelque chose, je lui demande ce qu'elle veut trouver, le clébard prononce un seul mot une pelle, je l'aide à mon tour et après avoir fouillé la maison de fond en comble, nous tombons sur des outils de jardinage. La fille aux cheveux noirs prend une pelle et m'en tend une autre, on part dans le potager, une fois devant l'odeur devenait insoutenable, mais on y pénètre quand même, l'odeur devenait de plus en plus forte puis on s'arrête, je commence à creuser le premier. Plusieurs minutes sont écoulées, nous avons déjà creusé un bon mètre de profondeur. La pelle du clébard touche quelque chose de dure, ont ce regard et elle enlève la terre qui recouvre, une fois tous déterré, des corps humains toujours en décomposition étaient visibles, une senteur de pourris était forte, je dis à Jiyu de sortir d'ici et nous sortons du trou. On était tous les deux assis en regardant les cadavres aux fonds qui semblaient ressent, nous étions là à ne pas parler, car nous ne savons pas d'où ils venaient et si on devait prévenir les autorités étant donné qu'ils ont énormément de mal avec la présence de mon amie, mais suite à ces quelques questions dans ma tête. Je me lève en ma direction de la maison de Boyve et je commence à chercher des objets pouvant m'aider à faire disparaître cette maison complètement en ruines ainsi que son jardin à vomir, cela m'a pris plus de temps que je l'aurais imaginé parce que même si les outils de jardinage étaient particulièrement bien visibles, ce que je voulais, était beaucoup mieux caché. Une fois les débris écartés, je tombe enfin sur des bidons d'huile et un briquet, je les amène à l'extérieur et je commence à les renverser un peu partout autour de la maison et je fais une traînée jusqu'au potager, j'allume une allumette et la laisse tomber, en espace de quelques minutes des grandes flammes pouvaient être visible depuis la ville. On pouvait entendre des sirènes aux loin, j'attrape le bras du clébard et on se mit à courir, jusqu'à la maison, après quelques heures de course effrénée, on était devant les clôtures du ranch, complètement essoufflé, on reprend notre souffle peu à peu et nous voilà repartis à l'intérieur de chez nous. Une fois à l'intérieur, nous n'étions pas accueillis avec énormément d'enthousiasme, c'était bien tout le contraire, makoto afficher un visage énervé à la limite enfantin.
-Je vous déteste, tous les deux. Makoto énervée, vous m'avez abandonné comme un vieux kleenex usagé.
-On peut tout t'expliquer, Cipher, le visage non rassuré, tu sais comme tu étais endormie, on ne voulait pas te déranger.
-Alors pour ma part non, jiyu, le visage blasé, je voulais en finir rapidement avec cette histoire.
-Merci pour votre soutien. Cipher pinçant la joue de Jiyu
- De... Rien.
-Tu es méchante. Makoto commence à taper jiyu
-Arrêtés tous les deux, Jiyu poussant, ses deux amis, vous avez cinq ans ?
Quelques minutes de chamailleries plus tard, on s'arrête et nous nous étions installé dans la chambre des documents, la fille aux cheveux noirs et moi, nous racontons tout ce qu'y, c'était passé pendant que la fille aux cheveux gris nous écoutait attentivement, une fois toute notre péripétie raconter. Makoto allume son téléphone et commence à effectuer des recherches, je m'approche à côté d'elle, je la voyais regarder plusieurs articles en tout genre puis elle s'exclama en nous montrant ce qu'elle avait trouvé.
-Boyve Mallacht. Makoto nous montrant son téléphone
-Pourquoi, tu as fait des recherches sur Boyve ?
- Il y a quelques éléments qui m'intriguait, avec son histoire qui n'était pas tout à fait exacte. Makoto regarde son téléphone
-Tu as trouvé quoi ? Jiyu, le visage inexpressif
- Pour commencer, Boyve Mallacht était d'origine irlandaise et il avait réussi à épouser une femme, mais apparemment cette dernière ce serait faite assassiner, le jour de son mariage. Makoto s'arrête, premier gros changement, deuxièmement l'assassin de sa femme était bien Piring qui était Corse ce qui était bien dit par Boyve lui-même, mais deuxième changement dans l'histoire, la bague que notre client avait dans sa boîte appartenaient à la femme du démon et devait enfermer son âme dans cette dernière. Makoto nous regarde et conclut, et dernière chose notre très cher gentil Boyve était un tueur en série qui s'amusait à utiliser le cadavre de ces victimes comme engrais pour son potager. Makoto, s'arrête et nous regarde.
-Un bon duo de psychopathe alors ? Jiyu, croisant les bras, mais pourquoi, tu nous as précisé leurs origines ?
- Très bonne question, Mallacht en Irlande veux tout simplement dire malédiction et comme Cypher avait déjà déchiffrer les mots Abortu et Mortu qui signifient tout simplement avortement et mort. Boyve avant de mourir une fois avoir lui-même assassiné Piring du meurtre de sa femme, il a enfermé dedans avant d'être lui-même maudit. Makoto s'arrête et nous sourient
-On peut dire que cette histoire, était plus compliquée qu'il n'y paraît. Cypher avachi contre le mur
Une fois toutes ces révélations, makoto décide de retourner dans sa chambre tandis que Jiyu et moi restons toujours assis au sol en essayant de ce reposer mais le clébard prononça mon nom et à peine ayant le temps de me retourner qu'elle s'effondre a terre, je me précipite vers elle et à ma grande frayeur, ce n'était désormais qu'un corps sans vie qui ce dressait devant moi.