Chereads / Go to the hell in purgatory: Volume 0 / Chapter 18 - Chapitre 17- Bienvenue dans le quartier à démon (2)

Chapter 18 - Chapitre 17- Bienvenue dans le quartier à démon (2)

Toujours en chemin vers cette maudite sortie, cette fois-ci, ce n'était pas des démons qui m'interpellent ou m'appeler, c'était des miaulements. Je m'arrête en chemin, en écoutant, c'est cri qui était plutôt faible, à mon avis, c'était loin de moi, mais est ce que je devrais m'y rendre ou laisser tomber ? Je souffle et me dirige verre, c'est bruit incessant, plus je les suivais et plus les ruelles apparaissaient. Tout en marchant, je regarde autour de moi, les rats y rôdaient à chaque recoin, des vitres brisée presque à chaque bâtisse, les déchets étaient quasi présent, l'eau, l'alcool et d'autres liquides si mélange, créant des odeurs plus que repoussante, les bruits de luttes pouvaient ce faire aussi entendre, les verres qui ce brise, des meubles ce renversant, était aussi de la partie. Tout ceci me rendit à nouveau inexpressif, c'était tellement familier, mais n'importe qui voudrait oublier ce genre d'ambiance bien macabre, hélas certaines choses ne s'oublie pas et encore moins, les souvenirs les plus douloureux ou traumatisants. La sortie des ruelles était proche, les miaulements s'entendirent de plus en plus fort. J'étais sortie à ma grande surprise, ce n'était pas des bruits de détresse, mais plutôt de rage et de lutte, c'était un chat noir, il mordait et griffait deux démons, l'un le tenait tandis que l'autre tenait un couteau. J'observais leurs bras étaient recouverts d'éraflures, le chat avait une patte ensanglantée, je les entendais parler. Ils voulaient le tuer car l'animal leur avait voler de la nourriture, je m'appuie contre un mur en les regardant, les deux démon prenait leur temps à ce décidé d'agir, j'avais plus l'impression d'assister à une dispute qu'un dialogue entre deux personnes, une fois leur dispute terminé celui détenant un couteau tombe en arrière sous l'impact d'un coup de feu, l'autre relâche le chat sous l'effet de la surprise et des sueurs froides commence à apparaître en voyant son collègue partir en cendre. Je l'interpelle et il tourne sa tête vers ma direction, mais n'avait pas le temps de réaliser qu'il se prit à son tour une balle dans la tête et part cendre à son tour. Le chat était contre un mur un peu plus loin, il léchait sa plaie, je range mon gun et m'approche doucement de lui, à quelques mètres, je m'agenouille puis lui fait signe avec ma main tout en l'appelant, il me regarde tout en hésitant puis s'avance vers ma main en sautillant. Il regarde ma main puis commence à se frotter contre celle-ci, des ronronnements s'entendirent, je l'attrape délicatement et m'assois en tailleur au sol et le dispose doucement. J'observe l'état de sa patte, la plaie n'était pas profonde, mais l'emmenait voir un vétérinaire était fortement recommandé, en essayant de dégager ses poils pour mieux voir sa blessure, voir un vétérinaire était fortement recommandé, en essayant de dégager ses poils pour mieux voir sa blessure, il se mit à me déchiqueter la main puis il s'enfuit, je me redresse rapidement et commence à le poursuivre. Le chat courait plutôt lentement, sa patte levée dû à sa blessure puis le sang coulant de ma main en piteux état, me faisait atrocement, mal et ne cicatrisé pas. Le suivant dans les alentours de la ville, je sentis que je m'éloigne de plus en plus de mon bute qui semblait tellement facile à réaliser, ce qui m'énerve légèrement puis la monté de souvenirs survenant peut à peut d'une situation exactement similaire accompagnée de Cipher étant petite, m'énerve de plus en plus car j'avais complétement oublier que je détester une attitude futile pour certaines personnes, mais moi ce qui m'irait le plus au point était les animaux égoïste. C'est sale bête qui t'attaquait sans raison apparente alors que tu venais de les sauver par contre ce petit chat n'était pour rien, je lui ai touché la plaie par mégarde. Pourtant en pensant à cette seule phrase cela m'énerve de plus en plus, jusqu'à ce que je me rende compte que Cipher était aussi un animal égoïste, la rage montant en moi, je commençais à grogner légèrement. Le sale chat lui était quelqu'un de possessif, légèrement obsessionnelle sur les bords, violent et ayant des désirs sexuels agacent. Je pensais à tous ces défauts puis baisse le regard au sol et expriment une mine de tristesse, le blâmer pour sa est ridicule car ça à toujours été dans sa nature mais cela m'agace légèrement en y pensant mais bon je ne veux pas déprimé pour si peu puis me tapant les mains sur mes joues, j'accélère et part récupérer le plus vite possible ce petit chat blesser. Il s'était arrêté devant un carton et saute dedans, je m'arrête et reprends mon souffle, je m'approchais doucement et penche ma tête, j'étais stupéfié par ce que je voyais. Le petit coureur du dimanche n'était pas tout seule, il était accompagné de quatre autres chats, un tout blanc, un autre marron clair avec des taches marron foncé un peu partout et un tout petit dernier qui était beaucoup plus jeune avait une fourrure grise très clair. Quelques heures avantes. Je me dirigeais vers l'ouest de la ville, à l'endroit où se trouver le clébard, dans la limite de la grande ville puis trois heures de marche à pied dans un sol et un lieu presque désertique. Makoto regarde au alentour et me demande où nous allons, je ne lui répondis pas et continue de marcher, elle me repose à nouveau la question, je ne dis toujours rien et à nouveau la même question, toujours un silence apparu ce qui l'énerve petit à petit. Elle s'avance d'un pas décidé et essaie de me taper le dos, mais je lui pris brutalement le bras et la regarde d'un air plus sérieux que d'habitude.

- On est arrivés, Cipher, ayant air plus que sérieux, tu devrais être plus attentif au lieu de t'énerver. Cipher, lâche le bras de makoto

- Quoi ? Makoto, affichant un visage déconcerté, tu te moques de moi, tu as fait que de m'ignorer, une fois qu'on a quitté la ville, Makoto, montre la direction de la ville, en plus pendant des heures.

- Je le sais très bien, tu n'es pas obligé de me le rappeler, Cipher, s'arrête un moment de parler, mais faut dire, que tu es bruyante parfois. Cipher, regarde Makoto en affichant un visage plus que sérieux.

- Tu te fous de moi ! Makoto, agrippe Cipher par son gilet, tu ne réponds pas pendant des heures et tu me balances ces conneries ?

- Un conseil, si tu veux rester en vie. Cipher, attrape le bras de makoto, reste ici et attend nous d'accord.

- Fait comme tu veux ! Makoto, lâche le gilet de Cipher, si tu veux crever, meurt tout seul !

Makoto avait des larmes d'énervement et commencer à grogner légèrement, je me retourne sans dire le moindre mot et marche devant l'entrée d'un vieux quartier. Une clôture entourant à des kilomètres à la ronde, comme si, c'était pour empêcher des personnes d'entrée ou de sortir, il était fabriqué en bois, puis levant ma tête, deux grandes poutres redresser de chaque côté, une pancarte en bois ayant une inscription illisible accrocher par des chaînes rouillées, je me rappelais du nom de cet endroit "Ghost Rider".Je me retourne en direction de la fille aux cheveux gris, elle afficher un regard de haine et de frustration, elle avait ses mains séré, on pouvait presque voir des marques rouges apparaître puis je me retourne à nouveau mais une voix murmura à mon oreille, je m'arrête un moment de respirer et ne bougé plus, mon œil droit ce tourne vers le son et à ma stupéfaction, je vis le Lapin appuyer sur mes épaules tout en lévitation, un sourire s'affiche sur son visage et je regarde à nouveau derrière moi, Le paysage, Makoto, les oiseaux semblait être figé dans le temps. Je recule d'un pas en le regardant fixement dans les yeux, cela dura un lapse de temps, car au moment d'un battement de cils, il se retrouve devant moi et chuchote à nouveau.

Tu es dans le bon chemin.

Il se mit en tailleur, les mains sur ses genoux et une autre voix se fit attendre, je la reconnaissais aussi, mais je refusais de croire que c'était bien celle-là, me tournant, j'aperçois à nouveau la silhouette de cette enfant et son visage toujours caché part de l'ombre, c'était bien la petite Alice. Je la regarde ne sachant pas quoi lui répondre, mais elle me dit simplement, "suis moi, si tu veux la retrouver", je me tourne vers le lapin qui répondit à son tour, "essaie de ne pas mourir, avant de l'avoir retrouvé." Le temps reprend son cours une fois ses mots terminés, j'affiche désormais un visage plus dynamique et légèrement anxieux. Je prends la capuche de mon gilet puis je le redresse sur ma tête et d'un pas, j'accélère et la dernière parole que j'entendis était ce de makoto,"va crever !". La petite fille blonde souris et ce met à courir en me disant de la suivre, une fois l'horizon devenu introuvable, les premiers bâtisse apparus devant moi et à peine mon pieds pausé à l'intérieur, qu'un coup de feu frôle ma joue, laissant un traie faire glisser du sang, j'entendis des voix de chaque côté et le bruit d'armes ce recharger. On pouvait dire que c'était un très bel accueil venant de cette ville. J'entendais des bruits d'armes se recharger, d'autres étaient braquer sur moi puis des voix se fit entendre.

- Tuer ce gamin ! Un homme, près d'une fenêtre, larme à la main

-On peut le buter tranquillement, il n'y a pas la gamine de Del Rey pour l'accompagner ! Un homme d'une vingtaine d'années, était sur un balcon.

Ils commencèrent à charger les armes et commencèrent à presser la détente. J'essaie de courir en essayant d'activer les tirs, mais j'ai reçu plusieurs égratignures sur les bras, les jambes, les côtes et une dernière balle arrive en traversant ma main gauche. Je retiens mon cri de douleur et réussi à me cacher derrière des caisses en bois, le début de la ville était tout proche, si je voulais ne plus me faire fusillés, je devais m'éloigner encore un peu, au moins jusqu'au centre. Je ferme les yeux et commence à reprendre un souffle régulier. J'ouvre les yeux et regarde devant moi, la petite fille blonde me faisait à nouveau signe de la main et les approchait vers sa bouche, elle criait. Dépêche-toi, c'est par ici ! Il faut que tu te dépêches de la retrouver, si tu ne veux pas te faire à nouveau tiré dessus ! Je me lève et continue à la suivre tout en me cachant, j'entendis quelques voix, ils se demandaient s'ils devaient partir à ma poursuite ou bien prévenir leur chef de ma présence, une nouvelle voix intervient et décide d'appeler leur chef.

-Allô, chef ! La personne, s'arrête quelques secondes, le gamin de Tojo est dans la ville, on fait quoi ? Il s'arrête à nouveau, le laisse tranquille... Très bien entendu. Je comprends... Oui... Très bien entendu. L'homme, pousse un bruit d'épis, ordonné à tout le monde de laisser tomber, ce gosse peut se balader tranquillement !

Le bruit des pas des hommes en courant commence à faire du bruit, je regarde les ruelles discrètement et m'avance plus calmement au centre. Me voilà arrivé beaucoup plus rapidement que prévu. Le sol était entièrement recouvert de galet, c'était vraiment différent du début qui était uniquement en terre. Je regarde un peu autour de moi et j'aperçois un robinet rempli de rouille, je pars pour essayer de l'ouvrir mais ce fut un peu compliqué, de l'eau ce mis à couler, elle était parfaitement limpide pas comme dans la grande ville qui est potable uniquement dans les maisons ou quelques endroits qui n'affiche aucune pancarte interdiction de boire. Je regarde un peu autour de moi et j'aperçois un robinet rempli de rouille, je pars pour essayer de l'ouvrir, mais ce fut un peu compliqué, de l'eau ce mis à couler, elle n'était parfaitement limpide pas comme dans la grande ville qui est potable uniquement dans les maisons ou dans quelques endroits qui n'affichent aucune pancarte interdiction de boire. Je m'accroupis en soufflant et je me gratte la tête agasse, pourquoi, c'est aussi dur de te trouver le clébard ? Je sentis un dos se coller au mien et je lâche un bruit de surprise puis à nouveau, la voix du lapin fait surface.

- Je suis déçu. Dit il d'une voix monotone, je pensais qu'ils allaient te traquer ou te poursuivre, mais rien de cela n'est arrivé.

--Désolé pour toi, mais ce ne sera pas aujourd'hui que tu vas t'amuser. Lui répondis-je, avec une voix narquoise

-Qu'est-ce que va faire ? Abandonné ? Continuer ? Le Lapin, me parler calmement

- Continuer ! Je répondis en souriant, tu penses vraiment que je vais lâcher l'affaire même pas en rêve !

-J'en étais sûre. Le lapin sourit, je pense que je vais quand même m'amuser.

Je ne sentit plus sa présence et me redresse puis je frotte mon pantalon pour enlever la poussière et me retourne en direction d'Alice qui avait les bras derrière elle, comme si elle m'attendait et je lui souris. Alice, conduit moi au clébard, s'il te plaît, mais tâches de prendre un raccourci ! Je compte sur toi ! Elle sourit et me fait signe de la main et la voilà à nouveau partie en courant puis je la suis en courant à mon tour.

-

Je suis déçu. Dit il d'une voix monotone, je pensais qu'ils allaient te traqué ou te poursuivre mais rien de cela n'est arrivé.

- Désolé pour toi mais ce ne sera pas aujourd'hui que tu va t'amuser. Lui répondis je, avec une voix narquois

- Qu'es ce que va faire ? Abandonné ? Continuer ? Le Lapin, me parler calmement

- Continuer ! Je répondis en souriant Tu pense vraiment que je vais lâché l'affaire même pas en rêve !

- J'en étais sûre. Le lapin sourit Je pense que je vais quand même m'amuser.

Je ne senti plus sa présence et me redresse puis je frotte mon pantalon pour enlever la poussière et me retourne en direction de Alice qui avait les bras derrière elle, comme si elle m'attendais et je lui souris. Alice, conduit moi au clébard, s'il te plaît mais tâches de prendre un raccourci ! Je conte sur toi! Elle sourit est me faire signe de la main et la voilà à nouveau parti en courant puis je la suis en courant à mon tour.